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donne occasion de manifester son pouvoir. Et son
angoisse
est de n’en pas trouver ; sa joie, de provoquer le corps-à-corps avec
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t une primauté de fait. Il peut s’éprouver dans l’
angoisse
, il y trouve, loin de l’objet, une sorte d’existence virtuelle, incom
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e absent, il ne fait à vrai dire qu’augmenter son
angoisse
de l’impression d’une impuissance. Alors l’objet n’a pas d’autre exis
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gir, trouve son objet, — la fatalité disparaît, l’
angoisse
devient joie de combattre. C’est le moment de la présence de l’homme
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signes de son existence concrète, cependant que l’
angoisse
est le signe de son absence au monde et à soi-même. Dire que l’homme
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lculent avec les hommes ne calculent qu’avec leur
angoisse
, ils s’enfoncent dans l’incertain, divaguent dans la précision. Les l
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place pour la psychologie, car elle est liée à l’
angoisse
, c’est-à-dire à l’absence et au recul devant l’acte. Dans l’homme ent
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n de la parole, ce n’est point une extase, ni une
angoisse
, ni toujours une plénitude de la joie, ni jamais rien qui fût à moi t
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oir. Faute de le pressentir, ils ont méconnu leur
angoisse
; faute du courage de la considérer en face — ce courage que donne se
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l’homme ne soit plus rien qu’un spectateur de son
angoisse
muée en rêve ? Qu’on prenne un ton tranchant lorsqu’on attaque, lorsq
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onne du monde actuel. Monde dominé, dit-il, par l’
angoisse
de vivre (complexe de castration). La cause de cette angoisse est dan
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vivre (complexe de castration). La cause de cette
angoisse
est dans les refoulements qu’imposent la morale, l’Église, les exploi
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mortalité. Caille s’avance dans la journée, et l’
angoisse
grandit autour de lui. De partout l’orage s’amasse. Vers le soir il é
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vague que celui des économistes, mythe créé par l’
angoisse
et l’orgueil des prisonniers d’une raison brutale : il aura sans dout
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ère soi, mais elle reste encore l’aiguillon d’une
angoisse
que l’on apprend à fuir dans les mystiques collectives. Et l’on se ra
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la mesure devient le manque d’argent. C’est cette
angoisse
avant tout qui explique la carence des gouvernants, la timidité de le
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rmes, l’incohérence de leurs décrets. C’est cette
angoisse
encore qui explique pourquoi la jeunesse bourgeoise hésite à s’engage
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à la mesure des temps nouveaux. Sinon il n’est qu’
angoisse
et arbitraire, isolement, irréalité. Cette situation cosmique nouvell
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voir deviné cet appel et pressenti l’ampleur de l’
angoisse
qu’il trahit, c’est pour l’avoir épousé et guidé, et même à demi sati
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sont les plus forts. » Tel est le « moment » de l’
angoisse
de ce temps. L’homme sain dit : « Voilà ce que je ferai parce qu’il l
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ce jour, la création tout entière gémit dans les
angoisses
de l’enfantement. Et ce n’est pas elle seulement, mais nous aussi, qu
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l faut n’avoir connu que peu de solitude et peu d’
angoisse
, très peu de solitaire angoisse.) ⁂ Seule une décision de cet ordre,
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solitude et peu d’angoisse, très peu de solitaire
angoisse
.) ⁂ Seule une décision de cet ordre, irrationnelle mais non sentiment
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alutaire. L’amour de Tristan et d’Iseut c’était l’
angoisse
d’être deux ; et son aboutissement suprême, c’était la chute dans l’i
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onde » ! Mais l’amour du mariage est la fin de l’
angoisse
, l’acceptation de l’être limité, aimé parce qu’il m’appelle à le crée
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ance sans fin, initiant un dialogue vrai. Alors l’
angoisse
comblée par la réponse, la nostalgie comblée par la présence cessent