1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
1 de travail et 8 heures de loisir est une dérision brutale des rythmes créateurs. Elle exprime simplement l’état accidentel d’un
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
2 comparablement plus important que l’établissement brutal de l’étatisme en Russie, nommé révolution bolcheviste. On comprend mi
3 emble bien que ces « barrages » et ce conformisme brutal soient en train de provoquer chez Tzara une prise de conscience toute
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
4 des oiseaux pouvait être et était souvent le plus brutal des tintamarres, fait « d’un bruit de vitres cassées, de grincements
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
5 ngoisse et l’orgueil des prisonniers d’une raison brutale  : il aura sans doute la vie dure, comme tout ce qui est irrationnel,
6 ction. « Dictature », « tyrannie », « conformisme brutal  », tout cela qui épouvante les libéraux n’est en fait que l’ensemble
7 excitées par nos négations irritantes. Contre les brutales poussées de masses qui ne se connaissent plus, seule la violence de l
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
8 ahit à chaque page, et révèle un parti pris assez brutal de réduction du mystique à l’illusoire. Par exemple, il relate une de
6 1939, Esprit, articles (1932–1962). D’une critique stérile (mai 1939)
9 ans son essence, et préfigure l’État totalitaire, brutal et stérilisant. 20. D’où l’incapacité essentielle des partis à collab
7 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
10 se sont bornés à des échanges d’arguments souvent brutaux , au cours d’enquêtes rétrospectives sur l’administration de ces agenc