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uge plus : elle traduit la rumeur des salons, des
cafés
, des antichambres d’éditeurs. À sa façon, non moins que les littérate
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ui dirais : — Asseyez-vous. — Et je lui ferais le
café
, et j’irais lui chercher mon plus beau pot de confitures… Elle voudr
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Caille pénètre dans les cours de ferme, dans les
cafés
. À tous il tend la Parole « morte aux pages » ; mais voici que de tou
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ique des Lettres, ayant sa place à la terrasse du
café
de leur commerce, emboîtant le pas à leurs musiques militaires, fier
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s une cuisine de paysans, dans un temple, dans un
café
, dans une salle d’Université. Cui bono ? À qui le bénéfice ? À moi d
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er, celui qui vous entraîne dans sa chambre ou au
café
, celui-là peut vous révéler la vraie raison d’une communion entre deu