1 femme mariée. Enfin il retrouve l’étudiante et l’ épouse en vitesse au dernier paragraphe. Tout cela d’une vérité proprement d

2 aractère privé de ce qu’on appelle le bonheur des époux .   3. — Contraintes religieuses. Dans la mesure où la conscience mode

3 ns cette mesure — et disqualifie le mariage, si l’ épouse ne ressemble pas à la star la plus obsédante. (Encore la femme pourra

4 oussez la première porte venue ! Ce silence que l’ épouse est censée ménager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir,

5 otre future évolution, et encore moins celle de l’ épouse choisie, encore bien moins celle du couple formé. Les facteurs mis en

6 tout se passe d’ordinaire comme si le bonheur des époux dépendait en réalité d’un nombre fini de facteurs : caractère, beauté

7 sentimental. Choisir une femme pour en faire son épouse , ce n’est pas dire à Mademoiselle Untel : « Vous êtes l’idéal de mes

8 changerais ! Choisir une femme pour en faire son épouse , c’est dire à Mademoiselle Untel : « Je veux vivre avec vous telle qu

9 it absolu, sur quoi se fonde la personne même des époux . Il faut bien voir que cette fidélité est à contre-courant des valeur

10 mpêcher le monde d’envahir l’âme, la fidélité des époux est l’accueil de la créature, la volonté d’accepter l’autre tel qu’il

11 delà de son propre bonheur. Ainsi la personne des époux est une mutuelle création, elle est le double aboutissement de « l’am

12 il y ait eu mariage. Or l’Église chrétienne est l’ Épouse du Christ. Quand elle s’arrange trop bien avec le monde (Constantin e