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stance que ses livres se vendent très bien. Enfin
Denis de Rougemont
dénonça le sophisme sur lequel repose l’œuvre de M. Benda, œuvre, en
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A. M. Petitjean, Marius Richard, Armand Robin, D.
de Rougemont
, Michel Seuphor, Jean Tardieu. On voit qu’il ne s’agit pas d’une écol
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suisse : personne et fédéralisme », coordonné par
Denis de Rougemont
et ouvert par une lettre de C. F. Ramuz, que Rougemont commente ici e
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sont attaqués à la fausse passion) et la réponse
de Rougemont
. La voici : Au sujet de la lettre du R. P. Lavaud — je n’ai rien voul
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lettre : « Le dialogue qui s’est poursuivi entre
Rougemont
et Davenson, après la note de ce dernier dans Esprit d’avril, nous a
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rit, Paris, août–septembre 1946, p. 188-189. be.
Rougemont
répond ici à une enquête d’Esprit sur le thème « Monde chrétien, mond
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t d’extraits de différents discours prononcés par
Denis de Rougemont
, et réunis dans L’Europe en jeu . Ils sont reproduits ici dans le ca
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prit, Paris, mai 1962, p. 877-878. bl. La lettre
de Rougemont
est précédée de l’introduction suivante de Jean-Marie Domenach : « À
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ope” (Esprit, mars 1962), j’ai reçu une lettre de
Denis de Rougemont
dont on trouvera le texte ci-dessous. Toute polémique comporte une pa
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une part de grossissement. J’avais pris l’article
de Rougemont
comme symbole d’un “européanisme” obsédé par le progrès économique ;
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is étonné qu’un “Européen” aussi convaincu que D.
de Rougemont
ne sente pas ce scandale de l’Europe qui inspirait la fureur de Sartr
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nspirait la fureur de Sartre. Je suis heureux que
Rougemont
souligne lui-même ce qui était, effectivement, un aspect de son artic
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uver tant d’astuce. Je me contente donc d’assurer
Rougemont
que son article m’a agacé et m’a mis en colère, d’où l’interprétation
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rétation polémique que j’en ai faite. » L’article
de Rougemont
auquel il est fait allusion, intitulé « Sartre contre l’Europe », par