1
a preuve d’une obéissance à Dieu qui devrait être
celle
de tout croyant ; ou s’il a seulement manifesté sa vocation particuli
2
s dont le nom sert encore de recommandation (pour
ceux
qui croient aux « relations »). Cette vertu laïque et démodée, confec
3
r lesquels nous nous ferions tuer, et les buts de
ceux
qui nous feraient volontiers tuer. Jean-Richard Bloch l’a dit à la ba
4
ement. C’est la théologie païenne par excellence,
celle
de l’État-Dieu, qui veut l’obéissance aveugle… » 6° Il n’y a qu’un ra
5
ne l’« ordre » bourgeois. Une manifestation comme
celle
de la rue du Cherche-Midi présente cet avantage d’être une véritable
6
fondant scandaleusement sa cause avec la cause de
ceux
qui réellement gouvernent. (On sait ce qu’ils sont.) Il faut qu’un cr
7
pas le christianisme qui a confondu sa cause avec
celle
de la bourgeoisie capitaliste. Mais c’est un parti de gens qui, ayant
8
chrétien ne connaît pas d’autre force réelle que
celle
de la foi. Or cette unique force ne lui appartient pas ; tout au plus
9
de, c’est en réalité sur une tout autre force que
celle
de la foi. Ce peut être sur une éthique de puissance et de service ;
10
n plus semblables — oh ! tout extérieurement ! —à
celles
qu’inventent les hommes sans la foi. C’est la meilleure façon que le
11
l’Église : « Tes amis t’ont jouée, t’ont dominée,
ceux
qui mangeaient ton pain t’ont dressé des pièges — et tu n’as pas su t
12
rre ? — Quand tu placerais ton nid aussi haut que
celui
de l’aigle. Quand tu placerais ton nid parmi les étoiles, je t’en pré
13
nfisquer à leur profit « la primauté du Christ et
celle
de l’Europe 3 ». L’on voit des von Papen, délégués par l’industrie lo
14
e révolte. Mais j’en ai une autre plus profonde :
celle
de voir qualifier de « chrétienne » une « idée » qui sert l’injustice
15
qu’il y a prescription : l’Esprit n’est plus avec
ceux
qui ont intérêt à le défendre. L’Esprit n’est plus avec ceux qui ont
16
t intérêt à le défendre. L’Esprit n’est plus avec
ceux
qui ont cru pouvoir l’utiliser. L’esprit n’est jamais avec ceux qui l
17
ru pouvoir l’utiliser. L’esprit n’est jamais avec
ceux
qui le défendent6, mais peut-être avec ceux qu’il excite à l’attaque
18
avec ceux qui le défendent6, mais peut-être avec
ceux
qu’il excite à l’attaque du désordre. « On voit maintenant, dit Kierk
19
ne peut pas le défendre, cela n’a aucun sens, et
ceux
qui prétendent le défendre mentent, et ne défendent que leur esprit.
20
me social et politique plus scandaleux encore que
celui
des églises catholiques, puisque il se trouve condamné par la dogmati
21
seule doctrine véritablement révolutionnaire est
celle
qu’on doit tirer de la foi protestante. Il faudrait nommer encore des
22
e nous en pâtissons dans une mesure qui n’est pas
celle
de la condamnation portée sur notre race. On peut dire que nous en re
23
en » dire, — et c’est pourquoi elle parle mal. Or
ceux
qui l’ont attaquée jusqu’ici n’ont rien fait d’autre, ou n’ont rien f
24
non à notre tour ? Que ce soit le non décisif de
ceux
qui savent ce qu’ils affirment ! Que ce soit un non sans pathos, car
25
se de simplifier. Dans la littérature bourgeoise,
celle
qui est née avec le romantisme, il me semble qu’on peut distinguer tr
26
t des auteurs qui se gaussent des deux premières,
ceux
qui méprisent la vie bourgeoise, l’amour et le mariage bourgeois, l’i
27
que à parler du livre dont on parle plutôt que de
celui
dont il faudrait parler, et qu’on ignore. Elle ne juge plus : elle tr
28
mes. » Nous dirons première heure de la personne.
