1
personnalité, et par là même de ne plus coïncider
avec
les intérêts, les habitudes de la classe, et la voilà jugée, raillée,
2
amentaux du régime sont en contradiction formelle
avec
les actes juridiques déduits par voie de faits — si l’on peut dire —
3
nés : c’est pour la même cause qu’il se sacrifie,
avec
le même courage. On les a décorés, on l’emprisonne. 5° Il n’y a qu’un
4
e règne qu’en confondant scandaleusement sa cause
avec
la cause de ceux qui réellement gouvernent. (On sait ce qu’ils sont.)
5
’est pas le christianisme qui a confondu sa cause
avec
celle de la bourgeoisie capitaliste. Mais c’est un parti de gens qui,
6
le christianisme, et ce n’est pas à lui de rompre
avec
l’injustice dont il s’est fait le soutien, et qui, depuis, assure son
7
, et qu’on ne peut demander à ce siècle de rompre
avec
lui-même, de s’arracher le cœur. Il n’y a de rupture possible qu’au n
8
rrions, par exemple, dégager de leurs complicités
avec
les « forces du monde ». Le chrétien ne connaît pas d’autre force rée
9
volonté de confondre la morale petite-bourgeoise
avec
les ordres de la foi. Et l’on a vu Babitt. Mais n’allons pas chercher
10
pond qu’il y a prescription : l’Esprit n’est plus
avec
ceux qui ont intérêt à le défendre. L’Esprit n’est plus avec ceux qui
11
ui ont intérêt à le défendre. L’Esprit n’est plus
avec
ceux qui ont cru pouvoir l’utiliser. L’esprit n’est jamais avec ceux
12
ont cru pouvoir l’utiliser. L’esprit n’est jamais
avec
ceux qui le défendent6, mais peut-être avec ceux qu’il excite à l’att
13
amais avec ceux qui le défendent6, mais peut-être
avec
ceux qu’il excite à l’attaque du désordre. « On voit maintenant, dit
14
que, encore qu’inconsciente, lie partie sous-main
avec
le scandale, en faisant du christianisme quelque chose de si lamentab
15
faille à la fin plaider pour le sauver. » Rompre
avec
le désordre établi, c’est faire en sorte simplement, qu’il cesse d’êt
16
ivilégié pour le chrétien, mais ne se confond pas
avec
l’enjeu de son salut. Tel est le paradoxe, qui remonte au cœur même d
17
simplement. Elle n’est jamais entrée en collusion
avec
aucune durée, étant la rupture de toute durée. Mais dès lors nous sav
18
ique politique pose tous les problèmes de l’heure
avec
une lucidité et un courage intellectuel qu’on rencontre rarement chez
19
ul parmi ses collaborateurs, André Philip tranche
avec
netteté, comme on l’a vu plus haut. En dehors des écrits de Philip, o
20
e total de l’être, qui est l’acte. Nous penserons
avec
des mains créatrices. Nous dirons : le but du travail, ce n’est pas l
21
t pour les confondre éloquemment et périr ensuite
avec
elles, mais pour restaurer le pouvoir qui nous désigne en même temps
22
Dans la littérature bourgeoise, celle qui est née
avec
le romantisme, il me semble qu’on peut distinguer trois espèces de li
23
t passé. Mais la conscience bourgeoise les ignore
avec
une rigueur obstinée. Nous pourrions simplifier encore et dire : il y
24
bord posséder un critère, ensuite le faire valoir
avec
intransigeance. Or le critère moral de l’ancienne bourgeoisie a perdu
25
unauté, vous recréerez le lien vivant de l’auteur
avec
son public. Une fois posés ces fondements spirituels d’une littératur
26
confronter la vie privée des hommes d’aujourd’hui
avec
les buts qu’ils croient viser, d’une part, et d’autre part avec les b
27
qu’ils croient viser, d’une part, et d’autre part
avec
les buts qui leur sont réellement assignés par leur raison d’être pro
28
ui le lie au monde ancien et le condamne à passer
avec
lui : il décrit l’anarchie intime de l’homme moderne avec le parti pr
29
: il décrit l’anarchie intime de l’homme moderne
avec
le parti pris de ne jamais juger, avec le parti pris de n’en jamais a
30
me moderne avec le parti pris de ne jamais juger,
avec
le parti pris de n’en jamais avoir, qui est sans doute le pire des pa
31
décrit depuis cent ans nos mœurs et nos malheurs
avec
une croissante application à la stupidité, j’entends à l’absence de j
32
re ici le mois dernier. Ah ! nous sommes loin — (
avec
ces auteurs-là) — de ceux qui écrivent merde cent fois la ligne pour
33
e le suis assez moi-même. — Aidez-moi… — Les uns,
avec
leurs livres, ont passé à côté de moi sans rien dire, sans même me vo
34
ns même me voir, sans me soupçonner. Ils jouaient
avec
des automobiles, des divans, des hommes et des femmes qui couchaient
35
lle Thoreau. Voilà le camarade Hamsun, qui arrive
avec
son violon. Dresse-toi, viens, nous partons dans le vaste monde. À ce
36
s lui aussi « aidez-moi ! », à sa façon vulgaire,
avec
son rire insupportable, et fallait-il être bien fin pour le comprendr
37
n événement ; il faut que la rencontre d’un sujet
avec
un objet soit attestée par quelque modification sensible. Les objets
38
trouver ; sa joie, de provoquer le corps-à-corps
avec
l’objet. Par où l’on voit que le sujet détient une primauté de fait.
