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halange de rhéteurs qui va de Jaurès à Sangnier ;
car
c’est, vous m’entendez, « au nom de la cause sacrée de la paix » que
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rendent grâces au ciel, alors éclate le scandale,
car
alors, de par la défection, mais aussi de par la souveraineté, désorm
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c’en est fait du christianisme de la chrétienté !
Car
ce cri est le témoignage d’un réveil. Et quand bien même il ne serait
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er. Comment dès lors l’utiliserait-il à son gré ?
Car
d’une part il ne peut pas la compromettre, et ce qu’il compromet, c’e
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les étoiles, je t’en précipiterai, dit l’Éternel…
Car
le jour de l’Éternel est proche pour toutes les nations. » (Abdias II
6
u en souffres ; mais j’ai encore plus à souffrir,
car
je suis encore plus sceptique que toi… Tu ne crois pas, dis-tu à ces
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e, elle a perdu la seule force qui le dominait. «
Car
le péché n’est pas le dérèglement de la chair et du sang, mais le con
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a toujours de vouloir sur le champ le plus juste.
Car
ce qui manifeste la foi, c’est le choix et non pas le système : il n’
9
’Acte — le seul ! — et tel est aussi le mystère ;
car
cette seule Rupture effective surpasse absolument nos forces, en même
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rait au désordre actuel, capitaliste ou marxiste.
Car
la révolte du chrétien est immédiate, indubitable ; mais l’ordre chré
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ar là même à ne jamais suffire à cette nécessité.
Car
la seule défense efficace, c’est l’attaque. Un travail qui néglige la
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u d’une séparation, d’une disjonction. Ou plutôt,
car
les choses sont toujours plus complexes que nos sommations, tout le m
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il faut maintenant déceler la lâcheté originelle.
Car
c’est bien d’un relâchement qu’elle résulte, d’une déficience de cett
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oisir. C’est créer un monde impensable, le nôtre.
Car
si le loisir est simplement le contraire du travail, et son but ; si
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u’ils affirment ! Que ce soit un non sans pathos,
car
l’affirmation seule est grave. C’est à l’homme qu’il faut dire oui, à
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s, de coordonnées. Très loin aussi de l’anarchie.
Car
l’exercice de la liberté personnelle entraîne des engagements humains
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ls ont besoin et ce qu’ils demandent réellement ?
Car
les gens ne demandent pas ce qu’ils ont l’air de demander, et ce qu’o
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l’acte qui consiste à les toucher et à les voir.
Car
un objet que personne n’a vu ni touché appartient à la connaissance q
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en distincts, et agissant chacun à leur manière ;
car
autrement, où serait l’événement ? La manière d’être de l’objet lors
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elles de la mort, et d’abord de leur propre mort.
Car
l’essence de l’homme, en tant qu’homme, est à jamais incalculable, si
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ain, il n’y aurait pas place pour la psychologie,
car
elle est liée à l’angoisse, c’est-à-dire à l’absence et au recul deva
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ture, l’Histoire peut témoigner, mais après coup,
car
les effets seuls sont visibles. Le temps nouveau qu’initie l’acte de
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où il me saisit, et seulement en lui obéissant ;
car
le connaître, c’est le connaître irrésistible. Et comment ai-je su qu
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vage. — Jusqu’à cet acte, que soudain j’ai fait !
Car
je l’ai fait, et je ne sais rien d’autre. J’ai reçu l’ordre, et ce po
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t en lui. L’ai-je accepté ? Déjà tout recommence.
Car
la durée n’ajoute rien à l’éternel. Ce pas petit et triomphal à peine
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qui sont entrés dans le malheur la tête haute ».
Car
ce sont « les jeunes gens qui ne possédaient rien qui ont écrit les p
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là deviendront sûrement un matériel incomparable.
Car
voyez-vous, Bell, rien ne rend aussi dur et aussi ardent que le malhe
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science de l’aveu que signifiait son entreprise ?