Ceux
qui n’ont pas en eux cette mesure de l’homme, que pourraient-ils voir
29
désordre impensable, appel aux dictateurs ? Mais
ceux
qui connaissent la mesure connaîtront bientôt l’ordre et la culture q
30
ain ! Initiation au réalisme enfin total, qui est
celui
du combat personnel ; initiation à la vision constituante de notre vi
31
initiation à la vision constituante de notre vie,
celle
qui unit dans un même regard les apparences actuelles et l’ordonnance
32
sont unanimes à condamner sans nul recours, c’est
celui
du roman à thèse. Méfiance significative ! Les thèses de Bourget ne v
33
primitif, de sorte qu’ils trahissent la pensée de
ceux
qui les répètent, mais se chargent alors, parfois, dans la bouche des
34
amais que le plus bas ? Ne penserez-vous jamais à
ceux
qui ont besoin de comprendre le monde ? — J’ai une grande dette de re
35
h ! nous sommes loin — (avec ces auteurs-là) — de
ceux
qui écrivent merde cent fois la ligne pour faire croire qu’ils sont f
36
ance. Alors l’objet n’a pas d’autre existence que
celle
d’une fatalité abstraite pesant sur la conscience du sujet. Mais dès
37
’il agit. C’est pourquoi ils se trompent du tout,
ceux
qui considèrent l’homme, dans leurs calculs, comme un facteur indiffé
38
ose faible et petite dont ils ignorent la nature.
Ceux
qui calculent avec les hommes ne calculent qu’avec leur angoisse, ils
39
dans la précision. Les lois qu’ils imaginent sont
celles
de la mort, et d’abord de leur propre mort. Car l’essence de l’homme,
40
de la psychologie est à peu près contemporaine de
celle
de l’homme abstrait dans l’ordre politique. Et l’extension de cette s
41
y a des figurants qui n’ont pas de visage ; mais
ceux
qu’on voit sont les acteurs qui jouent leur rôle d’hommes et qui crée
42
ue de l’individu à la personne, la différence est
celle
du figurant anonyme à l’acteur, de celui qui fait nombre à celui qui
43
ence est celle du figurant anonyme à l’acteur, de
celui
qui fait nombre à celui qui fait loi, de celui qui regarde à celui qu
44
nt anonyme à l’acteur, de celui qui fait nombre à
celui
qui fait loi, de celui qui regarde à celui qui s’engage. Nous pouvons
45
de celui qui fait nombre à celui qui fait loi, de
celui
qui regarde à celui qui s’engage. Nous pouvons voir ensuite un premie
46
mbre à celui qui fait loi, de celui qui regarde à
celui
qui s’engage. Nous pouvons voir ensuite un premier caractère de la pe
47
is ce sont alors les lois mêmes de notre absence,
celles
du monde abandonné et qui paraît déterminé de soi, puisqu’il est vu p
48
ut jouer la personne dans cette image ? Peut-être
celui
de la valence, c’est-à-dire de la puissance de combinaison d’un atome
49
rsonnel, les relations les plus « valables » sont
celles
qui exigent de l’homme la plus constante proximité : l’œuvre, le mari
50
Il y a dans cette révolte un certain ascétisme :
celui
des lendemains amers de débauche. Il y a aussi dans la doctrine déter
51
es eaux primitives, et les lois de mon corps sont
celles
de la poussière ? — Rien, l’esprit n’est plus rien, et comprendre n’e
52
mirable ! 16. Matthieu 7:21 : « Ce ne sont pas
ceux
qui me disent Seigneur ! Seigneur !… mais celui qui fait la volonté d
53
as ceux qui me disent Seigneur ! Seigneur !… mais
celui
qui fait la volonté de mon Père » — c’est-à-dire celui — opposé à l’i
54
qui fait la volonté de mon Père » — c’est-à-dire
celui
— opposé à l’impersonnel ceux — qui agit sa vocation. 17. Ceci ne do
55
e » — c’est-à-dire celui — opposé à l’impersonnel
ceux
— qui agit sa vocation. 17. Ceci ne doit pas être entendu dans le se
56
fuse… Je demande à ce qu’on tienne pour un crétin
celui
qui… » Je prends ces trois débuts de phrases dans une seule demi-page
57
