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t-crise sans doute — ne parvient pas à égaler les
célèbres
galipettes du père de Salavin ou le « Français chez eux ». Mais lorsq
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ise. Ils ne voient pas que dès l’instant que l’on
célèbre
un esprit « pur » dans un temple construit par l’État, la pensée s’év
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u non, d’esquiver l’engagement pratique. Ce qu’on
célèbre
sous le nom d’esprit, c’est l’attitude prétendue spectaculaire, en ré
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fier la noble impuissance de la pensée ! Ce qu’on
célèbre
sous le nom d’esprit, c’est l’image épurée d’un monde fait de lois. C
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es instruments d’un culte, oubliant le dieu qu’il
célèbre
. Et pourquoi n’irais-je pas jusqu’à dire que notre grandeur culturell