Car
enfin, poser la question en apparence inoffensive et toute pratique,
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eux que l’on révère en fait, qui règnent en fait,
car
on les avouerait difficilement, mais bien de ceux que l’on enseigne,
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us efficace dans la pratique. Piteuse en théorie,
car
les caricatures que l’on nous offre d’une réalité — ici l’esprit — so
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ants de sa force. Très efficace dans la pratique,
car
l’enseignement officiel de la Troisième République a su répandre une
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parfaits. Mais c’est jouer sur une impertinence,
car
le mot « désintéressement » a deux sens tout à fait indépendants. Que
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s commun, mais il repose sur une erreur de fait :
car
l’intellectuel, comme tout autre homme, et parce qu’il est homme, sim
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’Esprit incarné, l’Esprit qui s’est rendu mortel,
car
c’est ainsi qu’il peut changer le monde. Non pas en planant hors du t
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es, et très diversement rétribuées, de démission.
Car
l’esprit, lui aussi, mène à tout, mais à condition qu’on en sorte : e
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tribu », — condition nécessaire de toute culture.
Car
avant de parler il faut savoir le sens des mots. Et pour que les mots
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Goethe. Il n’y a rien à voir sous les apparences.
Car
rien n’existe, hors de ce qui se manifeste ; rien ne se manifeste hor
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’est comme moi. » C’est comme lui quand il écrit.
Car
sa vision est harmonie avec ces formes, et son langage avec les rythm
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érieur ? L’artiste répondra : ni l’un ni l’autre.
Car
il se tient, avec son imagination, dans cette région qui n’est ni du
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e c’est la faculté du concret chez un homme.) ⁂ «
Car
le phénomène de l’art est un phénomène d’incarnation (ce que l’école
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défense plus sûre que le recours à l’étymologie.
Car
le sens étymologique est toujours lié à une chose (ou à une action su
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Je dis qu’il ferait un meilleur travail éducatif.
Car
il porterait l’attention des hommes sur le concret de l’existence, le
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enté des hommes est entr’aperçue pour un instant.
Car
c’est à la ré-apercevoir pour un instant que tendent tous les arts, e
44
ssi cette malédiction, où on sent bien qu’on est (
car
rien autour de nous n’est vraiment éclos, vraiment abouti ; aucune mu
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ce mouvement, détournant l’attention de l’acte —
car
tout acte est particulier — pour la porter sur l’intention qui relève
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s limité et ce langage essentiellement technique.
Car
le Plan était avant tout, conformément à la doctrine marxiste, un sch
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ffisance d’un principe de communion aussi pauvre.
Car
une fois le pain assuré, quand les poètes se virent enfin libres de c
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par-dessus. » Telle fut la grande maxime du Plan.
Car
, disait-on, il faut parer au plus pressé, et la culture ne vient qu’a
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est irrationnel, et c’est la faute de la raison.
Car
cette raison, simple servante de l’action, s’est voulue maîtresse de
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lir une mesure commune à la pensée et à l’action.
Car
un ordre extérieur n’est solide et fécond que s’il résulte d’un ordre
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et orgueilleux, je retrouve la misère matérielle.
Car
à toutes les objections que je puis adresser à ces régimes, leurs par
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vidu et de la masse. 6. La violence nécessaire.
Car
notre force est personnelle et non pas collective. Elle réside dans l
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ns d’aller jusqu’au terme concret de nos pensées.
Car
alors il faudra subir les brutalités excitées par nos négations irrit
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son métier contraint à dissimuler sa vraie force.
Car
de l’auteur tout comme de son modèle légendaire, nous voyons bien que
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n de son vocabulaire sauvera Gide du journalisme.
Car
ce n’est pas l’actualité toute passagère de son objet qui fait la fai
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me sa juste indignation. Crime contre la culture.
Car
c’était le parti communiste qui avait pris soin de cette œuvre d’art,
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ager des tourments aussi déprimants que gratuits.
