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n pour le comprendre ? 15. Je n’ai pas suivi le
conseil
de cet homme, et n’ai pas lu le livre. Je lui laisse donc la responsa
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n respecte le technicien et on le pousse dans les
conseils
de la cité sur la foi du seul nom qu’on lui donne, et en vertu du pré
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rcevoir : on l’exila, quitte à suivre bientôt les
conseils
qualifiés de « réactionnaires » qu’il avait eu le courage de donner.
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ersifiées, saines et fortes. C’est une harmonie «
fédérale
». Restaurer, recréer cette force, bâtir cette fédération de personne
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tout nous pousse à un réveil de notre conscience
fédérale
. Tout nous met au défi d’agrandir cette conscience aux proportions no
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le la plus frappante et la plus juste de l’esprit
fédéral
de l’Occident — en même temps que du personnalisme. Et c’est au nom d
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e cette espèce de suffisance moralisante, que ces
conseils
de fermeté ou ces protestations intempestives que nous prodiguons cha
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, et par suite non moins étrangères à notre ligne
fédérale
. Quand nous verrons nos grands journaux se préoccuper de juger ce qui
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gauche allemande émigrée, mais au nom du principe
fédéral
que nous avons à incarner, on pourra dire que la Suisse a retrouvé sa
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est important de rappeler que l’armée étant chose
fédérale
, ne peut être l’armée d’une classe, de ses intérêts, de son ordre. Il
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, notre armée n’est qu’un aspect de notre défense
fédérale
. Et un aspect subordonné. Si l’on néglige à son profit « le reste »,
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appellerais volontiers le budget de la conscience
fédérale
. Car le jour où il existera, l’on pourra dire que nos hommes politiqu
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i opposant toutes les raisons de la terre, et les
conseils
de tous nos arts de vivre, quand c’est la terre qui est méprisée, et