39
e dont ils ignorent la nature. Ceux qui calculent
avec
les hommes ne calculent qu’avec leur angoisse, ils s’enfoncent dans l
40
eux qui calculent avec les hommes ne calculent qu’
avec
leur angoisse, ils s’enfoncent dans l’incertain, divaguent dans la pr
41
el. L’idée d’une personne isolée ou n’entretenant
avec
les autres que des rapports distants et virtuels est une contradictio
42
l de l’homme est l’expression de notre solidarité
avec
le monde des objets ; l’aspect de l’âme est notre orientation, l’orig
43
. La certitude de la résurrection n’a rien à voir
avec
une survie de l’âme. L’homme meurt totalement, parce qu’il est totale
44
im). Mais pourquoi nous glisser ce vieux problème
avec
des airs de conspirateur traqué ? Alors que cette confusion désirée r
45
périodes font la roue. Mais il se débrouille mal
avec
des données scientifiques ; sa syntaxe s’embarrasse et s’alourdit dès
46
rtume « désertique » d’un tête-à-tête de l’auteur
avec
sa mort. Négation de l’humain trop purement humain dans son effort le
47
des critiques qui aient parlé le mieux, je crois,
avec
le plus de sympathie et de pénétration du deuxième livre de Roger Bre
48
si précise et heureuse, comment ne pas distinguer
avec
joie la plupart des thèmes humains auxquels Esprit voudrait voir s’at
49
pose les questions les plus tragiques de l’heure
avec
une puissance dont on cherche en vain l’équivalent dans notre littéra
50
lateurs » : il lui arrive d’accorder le verbe non
avec
le sujet, mais avec le nombre des compléments : « Si les mots ne nais
51
rrive d’accorder le verbe non avec le sujet, mais
avec
le nombre des compléments : « Si les mots ne naissent que lorsque l’i
52
st la contagion. Je mets ce phénomène en relation
avec
la théorie de la métaphore qu’on trouvera p. 257. Théorie du type hég
53
» tout ce que l’on veut. Mais si je crois aussi,
avec
Arnaud Dandieu (chap. sur la métaphore dans son Proust) que la métaph
54
ara. Mais on ne comprend plus du tout la légèreté
avec
laquelle les surréalistes adoptent les méthodes de Staline, si rigide
55
ent plus audacieuse et subversive. Tzara critique
avec
vigueur la poésie de propagande et le désir secret de « sécurité » qu
56
n effort vers le mieux-être et le mieux-connaître
avec
l’effort des autres peuples. Dans un cadre chargé d’histoire et rayon
57
tacle vivant de leurs travaux. En liaison étroite
avec
l’enseignement qui, à tous ses degrés, forme les esprits aux méthodes
58
u’il est plus dégagé du réel, ou comme ils disent
avec
dégoût, « de ses applications pratiques ». Laissant entendre ainsi qu
59
istes » l’honneur et le crime d’avoir prémédités,
avec
l’appui des Loges et des Sages de Sion. Et par exemple, la bonne foi
60
ommune des clercs, pourtant molestés par l’époque
avec
une vigueur qui devrait, semble-t-il, les réveiller. Toute notre form
61
ustice qu’ils ont cru concevoir ! M. Renan sourit
avec
mélancolie. Le clerc spiritualiste, prêtre de l’esprit pur, s’adonne
62
médiates ?38 Les clercs ont pris parti : les uns
avec
la foule, les autres avec Pilate. Les uns trahissant grossièrement, l
63
nt pris parti : les uns avec la foule, les autres
avec