Car
en effet, si ce « je » du récit de M. Blanzat faisait un geste franc,
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inexplicables ? Ceci dit, l’on pourra déguster,
car
il s’agit ici de goût, au sens physique. Lanson fournit les dates de
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qui nous fait découvrir notre commune condition.
Car
en effet la condition commune, c’est de se sentir une exception, un t
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la pluie et du beau temps ». (Je dis bien groupe,
car
il y a peu de « personnes »). 15 avril La sieste de la Marquise Nous
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tendant l’adoption, la rédemption de notre corps.
Car
c’est en espérance que nous sommes sauvés » (Romains 8. 22-24). Parle
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fiches du « centre » et sur celles de la gauche. (
Car
la droite n’ose pas dire son nom dans ce canton.) Les partis de gauch
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ruction militaire prenant les enfants au berceau.
Car
aucune force matérielle ne pourra jamais remplacer, pour un petit pay
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is quelle manière d’idéaliser ce qui est mesquin.
Car
ce qui est mesquin chez nous, n’est en fait qu’une dégradation de l’i
65
ction de faiblesse, et néfaste à un double titre.
Car
d’une part nous y perdons ce qui fait notre valeur propre dans la cul
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it « le reste », on fait œuvre de mauvais Suisse,
car
c’est ce « reste » justement qui donne un sens à la fédération, donc
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s volontiers le budget de la conscience fédérale.
Car
le jour où il existera, l’on pourra dire que nos hommes politiques, s
68
ntanhagol. Un tel Amour n’admet point le mariage,
car
il n’a pas pour fin suprême la vie, mais bien la mort libératrice des
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’ordre naturel et un crime contre l’ordre social.
Car
le sacrement unissait tout à la fois deux âmes fidèles, deux corps ap
70
catholique s’efforçait de marier l’eau et le feu,
car
on pouvait tirer des Écritures et des Pères les thèses les plus contr
71
nflit de l’orthodoxie et d’une hérésie médiévale.
Car
cette dernière, comme telle, n’existe plus ; et si l’orthodoxie exist
72
l en résulte aucune espèce de solution pratique :
car
seul le mythe, c’est-à-dire l’inconscience pourrait fournir à la pass
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crées et sociales, elle le repousse avec horreur.
Car
l’engagement religieux est pris « pour le temps et l’éternité », c’es
74
u même coup de nous rendre inaptes à le posséder.
Car
tout ce qu’on nous propose nous introduit dans le monde de la compara
75
r qu’un tel jugement se fonde sur une équivoque :
car
l’Amour dont il s’agissait n’était rien d’autre que la foi cathare, e
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ait est-elle encore désirable une fois rejointe ?
Car
Iseut, c’est toujours l’étrangère, l’étrangeté même de la femme, et t
77
’amour-passion signifiait « vivre » pour Tristan,
car
la « vraie vie » qu’il appelait, c’était la mort transfigurante. Mais
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seule chose nécessaire : le sens de la fidélité.
Car
voici la fidélité : c’est l’acceptation décisive d’un être en soi, li
79
r but prochain de refaire des cadres à sa nation.
Car
sans cadres, l’économie périclitait, et la « défense nationale » ne p
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oujours raison, dès l’instant qu’on parle raison.
Car
l’homme de la passion est justement celui qui choisit d’être dans son
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n’est à aucun degré une solution que je propose.
Car
outre qu’une telle solution probablement n’existe pas, si elle exista
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être un amour heureux, un mariage avec sa vertu.
Car
l’amour du pécheur pour Dieu est « essentiellement malheureux », et c
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la par condescendance, je n’en fais pas un ordre…
Car
il vaut mieux se marier que de brûler… Que chacun marche selon la par
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e ou marié)… usant du monde comme n’en usant pas,
car
la figure de ce monde passe. » (I. Cor. 7, 1-32). Et voici le coup d
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ertes, il y a du sophisme dans mon raisonnement :
car
tout se passe d’ordinaire comme si le bonheur des époux dépendait en
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n. Ce n’est pas là un éloge du « coup de tête » :
car
tant que l’on peut calculer, j’admets qu’il est stupide de s’en prive
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ne dot adéquate — dont je veux être le Tristan ».
