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ns cesse de l’Éternité, pense continuellement à l’
Éternel
, — et que la chrétienté ensuite parle de la même façon, mais pense à
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lorifie » — est une participation instantanée à l’
éternel
, elle juge et condamne ceux-là d’abord qui s’en réclament. Et c’est p
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id parmi les étoiles, je t’en précipiterai, dit l’
Éternel
… Car le jour de l’Éternel est proche pour toutes les nations. » (Abdi
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’en précipiterai, dit l’Éternel… Car le jour de l’
Éternel
est proche pour toutes les nations. » (Abdias II, 3-4 et 15). Ils ont
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sa permanente crise et ses limites humiliantes. L’
éternel
est dans le présent, et non point dans l’intemporel, parce que l’éter
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sent, et non point dans l’intemporel, parce que l’
éternel
vient à nous, dans notre temps, où nous sommes, tout entier. L’éterni
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l’être. Ainsi la voie du mystère est visible : l’
éternel
ne touche le temps que par l’individu en acte, et qui devient à cet i
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à l’impulsion indescriptible que nous appelons l’
éternel
. La personne est le témoignage d’une vocation reçue et obéie. Je sui
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carnation. Si toute présence est l’événement de l’
éternel
dans le temps, par le moyen de l’homme, si l’homme n’est vraiment hom
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ersonne est proprement la sujétion de l’homme à l’
éternel
et de l’objet à l’homme, on peut dire que la personne est l’impensabl
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ut acte personnel est participation à l’actualité
éternelle
du Christ. 8. Communauté Tout ainsi que dans la Communion, Jésu
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ncret de cette liberté. C’est une usurpation de l’
éternel
par la conscience contingente, par cette conscience insinuée comme un
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est acte, l’acte est obéissance à la motion de l’
éternel
. J’ai peut-être entendu quelque parole, on n’a rien vu qu’un corps en
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e distraction du monstre moi, qui suffit bien à l’
éternelle
vigilance pour me pousser un peu plus loin que tout calcul, un peu pl
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à tout recommence. Car la durée n’ajoute rien à l’
éternel
. Ce pas petit et triomphal à peine fait, je le reperds si je n’en fai
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’à partir des réponses que l’on donne au problème
éternel
: où sommes-nous, d’où venons-nous, où allons-nous ? Alors seulement,
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paix. — Le communisme est un moment de la France
éternelle
. — Nous continuons la France, la France généreuse, accueillante, comp
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uer à sa place centrale la conception du « retour
éternel
» et de la volonté d’éternisation, qui est le véritable message « rel
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t de la « mort de Dieu ») par la pensée du Retour
éternel
. Mais en même temps, il s’acharne à compenser ce fatalisme mécanique
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e la volonté humaine, qui doit vouloir son destin
éternel
et nécessaire… Enfin, dernier événement nietzschéen : L’Introduction
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ur le reste, il demeure la proie du charlatanisme
éternel
. Mesure de la raison humaine : ils refusent la Trinité au nom de l’ar
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érité désintéressée, — respectaient les principes
éternels
, — la liberté individuelle, — l’intellectualisme, — la pensée solitai
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ur, c’est-à-dire de l’Éros divinisant, en conflit
éternel
et angoissé avec la créature de chair et ses instincts asservissants.
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ée, mais peut être acceptée dans l’obéissance à l’
Éternel
. Voilà le sens de la Révélation ; l’au-delà n’est pas la mort divinis
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ssance est toujours hic et nunc, dans l’acte de l’
Éternel
où notre espoir se fonde. ⁂ Deux thèmes de réflexion, amorcés çà et l
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ne saurait entretenir avec son Dieu, — qui est l’
Éternel
et le Saint— que des relations d’amour mortellement malheureux. « Die
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ur sensuel, sa fièvre et son bonheur, un « aspect
éternel
du cœur humain » — si vous voulez… (Mais pourquoi ne pas dire du corp