1 e une véritable « manifestation du régime ». Tout aveu de cet ordre concourt à la ruine de ses auteurs. Un régime fort, usan

2 ressionnants du siècle ? Avait-il conscience de l’ aveu que signifiait son entreprise ? Car enfin, poser la question en appar

3 u grand public n’opposent la moindre réaction à l’ aveu d’un complot si burlesque. Si j’ai quelque peu insisté sur l’anecdote

4 due par un fait, l’existence de la science. » Cet aveu est de Rauh (Avant-propos des Études de morale). 35. Et sans doute d

5 personne. Dans un essai où je crois distinguer l’ aveu de soi le plus direct qu’ait jamais consenti Ramuz (c’est Une Main) j

6 des conformismes et des poncifs ? Il ressort des aveux mêmes, faits à titre d’autocritique par divers écrivains communistes,

7 i d’Ulysse. Le bref chapitre où il nous livre cet aveu éclaire une bonne part de son œuvre. Rien n’est plus redoutable pour

8 nt aussi ses plus chères pensées », celles dont l’ aveu lui coûterait ses moyens matériels de vivre, mais dont l’acceptation

9 re agir, ou plus exactement, je suis heureux de l’ aveu que je viens de m’en faire. Comment ne l’ai-je pas fait plus tôt ? Po

10 réductible au général. Mais voilà l’étonnant de l’ aveu  : c’est qu’il peut faire comprendre à d’autres, en un éclair, que cha

11 homme est irréductible, et que chaque homme a ses aveux à faire. Et l’on comprend ainsi, soudain, que l’on est un homme « com

12 titions, il faut tout de suite que j’oppose à cet aveu une contrepartie raisonnable. Il faut que je montre aussi les droits

13 un refuge ; elle est un acte d’accusation, et un aveu de chaque homme pour tous les autres : « Je suis plus près de leur er

14 ue son dessein le plus secret m’échappe encore. L’ aveu sera jugé insolite. Mais je pressens d’assez profondes raisons de le