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ie quotidienne fouillés comme un cauchemar par le
brusque
soleil, et l’homme au centre, campé dans sa stature réelle, ouvrant l
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ses courtes habitudes (louées par Nietzsche), ses
brusques
changements de décor suivis de guerre d’usure contre l’inertie fascin
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sée. Tous les procédés ramuziens : juxtapositions
brusques
, interférences du récit, surimpressions, changements de temps, sont i
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ement localisée, que le corps se voit porté à ces
brusques
écarts, comparables aux calembours qui obsèdent un esprit fatigué : o