À peine moins autobiographique, semble-t-il, que
celui
du jeune homme de tout à l’heure. Mais ici c’est un ouvrier qui parle
58
éclassés » comme le sont aujourd’hui presque tous
ceux
qui entrent dans la vie. Mais en parlant d’étude, je fais tort au ton
59
ient de le reconnaître. Un tel livre n’est pas de
ceux
dont la carrière s’épuise en une saison, si j’en crois l’amitié, les
60
ante de l’Amérique qu’il nous reste à découvrir :
celle
du Sud. Enfin, c’est un livre qui mériterait, mieux que celui de Malr
61
. Enfin, c’est un livre qui mériterait, mieux que
celui
de Malraux, de s’intituler : la condition humaine. Craindrait-on par
62
tue de Pillau, le ministre d’Allemagne à La Paz —
celui
qui n’a pas pu sauver ses camarades — se dresse devant lui dans son d
63
la peine de chercher l’origine, qui est peut-être
celle
, permanente, de l’erreur hégélo-marxiste. Tzara explique p. 271 que «
64
duction. La revendication de Tzara est exactement
celle
de l’hitlérisme sous ses formes les plus virulentes. Dans une anticip
65
it d’ailleurs de faire suivre l’annonce du mal de
celle
de son remède. Pourquoi résister au plaisir de proposer à mes lecteur
66
he des puissances d’audace ordonnée et de mesure,
celles
de l’intelligence… C’est dire que l’esprit créateur y doit être à l’h
67
it où les travailleurs désintéressés de l’esprit,
ceux
dont les recherches n’ont pas pour objet immédiat les applications pr
68
a proposition qu’on vient de lire ne saurait être
celle
d’une société équilibrée. Où est l’esprit ? Quel est son champ d’acti
69
communs de la Troisième République. Non point de
ceux
que l’on révère en fait, qui règnent en fait, car on les avouerait di
70
car on les avouerait difficilement, mais bien de
ceux
que l’on enseigne, et qui composent la notion courante de l’esprit pu
71
cature tient à ce qu’elle est une simplification.
Celle
qu’on nous présente de l’esprit comble si bien notre paresse, et peut
72
e constatation évidente : l’opinion de l’élite ni
celle
du grand public n’opposent la moindre réaction à l’aveu d’un complot
73
des humaines contingences, plus sûrement on livre
celles
-ci à l’empire des intérêts. Sorel a bien montré ce jeu dans ses Illus
74
ffet, l’esprit dont ils parlent étant précisément
celui
que l’on enfermera dans la « cité René Descartes », ses droits ne sau
75
t efficace des doctrines intellectualistes, c’est
celle
qui consisterait dans une psychanalyse du sérieux universitaire, cons
76
une abdication de tout rôle actif. L’avenir est à
ceux
qui ne sont pas désabusés36. Entendez que l’avenir appartient prati
77
t-à-dire embrasser les « choses humaines » — oui,
celles
-là justement et non pas d’autres — ces choses encore informes, diffic
78
le, le dernier mot de la sagesse des philosophes,
celui
qui excuse en fin de compte — à leurs yeux seuls — tous leurs refus d
79
Ce royaume n’eût gêné personne, tout semblable à
celui
des clercs. On lui eût donné son Palais. Mais que vient-il faire parm
80
eux, mais bien une sorte d’implacable agencement,
celui
du doit et de l’avoir, contrôlé tôt ou tard par la constatation du re
81
tuné. Deux espèces de carrières s’ouvrent à lui :
celle
des accommodements et celle du chômage. La carrière des accommodement
82
res s’ouvrent à lui : celle des accommodements et
celle
du chômage. La carrière des accommodements offre à « l’esprit » des p
83
alais de l’Esprit destiné à servir de club à tous
ceux
qui voudront discuter en public les questions suivantes : a) définiti
84
élégante et muette, — c’est une chose, c’est même
celle
qu’on fera. Mais c’est tout autre chose que d’inviter le grand public
85
er des questions bien simples et bien grossières,
celles
que les clercs prudents ne posent jamais, celles que nous pose le dés