Pilate. Les uns trahissant grossièrement, les autres « se désintéress
64
gesse des grands docteurs qui se lavent les mains
avec
tant d’élégance, — et l’abandonnent libéralement à sa passion ? Mais
65
eté, le risque matériel, le nomadisme, le contact
avec
le peuple et ses difficultés souvent sordides et parfois émouvantes,
66
ie « mal compassée » qu’on nomme la vie pratique,
avec
ses résistances et ses aspérités, ses rencontres, ses courtes habitud
67
ues, ouvrir une bibliothèque de plus, chatouiller
avec
de grands mots dépréciés et abstraits la plaque sensible d’un micro d
68
t en la privant par là de sa relation essentielle
avec
la constitution réelle de la vie », Henri de Man y voit « la concepti
69
lercs bourgeois, dont l’enseignement converge ici
avec
celui du marxisme vulgaire. 27. Dont l’un au moins paraît préoccuper
70
ens moderne. Et que ça n’a pas le moindre rapport
avec
la « politique » au sens habituel ; mais les plus grands rapports ave
71
au sens habituel ; mais les plus grands rapports
avec
la religion au sens égyptien, chaldéen, aztèque… Pour autant que l’on
72
sur un fond de tempête et de battements sourds —
avec
des gestes de prêtre, avec une sorte de douceur… Pendant six minutes.
73
de battements sourds — avec des gestes de prêtre,
avec
une sorte de douceur… Pendant six minutes. Et quand ce hurlement d’am
74
ais ce que je cherche, c’est la communion du cœur
avec
chaque homme de la nation allemande. » De nouveau dressés, saluant à
75
haines les plus anormales. Nous n’irons pas loin
avec
ces innocentes caricatures. Il ne s’agit pas d’hystérie : rien n’est
76
dit que des choses simples, raisonnables, parfois
avec
ironie, mais sans amertume ; et ses gestes sont souples, n’ont plus r
77
ever du jour et ils sont roses dans le ciel rose,
avec
des gouttes de rosée qui leur pendent à chaque poil et des souliers q
78
me lui quand il écrit. Car sa vision est harmonie
avec
ces formes, et son langage avec les rythmes qu’elles traduisent. ⁂ Un
79
sion est harmonie avec ces formes, et son langage
avec
les rythmes qu’elles traduisent. ⁂ Une forme, une image vivante : est
80
e répondra : ni l’un ni l’autre. Car il se tient,
avec
son imagination, dans cette région qui n’est ni du dedans ni du dehor
81
s’éloigne davantage du concret pour se confondre
avec
l’artificiel créé par la publicité. (On pousse les gens au crime en l
82
peuple créé d’abord à l’image du Ramuz créateur,
avec
des éléments tirés du caractère vaudois. On a, non sans comique, loué
83
ur originelle et unanime d’un peuple en communion
avec
les éléments. Ce n’est point là un art « d’après le peuple », mais on
84
de temps, sont ici largement mis en œuvre ; mais
avec
une probité particulière. La surimpression par exemple n’est jamais p
85
Ramuz —, c’est qu’une seule page de ce livre lue
avec
cette lenteur qu’elle impose, nous replace dans la vision grande et e
86
ersonne « Leur poésie ne commence pas pour eux
avec
le commencement de leur personne ; elle ne commence à vrai dire que l
87
est pas dans le contact aussi direct que possible
avec
l’objet ; elle est dans la suppression de tout contact avec l’objet.
