1 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
1 é, la réponse en chair et en os. Il faudrait se «  boucher les yeux… » Cet homme est l’Esprit incarné, l’Esprit qui s’est rendu
2 ongtemps qu’on le peut, et en quelque sorte de se boucher les yeux pour ne la voir pas, mais de continuer à analyser sans repos
3 versitaire aboutit nécessairement à un faux (« se boucher les yeux »). Elle postule que le philosophe est dégagé de toute respo