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et ses gestes sont souples, n’ont plus rien de la
brutalité
des années de combat, avant 1933. Il ne s’agit pas de haine : il s’ag
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similer dictature et crime, discipline sociale et
brutalité
, volonté de servir et trahison des clercs, etc., tout cela au nom d’u
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irituellement une révolution qui soit nôtre, sans
brutalités
extérieures, sans destructions aveugles, sans propagande de masse abê
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ret de nos pensées. Car alors il faudra subir les
brutalités
excitées par nos négations irritantes. Contre les brutales poussées d
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’abord une question politique ? Culture à gauche,
brutalité
stupide à droite, — ou inversement ? Ils ont bien l’air de le croire,
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et qui se charge d’écraser la révolution avec une
brutalité
qu’aucun bourgeois ne se serait permise. Avis à ceux de Saint-Denis !
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aise volonté internationale des Soviets, de cette
brutalité
vis-à-vis de leurs sujets, de ce mépris de la vie humaine en gros et