88
et ; elle est dans la suppression de tout contact
avec
l’objet. » Ainsi parle Ramuz des faux poètes, des nominalistes. On cr
89
tirer une épreuve positive : « Sa poésie commence
avec
le commencement de sa personne ; elle prend fin là où commence, pour
90
lle est dans le contact aussi direct que possible
avec
l’objet ; elle est dans la volonté, dans l’amour, dans la création du
91
olonté, dans l’amour, dans la création du contact
avec
l’objet. » Mais on peut dire cela de Goethe aussi ? Et de bien d’autr
92
u et cette condition la plus humaine : ce contact
avec
la matière résistante et ce risque de l’homme créateur de sa forme. S
93
rvienne, tout à coup il y ait cette collaboration
avec
Quelqu’un, il y ait cette possibilité de retour, ce retour, ce « retr
94
nt de formules d’un art dont la genèse se confond
avec
celle de la personne. Dans un essai où je crois distinguer l’aveu de
95
groupe d’intellectuels bourgeois qui sympathisent
avec
la jeune révolution. Angoissés par la crise occidentale et l’isolemen
96
é. Mais ici l’équivoque matérialiste se manifeste
avec
une impudeur gênante pour les subtils « dialecticiens »56. Les écriva
97
viétiques sont toujours plus tentées de l’opérer,
avec
une bonne humeur et une bonne volonté qui devraient empêcher que l’on
98
raient empêcher que l’on en rie… Poursuivons donc
avec
sérieux notre examen de la valeur du Plan considéré comme mesure cult
99
ent des privations de toute nature, et supportent
avec
enthousiasme un régime de travail parfois beaucoup plus dur que celui
100
plus vivants à l’idée du Plan scientifique. Mais
avec
cette idée nietzschéenne, c’est l’aventure, le romantisme et l’utopie
101
e révolution n’aura été que de donner aux hommes,
avec
quelques milliers de tracteurs, d’avions, de tanks et de parachutes,
102
mesure où les jeunes communistes viennent à nous
avec
cette morgue que l’on disait naguère américaine, et qui ressemble à c
103
is dictatoriaux eux-mêmes. De là toute la passion
avec
laquelle ils parlent de la nécessité d’un homme nouveau — en Allemagn
104
tent et l’utilisent, qui la créent et qui meurent
avec
elle. L’Arche d’alliance n’est rien s’il n’y a pas le messianisme, le
105
t un invincible dynamisme. Et dans leur communion
avec
ces masses, les chefs puisent une énergie occulte, une efficacité d’a
106
isés, comme la Grèce par Rome. Cessons de loucher
avec
méfiance vers les empires étrangers. Regardons-les en face, connaisso
107
tant qu’il se possède dans ses relations actives
avec
tous ses prochains. C’est à nous qu’il incombe aujourd’hui d’opérer c
108
guerre ? Oui, si nous l’affirmons sans l’exercer
avec
puissance, si nous refusons d’aller jusqu’au terme concret de nos pen
109
ante. Notre seule chance de collaboration féconde
avec
les peuples impériaux est là. L’avenir dira si la révolution des « li
110
d’exercer la vocation de vérité qui est la nôtre
avec
un maximum de violence créatrice. 52. C’était, à cette époque plus
111
« matérialisme dialectique » ou Diamat, refusent
avec
indignation l’épithète de matérialistes. 57. Voir les discours de Ma
112
ialiste, dont on montre le parallélisme paradoxal
avec
la culture soviétique. 61. Les Russes ajoutent : de l’oppression tsa
113
and) ; enfin le débat plus profond d’un humaniste
avec
la foi chrétienne, telle qu’il songe que ses pères l’ont eue. Nos lec
114
u jour où nous en sommes, on ne refait pas un art
avec
un point de vue d’art, ou de philosophie, ou de morale, mais en refai
115
conception naturaliste de l’amour, en opposition
avec
la conception romantique. Or la gauloiserie, aussi bien que la courto
116
les gens, comment ils marchandaient et achetaient
avec
une convoitise, une attention et une astuce inexprimables…63 » Mais
117
qu’en empêchant soigneusement toute communication
avec
le dehors… On sourit avec scepticisme, lorsque je dis que Paris a, lu
118
ent toute communication avec le dehors… On sourit
avec
scepticisme, lorsque je dis que Paris a, lui aussi, son métro. » — Ég
119
trop. » — Suppression de la propriété privée ? «
Avec
la restauration de la famille (en tant que « cellule sociale »), de l
120
nous éprouvons à voir Gide, en dépit de tout, et
avec
tant de courage malgré tant de prudences, persévérer dans une volonté
121
u propriétaire. « Les domestiques sont restés ici
avec
les communistes, écrit Aragon. Et le petit chien du duc, qui figure s
122
ses nouveaux camarades, les miliciens, qui jouent
avec
lui avec une infinie gentillesse. Ne donne-t-on pas au canari de la d
123
aux camarades, les miliciens, qui jouent avec lui
avec
une infinie gentillesse. Ne donne-t-on pas au canari de la duchesse c
124
te les théâtres et les concerts, bref, se cultive
avec
cette sorte de passion que le Français réserve, présentement, sous so
125
’elles sont anxieusement souhaitées, et cultivées
avec
des soins jaloux, si par hasard on les obtient.) Qu’on publie ses vic
126
arce qu’une baronne juive avait refusé de coucher
avec
un certain prince Nevidoff, propriétaire de bassins pétrolifères. Cet
127
te, et un texte officiel. Il convient d’en parler
avec
sérieux. Tout d’abord quelques citations : L’homme ne peut penser et
128
ue Vaillant-Couturier combine ce personnalisme-là
avec
un chauvinisme que je vous laisse qualifier : C’est la générosité fr
129
! Thibaudet fut bien moins critique qu’essayiste,
avec
tout ce que cela peut comporter de création personnelle, c’est-à-dire
130
personne n’a jamais manié la métaphore continuée
avec
une fantaisie (au sens allemand) plus baroque, plus « triomphante ».
