1 me économique ou d’une culture, c’est vicier à la base toutes les conceptions du loisir qui découlent de cette erreur spirit

2 jourd’hui qui tend à s’établir sur de tout autres bases  ? c) à quoi servent les clercs ? quel doit être leur rôle dans la cit

3 t à l’examen critique des doctrines qui sont à sa base . Je ne dis pas qu’elles n’aient été souvent trahies. Ni qu’elles soie

4 Et vous ferez du collectivisme. C’est la seule «  base commune » puissante pour toute action culturelle future. Je réponds à

5 domaine culturel. Vous disposez d’un matériel de base beaucoup plus puissant que le nôtre ; mais nous gardons l’avantage im

6 fédéralisme dont il faudrait pourtant refaire les bases …) Quant à la position d’Henri Petit vis-à-vis de la foi, je m’excuse

7 ettres. Pour qu’une école se crée, il faut qu’une base commune existe, qui n’existe plus aujourd’hui, qu’il faut commencer p

8 romet non seulement nos chances à venir, mais les bases politiques et morales sur lesquelles nous pouvions compter, et la mis

9 ider ». D’où l’absolue nécessité de restaurer les bases sociales, c’est-à-dire l’élément statique et stabilisateur au premier

10 e cinq ans. Le mariage se trouva restauré sur des bases strictement utilitaires, collectivistes et eugéniques, et dans une at

11 nne, du fait qu’elle prétendait se fonder sur une base raciste et militaire, devait se donner pour première tâche de surmont

12 autoriser plus que les unions contractées sur une base eugénique, selon certains critères statistiques : sociaux, raciaux, p

13 ssivement en dehors d’eux », c’est-à-dire sur des bases capitalistes, nationalistes et libérales, avec quelques emprunts au c