1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
1 e le christianisme vainc : sa victoire est d’être éveillé . Tel est pour lui l’ordre, le commandement. Mais que les chrétiens, f
2 e désordre se trouve « établi ». Notre jeunesse s’ éveille au milieu des statuts de cette confusion. C’est contre eux dès l’abor
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
3 ture. Peut-on imaginer un spectacle plus propre à éveiller l’imagination, à attirer la curiosité, à susciter l’élan des intellig
3 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
4 e temps que l’imminence de sa mort — et voici qui éveillera peut-être des réflexions fécondes dans l’esprit du lecteur philosophe
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
5 ir ou le désespoir qui déterminera pour le rêveur éveillé — pour le poète — l’action de son imagination. Qu’il formule cet espo
5 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
6 être, cela même qui invite à la poursuite et qui éveille l’avidité de posséder, plus délicieuse que toute possession au cœur d
6 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
7 et masochiste. Et il est vrai que la conscience s’ éveille généralement dans la douleur, mais ils préfèrent l’anesthésie. Aussi