131
tionale, et qui se charge d’écraser la révolution
avec
une brutalité qu’aucun bourgeois ne se serait permise. Avis à ceux de
132
-socialisme à la Rosenberg. C’est ce que démontre
avec
toute la virulence désirable le dernier numéro d’Acéphale, intitulé «
133
entral, l’accord de Nietzsche et de ses disciples
avec
le personnalisme paraît beaucoup plus facile à réaliser qu’avec toute
134
nalisme paraît beaucoup plus facile à réaliser qu’
avec
toute autre doctrine politique66. Mais pour Bataille et ses amis, l’«
135
divers collectivismes, etc., auxquels succombent
avec
une masochique volupté les « hommes de quarante ans » et certains jeu
136
uls les constructeurs détruisent bien, détruisent
avec
efficacité. ⁂ Deux nouvelles traductions françaises apparaissent para
137
eux traduites que les œuvres précédemment parues.
Avec
les admirables fragments posthumes édités en 1934 par H.-J. Bolle68,
138
certain jeu que je poursuis, sans trop le savoir,
avec
bien plus de vigilance que je n’en apporte à la défense de mes intérê
139
ils y fassent ? » 6 mars (de retour à A…) Contact
avec
le public Dans le courrier qui est arrivé en mon absence, deux nouvel
140
, que la joie de voir son public, de s’entretenir
avec
ces hommes et ces femmes pour qui l’on écrivait sans le savoir. Décou
141
iers. L’auditeur a eu le temps de se familiariser
avec
l’orateur, dont il connaissait peut-être déjà la pensée et qu’il vien
142
réel m’a conduit à une conclusion dont j’attends
avec
impatience la vérification in concreto à l’occasion de nos prochains
143
r une commune mesure de langage et de sensibilité
avec
des hommes de toutes les classes et de tous les métiers. Certes, ce n
144
t de tous les métiers. Certes, ce n’est jamais qu’
avec
des êtres singuliers, par le biais de leur singularité même, qu’on en
145
d’Allemagne hitlérienne : « retrouver le contact
avec
les masses ». Les masses, comme telles, n’ont jamais eu de contact av
146
masses, comme telles, n’ont jamais eu de contact
avec
les écrivains comme tels, en aucun temps. Ce ne sont pas des abstract
147
s. Ce qu’il s’agit de retrouver, c’est le contact
avec
l’homme qui réfléchit et qui fait la critique des idées non point à l
148
act. C’est le lecteur que nous avons trahi, c’est
avec
lui que nous devons retrouver un contact qui nous renverra, plus sûre
149
re, et dans la cour, et sur toutes les terrasses.
