1
rumeur des salons, des cafés, des antichambres d’
éditeurs
. À sa façon, non moins que les littérateurs dont j’ai parlé, elle ten
2
le discipline. Et une nouvelle aisance. 12. Un
éditeur
introduit en ces termes une collection de romans populaires : « Tente
3
attrapé, le curé, la politique et tout15 !… » Les
éditeurs
s’efforcent de répondre à la demande du public. Il faut des livres fa
4
ourquoi ils le demandent ? Est-ce que le rôle des
éditeurs
, mais surtout et d’abord des écrivains, ne serait pas justement de sa
5
essein vaguement subversif peut bien poursuivre l’
éditeur
qui publia ce résumé de la vie nulle d’un jeune bourgeois ? m. Rou
6
age est « sérieux et précis » selon les clercs, l’
éditeur
, le jugeant invendable, exigera des arrhes jamais récupérées sur la t
7
sprit actif, mieux il se vend. La crise force les
éditeurs
à se faire les interprètes du public auprès de l’auteur, et non l’inv
8
rceptibles. On n’a qu’à se baisser, vraiment. Des
éditeurs
lancent chaque automne leur douzaine de nouveaux romanciers. Quand il
9
n’est pas Paris-Soir-Dimanche. Quels chiffres nos
éditeurs
pourraient-ils opposer aux tirages invraisemblables des Allemands ? U