Car
ce serait là mentir et l’on ne peut rien fonder qui dure sur le menso
88
« Je veux vivre avec vous telle que vous êtes. »
Car
cela signifie en vérité : « c’est vous que je choisis pour partager m
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l vrai problème est de savoir comment Lui obéir.)
Car
la fidélité est sans raisons — ou elle n’est pas — comme tout ce qui
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riter cet inquiétant nom d’homme, au sens actuel.
Car
pour ceux du siècle présent, je pense que la fidélité se définit comm
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et en second lieu la volonté de faire une œuvre.
Car
la fidélité n’est pas du tout une espèce de conservatisme. Elle est p
92
. Je dis qu’une telle fidélité fonde la personne.
Car
la personne se manifeste comme une œuvre, au sens le plus large du te
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iser ». Mais Agapè se venge d’Éros en le sauvant.
Car
Agapè ne sait pas détruire et ne veut même pas détruire ce qui détrui
94
este l’expérience de la fidélité dans le mariage.
Car
cette fidélité se fonde justement sur le refus initial et juré de « c
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et la démonstration du triomphe d’Agapè sur Éros.
Car
l’amour réellement réciproque exige et crée l’égalité de ceux qui s’a
96
le habitue à ne plus séparer le désir et l’amour.
Car
si le désir va vite et n’importe où, l’amour est lent et difficile, i
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oins que la connaissance de nos devoirs présents.
Car
« la figure de ce monde passe », mais l’obéissance est toujours hic e
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sommes jetés au cœur même de la foi chrétienne !
Car
voici : cet homme mort au monde, tué par l’amour infini, devra marche
99
présente, mais sous l’incognito le plus jaloux :
car
elle est bien plus que royale, elle est divine. Et dans l’analogie de
100
, mais qui n’appartient plus à la forme du monde,
car
c’est lui qui transforme le monde. 93. Je m’en tiens au « cas-limi
101
uelques séances d’études et de mises au point. 3.
Car
on ne croit pas suffisamment à ce qu’on affirme, à savoir la mort des
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ques dans l’esprit de votre lecteur — et du mien.
Car
en fait, je ne prétends nullement que mon livre soit un livre d’histo
103
C’est à partir de là que nous pouvons dialoguer.
Car
à partir de là, nous pouvons en appeler à l’objectivité la plus réell
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fois perdre de vue « la seule chose nécessaire ».
Car
l’Écriture nous dit que si nous la gardons « tout le reste nous sera
105
oui, vous en avez, et je les souhaite nombreux :
car
avec de tels maîtres, ils auront bientôt fait de retrouver la joie de
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sans doute. Il me paraît au contraire rassurant.
Car
le pire danger pour le christianisme serait de cesser d’être chrétien
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que c’est la question de l’Asie qui nous sépare.
Car
en réalité, nous touchons à l’Asie. Nous sommes une puissance maritim
108
rop favorables ou trop critiques sur l’Amérique !
Car
le contraire, chaque fois, peut aussi être vrai. Car ces rêveurs sont
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le contraire, chaque fois, peut aussi être vrai.
Car
ces rêveurs sont aussi, et souvent, de vieux cornichons à lunettes, a
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’une « grille désodorisante »… Ils sont modernes.
Car
avec une belle énergie et beaucoup moins de naïveté que nous ne le pe
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llage lyrique, dans tous les domaines de la vie ;
car
notre économie minutieuse des moyens, surestimée par l’École et l’Éta
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atique à tous risques d’un idéal même imparfait ;
car
notre rigorisme intellectuel masque souvent des lâchetés de frileux.
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. Cette attitude détient le secret de la liberté.
Car
il n’est de liberté réelle qu’en avant, dans tous les ordres, à chaqu
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ecteur non prévenu s’y tromperait, mais pas vous.
Car
ma phrase signifie, à vous en croire, que deux millions de personnes