1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
1 ns cesse de l’Éternité, pense continuellement à l’ Éternel , — et que la chrétienté ensuite parle de la même façon, mais pense à
2 lorifie » — est une participation instantanée à l’ éternel , elle juge et condamne ceux-là d’abord qui s’en réclament. Et c’est p
3 id parmi les étoiles, je t’en précipiterai, dit l’ Éternel … Car le jour de l’Éternel est proche pour toutes les nations. » (Abdi
4 ’en précipiterai, dit l’Éternel… Car le jour de l’ Éternel est proche pour toutes les nations. » (Abdias II, 3-4 et 15). Ils ont
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
5 sa permanente crise et ses limites humiliantes. L’ éternel est dans le présent, et non point dans l’intemporel, parce que l’éter
6 sent, et non point dans l’intemporel, parce que l’ éternel vient à nous, dans notre temps, où nous sommes, tout entier. L’éterni
7 l’être. Ainsi la voie du mystère est visible : l’ éternel ne touche le temps que par l’individu en acte, et qui devient à cet i
8 à l’impulsion indescriptible que nous appelons l’ éternel . La personne est le témoignage d’une vocation reçue et obéie. Je sui
9 carnation. Si toute présence est l’événement de l’ éternel dans le temps, par le moyen de l’homme, si l’homme n’est vraiment hom
10 ersonne est proprement la sujétion de l’homme à l’ éternel et de l’objet à l’homme, on peut dire que la personne est l’impensabl
11 ut acte personnel est participation à l’actualité éternelle du Christ. 8. Communauté Tout ainsi que dans la Communion, Jésu
12 ncret de cette liberté. C’est une usurpation de l’ éternel par la conscience contingente, par cette conscience insinuée comme un
13 est acte, l’acte est obéissance à la motion de l’ éternel . J’ai peut-être entendu quelque parole, on n’a rien vu qu’un corps en
14 e distraction du monstre moi, qui suffit bien à l’ éternelle vigilance pour me pousser un peu plus loin que tout calcul, un peu pl
15 à tout recommence. Car la durée n’ajoute rien à l’ éternel . Ce pas petit et triomphal à peine fait, je le reperds si je n’en fai
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). Note sur nos notes (novembre 1936)
16 ’à partir des réponses que l’on donne au problème éternel  : où sommes-nous, d’où venons-nous, où allons-nous ? Alors seulement,
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Vaillant-Couturier, Au service de l’Esprit (février 1937)
17 paix. — Le communisme est un moment de la France éternelle . — Nous continuons la France, la France généreuse, accueillante, comp
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Retour de Nietzsche (mai 1937)
18 uer à sa place centrale la conception du « retour éternel  » et de la volonté d’éternisation, qui est le véritable message « rel
19 t de la « mort de Dieu ») par la pensée du Retour éternel . Mais en même temps, il s’acharne à compenser ce fatalisme mécanique
20 e la volonté humaine, qui doit vouloir son destin éternel et nécessaire… Enfin, dernier événement nietzschéen : L’Introduction
6 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
21 ur le reste, il demeure la proie du charlatanisme éternel . Mesure de la raison humaine : ils refusent la Trinité au nom de l’ar
7 1937, Esprit, articles (1932–1962). M. Benda nous « cherche », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)
22 érité désintéressée, — respectaient les principes éternels , — la liberté individuelle, — l’intellectualisme, — la pensée solitai
8 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
23 ur, c’est-à-dire de l’Éros divinisant, en conflit éternel et angoissé avec la créature de chair et ses instincts asservissants.
9 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
24 ée, mais peut être acceptée dans l’obéissance à l’ Éternel . Voilà le sens de la Révélation ; l’au-delà n’est pas la mort divinis
25 ssance est toujours hic et nunc, dans l’acte de l’ Éternel où notre espoir se fonde. ⁂ Deux thèmes de réflexion, amorcés çà et l
26 ne saurait entretenir avec son Dieu, — qui est l’ Éternel et le Saint— que des relations d’amour mortellement malheureux. « Die
10 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
27 ur sensuel, sa fièvre et son bonheur, un « aspect éternel du cœur humain » — si vous voulez… (Mais pourquoi ne pas dire du corp