1 loin de la notion bourgeoise de liberté, qui est absence d’obligations, de repères, de coordonnées. Très loin aussi de l’anarc

2 issante application à la stupidité, j’entends à l’ absence de jugement. S’il est un genre que nos critiques sont unanimes à cond

3 ète, cependant que l’angoisse est le signe de son absence au monde et à soi-même. Dire que l’homme est, concrètement, c’est dir

4 car elle est liée à l’angoisse, c’est-à-dire à l’ absence et au recul devant l’acte. Dans l’homme entièrement humain, tout sera

5 rouve, mais ce sont alors les lois mêmes de notre absence , celles du monde abandonné et qui paraît déterminé de soi, puisqu’il

6 s ouvrages de Breton illustraient glorieusement l’ absence . Mais il y a là aussi une certaine erreur exemplaire de pensée dont i

7 de dire qu’on paie l’esprit. C’est bien plutôt l’ absence d’esprit qu’on rétribue, en vertu d’une coutume qui tend à se précise

8 té, le refus de l’ironie, la bonhomie sérieuse, l’ absence de toute complaisance à soi, le « dévouement à l’objet ». Certes, je

9 Stendhal trouvent leur place. Mais que dire de l’ absence de Proudhon, grand écrivain français pourtant ; et de celle de George

10 le public Dans le courrier qui est arrivé en mon absence , deux nouvelles demandes de « causeries » : l’une à un congrès d’inst

11 ue l’on nomme du beau travail d’universitaire : l’ absence de tout intérêt existentiel garantit « l’objectivité » de l’exposé… L

12 e par grâce — se transforme instantanément en une absence insupportable. Fonder le mariage sur un pareil « bonheur » suppose de