Avec
des cris et des râles presque humains. Ce matin, j’ai trouvé des trac
150
roupes, parlant beaucoup. 9 mai Me voilà brouillé
avec
Simard. Après l’algarade d’hier matin, je ne me sentais pas le cœur à
151
rte de cette belle-mère (sauf que les discussions
avec
le beau-frère font toujours rage). Je me suis donc borné à exprimer m
152
cour à deux étages. On devine un reste de jardin,
avec
quelques cyprès, une pierre tombale, et la margelle d’un puits. La pl
153
e, de rêves dans l’affreuse vie, où l’on condamne
avec
indifférence, et où tout le monde en fait est coupable de tout : du s
154
ormule cet espoir ou ce désespoir et ses rapports
avec
le monde changeront immédiatement. » Ou encore : « Le poète est celui
155
de ces réalités, nous combattrons ensemble. Mais
avec
cela nous n’aurons pas liquidé la religion et la patrie, nous n’auron
156
e l’ordre social. Notre effort ne saurait porter,
avec
quelque efficacité, que sur la réalisation concomitante de l’une et d
157
e « témoignages » très divers que nous inaugurons
avec
ce numéro. Dans cette perspective générale, que l’on verra se précise
158
toutes les académies de son siècle eussent rejeté
avec
mépris et pitié. Mais la gloire posthume est un « titre » ; « l’intér
159
thume est un « titre » ; « l’intérêt » s’accumule
avec
le temps ; l’œuvre enfin devient présentable… On a l’impression, à li
160
ations. Ce genre de pseudo-explications, édictées
avec
une assurance doctorale, me paraissant prêcher par un je ne sais quoi
161
e psychiatre polonais poursuivit en collaboration
avec
Arnaud Dandieu) permettent de donner une interprétation totalement di
162
ançais et belges, et s’allie parfois curieusement
avec
l’éthique collectiviste. Mais l’anéantissement du moi peut aussi être
163
même, une existence, au sens plein de ce terme ;
avec
tout ce que cela comporte d’autonomie, de nécessité, de réalité irrem
164
eutralité, celle-ci sera balayée un jour prochain
avec
les vieux chiffons de papier qui sont censés la garantir. Quand bien
165
cantons romands — est en contradiction constante
avec
notre neutralité, et ce qui est pire, avec la mission même qui justif
166
stante avec notre neutralité, et ce qui est pire,
avec
la mission même qui justifie cette neutralité. Elle se permet de pren
167
étrangère, ou de politique intérieure du voisin,
avec
d’autant plus de violence qu’elle y court moins de risques immédiats7
168
nos responsabilités comme neutres. Ramuz insiste
avec
raison sur le fait que nous n’avons pas une culture nationale unifiée
169
ente volontiers une Suisse culturelle pluraliste,
avec
ses centres successifs ou parfois même simultanés, offrant un asile p
170
e de l’École suisse sur la littérature allemande.
Avec
le xixe , la Suisse réapparaît sur la grande scène de l’Europe. De Ge
171
nt les Suisses moyens — et même les autres.) 3. —
Avec
l’armée, je reviens au concret, ou du moins à ce qu’on tient pour tel
172
alte, que de le confondre, parfois agressivement,
avec
l’ardeur à revêtir l’uniforme. Après tout, notre armée n’est qu’un as
173
qu’elles sont nécessaires. Mais je vois aussi qu’
avec
la cinquantième partie de l’argent consacré à leur acquisition, on po
174
l’Éros divinisant, en conflit éternel et angoissé
avec
la créature de chair et ses instincts asservissants. L’apparition de
175
e Dame spirituelle, amour évidemment incompatible
avec
le mariage dans la chair, devait amener des confusions inextricables.
176
plaisanteries paysannes86. La demande en mariage,
avec
échange de visites en haut de forme et « déclaration » officielle, es
177
contraintes sacrées et sociales, elle le repousse
avec
horreur. Car l’engagement religieux est pris « pour le temps et l’éte
178
plus souvent déçus, expliquent seuls la facilité
avec
laquelle on se marie encore « sans y croire ». Le rêve de la passion
179
on inévitable de la Dame, pur symbole de l’Amour,
avec
telle femme réelle et désirable ; la rhétorique de l’Amour cathare se
180
aturellement. Qu’elle divorce, et il l’épousera !
