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se, à une paix dont ils s’imaginent pouvoir tirer
bénéfice
pour la foi, — bien plus, que les chrétiens considèrent cette paix co
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rajeunissement. Craignons que le fascisme ne tire
bénéfice
, avant nous, d’une faim trop facile à tromper. Il est bon, il est néc
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ne sait quel « prestige » évanouissant, ou quels
bénéfices
commerciaux… Voilà le mal « presque impossible à réparer ». La faute
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ses rétrogrades de l’Église, n’hésite pas à tirer
bénéfice
de la culture de cette superstition. S’il est vrai que certains indiv
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dans une salle d’Université. Cui bono ? À qui le
bénéfice
? À moi d’abord, très certainement. C’est une joie qui vaut bien les