1 Deux heures durant, quelques pasteurs et quelques écrivains vont faire appel aux principes suprêmes (c’est-à-dire fondamentaux) d

2 , le père de la Brière lance un vibrant appel aux écrivains  : qu’ils nous écrivent des romans contre le bolchévisme, et l’on donn

3 de là, contrairement à ce que prétendent certains écrivains marxisants, que le bourgeois protestant soit actuellement le type mêm

4 ge intellectuel qu’on rencontre rarement chez les écrivains politiques. Si certaines de ses conclusions sont nettement étatistes,

5 it à lui seul toute une chronique de cette revue. Écrivain fécond9, évangéliste, économiste, philosophe, meneur de grèves, chef

6 st comme au jeu de pigeon vole. Il reste quelques écrivains qui échappent à toutes les « espèces » parce qu’ils en créeront de no

7 ien le seul fondement d’une communauté vivante. L’ écrivain sera créateur dans la mesure où il obéira à sa seule vocation personn

8 iné dans la commune condition humaine. Rendez à l’ écrivain la responsabilité de ses écrits, vous le rendrez aussi à la communaut

9 tumes et de nos idéaux. Il nous faut une équipe d’ écrivains qui entreprennent de confronter la vie privée des hommes d’aujourd’hu

10 ommes les fins de leurs activités. C’est, pour un écrivain , ordonner les moyens de son art à ces fins. Il y faut bien autant de

11 suiveurs des maîtres d’après-guerre. Les mauvais écrivains d’aujourd’hui ne valent rien humainement. Ils ne font que copier les

12 formels obscurcissent ou trahissent les buts de l’ écrivain et le séparent de l’humanité. Une littérature personnaliste rétablira

13 a chose littéraire ; 2° parce qu’ils incitent les écrivains de métier à écrire des stupidités, des pornographies pauvrettes, des

14 ouve dans une de ces feuilles une page digne de l’ écrivain qui l’a signée : Montherlant par exemple, ou Giono. Marianne a publi

15 le rôle des éditeurs, mais surtout et d’abord des écrivains , ne serait pas justement de savoir un peu mieux que « les gens » de q

16 lic littéraire rendit un très mauvais service aux écrivains surréalistes en les prenant pour ce qu’ils croyaient être : des novat

17 peintre. Il est remarquable que presque tous les écrivains de ces années éprouvent simultanément le besoin de s’exprimer par des

18 dans tous les sens de ce terme ; je ne vois pas d’ écrivain français qui ait jamais su faire vibrer un tel accord des paysages et

19 peu de l’esprit que nos commissaires sont de bons écrivains . IV. Le spiritualisme consacre le préjugé utilitaire De tout ce

20 entreprise, soit mis à part, et honoré en soi. Un écrivain fameux, gloire du roman français à l’étranger, vient confirmer de son

21 le patronage du grand génie, savant, philosophe, écrivain , homme d’action qui, trois-cents ans plus tôt, en 1637 exactement, pu

22 crois guère aux plans machiavéliques que certains écrivains de droite font aux clercs « spiritualistes » l’honneur et le crime d’

23 aine critique ne veut point pardonner à Ramuz. Un écrivain français de la tradition des classiques, comme ils le sont tous plus

24 s’est trouvée confirmée par les récents congrès d’ écrivains soviétiques ou favorables aux Soviets. De toutes les confusions senti

25 gênante pour les subtils « dialecticiens »56. Les écrivains délégués par les Soviets au congrès de Paris pour la défense de la cu

26 ux mêmes, faits à titre d’autocritique par divers écrivains communistes, que la littérature conforme au Plan n’est pas un art, ma

27 n même temps que son public. Autrement dit, les «  écrivains de choc » ont appris à écrire en même temps qu’un peuple immense appr

28 littéraire n’en est pas moins une évidence. ⁂ Les écrivains soviétiques l’ont compris. Aussi les voit-on condamner la théorie mar

29 ingts, soixante-quinze et cent-mille. Et c’est un écrivain de classe ! L’essai de Gedat intitulé Un chrétien découvre les problè

30 sé figurer le nom de Gide parmi « les plus grands écrivains de ce temps » embrigadés par les vrais communistes. af. Rougemont

31 ce. Mais que dire de l’absence de Proudhon, grand écrivain français pourtant ; et de celle de Georges Sorel ? Et même de celle d

32 ages — et ils foisonnent — donnent la mesure de l’ écrivain et de l’artiste, du conteur, du fabulateur d’idées que reste pour nou

33 nventionnel qu’il croit de mise, s’adressant à un écrivain . Ou bien il se répand en confidences exagérées ; il s’excite, il s’ad

34 je commence à comprendre au vif l’urgence, pour l’ écrivain , de retrouver une commune mesure de langage et de sensibilité avec de

35 comme telles, n’ont jamais eu de contact avec les écrivains comme tels, en aucun temps. Ce ne sont pas des abstractions qui achèt

36 vie concrète. Celui-là seul peut faire sentir à l’ écrivain ce qui est solide et ce qui est artificiel dans ce qu’il écrit. Et ce

37 endre peu à peu le sens de la responsabilité de l’ écrivain . Pour l’avoir négligée dans nos villes, au milieu des feuilletonistes

38 sés ou intéressés, il existe une « génération » d’ écrivains — prenons ces termes au sens le plus large — qui pour n’être point as

39 rtissement sans conséquence. Il existe des jeunes écrivains qui ne sont pas embrigadés mais qui savent que toute œuvre engage, et

40 uence est loin d’être négligeable chez les jeunes écrivains français et belges, et s’allie parfois curieusement avec l’éthique co

41 ailleurs pour un luxe. (Nulle part, je crois, les écrivains n’ont moins d’action sur la vie politique.) Il est clair, et on le di

42 ions de haute culture, à nos savants, artistes ou écrivains , les moyens d’assurer au pays un prestige international qui nous donn