Avec
elle, ce sera la « vraie vie », ce sera l’épanouissement de ce Trista
181
le vrai « mariage d’amour » moderne : le mariage
avec
la passion ! Mais aussitôt paraît une anxiété dans l’entourage (ou le
182
qui se produirait fatalement !) Ainsi l’on passe
avec
une feinte légèreté à côté du problème fondamental. « Il faut se fair
183
chef décrit ce désastre des mœurs, et il proteste
avec
toute l’énergie d’un « révolutionnaire professionnel » — donc puritai
184
religion devait être un amour heureux, un mariage
avec
sa vertu. Car l’amour du pécheur pour Dieu est « essentiellement malh
185
c’est dire à Mademoiselle Untel : « Je veux vivre
avec
vous telle que vous êtes. » Car cela signifie en vérité : « c’est vou
186
ce qu’il m’appelle à le créer, et qu’il se tourne
avec
moi vers le Jour afin d’attester notre alliance. ⁂ Une vie qui m’est
187
veut plus que mon bien, parce qu’il est confondu
avec
le sien : et si ce n’était pour toute la vie, ce serait encore une me
188
tre, mais qu’il serait assez absurde de confondre
avec
des vérités psychologiques. Notre analyse du mythe nous a fait voir p
189
le mythe, naturellement, qui nous le fait croire,
avec
son obsession de l’amour contrarié. Il serait plus vrai de dire avec
190
de l’amour contrarié. Il serait plus vrai de dire
avec
Benedetto Croce que « le mariage est le tombeau de l’amour sauvage »1
191
ent, il est né de la complicité de cette religion
avec
nos plus vieilles croyances, et du conflit de l’hérésie qui en résult
192
yances, et du conflit de l’hérésie qui en résulta
avec
l’orthodoxie chrétienne. Première correction d’importance. Ensuite,
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mariage, qu’il sera désormais possible de repérer
avec
assez de précision ce déplacement d’accent dont tout dépend. Il est c
194
e sa réflexion, fut la rupture de ses fiançailles
avec
Régine. La cause intime de cette rupture nous demeure en partie mysté
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ui, l’homme fini et pécheur ne saurait entretenir
avec
son Dieu, — qui est l’Éternel et le Saint— que des relations d’amour
196
). Il fait sans cesse le saut dans l’infini, mais
avec
une telle correction et une telle certitude qu’il retombe sans cesse
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L’âme se comporte alors à l’endroit de son amour
avec
une sorte d’indifférence quasi divine. Elle est au-delà du doute et d
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plus rien que son amour ne veuille, elle est une
avec
lui dans la dualité, qui n’est plus qu’un dialogue de grâce et d’obéi
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que dès leurs débuts, dès les années 1930 à 1932,
avec
une pertinence et une violence qui alors n’étaient pas sans mérites.
200
tionnelles », un parti où l’on puisse « militer »
avec
une bonne conscience intellectuelle impossible partout ailleurs. 5. O
201
es de mon livre qui furent publiés ici même sont,
avec
ceux ou plutôt celui que vous critiquez dans un rapport quelque peu é
202
voque, qu’il m’importe d’élucider. Vous me dites (
avec
une gentillesse désarmante et si rare !) que mon livre « est un livre
203
s, de relations de gestes et de paroles, matériel
avec
l’aide duquel l’historien compose des faits, comme le poète une poési
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n’est-ce pas ? Et c’est pourtant celui-là même qu’
avec
combien de raison vous offrez en modèle à vos disciples. (Mais oui, v
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, vous en avez, et je les souhaite nombreux : car
avec
de tels maîtres, ils auront bientôt fait de retrouver la joie de l’hi
206
’Épouse du Christ. Quand elle s’arrange trop bien
avec
le monde (Constantin et la suite) c’est qu’elle trahit son état. Quan
207
s bases capitalistes, nationalistes et libérales,
avec
quelques emprunts au christianisme. L’état d’Esprit qui fait enquête
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es, un torrent de clichés qui n’ont aucun rapport
avec
la question, et des affirmations grandiloquentes d’attachement indéfe
209
t empêcher un accident de chemin de fer en votant
avec
émotion le renvoi de l’ingénieur en chef et son remplacement à la der
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payant la casse, vous parlez de notre hypocrisie…
Avec
tout cela, je me demande bien pourquoi nous adorons la France comme u
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« grille désodorisante »… Ils sont modernes. Car
avec
une belle énergie et beaucoup moins de naïveté que nous ne le pensons
212
ne virgule dans une phrase, on ne peut le lire qu’
avec
tout le contexte. S’en tenir aux faits seuls, aux faits bruts, c’est
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connaisse, l’avantage d’accueillir les critiques
avec
mieux que de la tolérance : avec une volonté souriante mais sérieuse
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ir les critiques avec mieux que de la tolérance :
avec
une volonté souriante mais sérieuse d’apprendre et de s’améliorer. J’
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tements de l’esprit américain auxquels se livrent
avec
exubérance les revues et les journaux américains ne sait pas ce que c
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» en Europe. Vous vous flattez d’avoir en commun
avec
Sartre « le sens d’une responsabilité européenne », sens qui me fait