86
celles que les clercs prudents ne posent jamais,
celles
que nous pose le désordre établi. On imagine difficilement nos commis
87
s les instruments de construction, qui sont aussi
ceux
des démolitions préparatoires. L’important, c’est de voir hic et nunc
88
bourgeois, dont l’enseignement converge ici avec
celui
du marxisme vulgaire. 27. Dont l’un au moins paraît préoccuper M. Du
89
. J’entends : à la grande masse du peuple, à tous
ceux
qui ne sont pas intellectuels, et qui sont les premiers à souffrir de
90
nsée pure et des discours vient l’engouement pour
ceux
qu’on nomme les « techniciens ». Cette mode, parfois heureuse, repose
91
er, esprit pratique et informé. Or, la plupart de
ceux
qu’on nomme ainsi sont justement des théoriciens — ingénieurs ou écon
92
ir de la Science). L’évolution de Renan symbolise
celle
de notre culture : il part d’une conception spiritualiste dont il esc
93
nne, à la manière du physiognomoniste plutôt qu’à
celle
du psychologue. Méthode qui paraîtra d’autant plus opportune, appliqu
94
ns les salons, au temps où le seul tribunal était
celui
du goût (c’est-à-dire des poncifs imposés par la cour de Louis XIV).
95
d’une Antiquité, il faut entendre qu’il s’agit de
celle
du pays de Vaud : non pas la grecque, qui est scolaire — pour eux — m
96
ique de Ramuz atteignit une autorité comparable à
celle
qui éclate dans cet ouvrage entièrement créé, entièrement « autorisé
97
. D’où le reproche de puérilité que lui adressent
ceux
qui par exemple n’hésitent pas à prendre au sérieux l’intrigue d’un r
98
bruit de vitres cassées, de grincements pareils à
ceux
d’un clou sur un caillou, d’un mélange de toux sèches ou rauques et d
99
ans son œuvre, une perspective qui est, je crois,
celle
de la plénitude de cette œuvre. Par-delà tous les pays, il y a peut-
100
formules d’un art dont la genèse se confond avec
celle
de la personne. Dans un essai où je crois distinguer l’aveu de soi le
101
avantage. Certaines paroles dites par cette voix.
Celui
qui se refuse à poser les questions dernières, s’autorise à borner sa
102
a de notre tout. La question dernière est posée :
celle
de notre destination. Le silence perd alors son pouvoir ; mais la par
103
n régime de travail parfois beaucoup plus dur que
celui
qui existe encore dans les pays capitalistes. L’avantage d’une commun
104
nstruire des tracteurs, les poètes du tracteur et
ceux
qui le conduisaient parlaient naturellement le même langage qui était
105
lus vivante se manifeste bien souvent à l’insu de
ceux
qu’il tourmente. C’est ici le mythe de l’homme nouveau qui lui fourni
106
n déguisement. Mythe plus vaste et plus vague que
celui
des économistes, mythe créé par l’angoisse et l’orgueil des prisonnie
107
’on disait naguère américaine, et qui ressemble à
celle
des nouveaux riches de tous les temps. Nous avons fait des expérience
108
épendamment de tout jugement politique, est aussi
celui
qui nous intéresse ici directement : les dictatures totalitaires ont
109
hui. Dans cette Europe, deux espèces de nations :
celles
qu’on dit vieilles, et celles qui se disent rajeunies. Les vieilles n
110
spèces de nations : celles qu’on dit vieilles, et
celles
qui se disent rajeunies. Les vieilles nations mènent encore une vie à
111
u commun vivant. Les nations dites rajeunies sont
celles
qui ont fait ou subi depuis la guerre une révolution de masses. Elles
112
érielle, une autre ruine plus grave est apparue :
celle
d’une image du monde, d’une conception du monde fondée sur la raison,
113
affirme à nouveau l’Église en tant que société de
ceux
qui croient, et qui revient à la doctrine du bien commun. Elle agit d
114
s grandes dictatures ne sont dangereuses que pour
ceux
qui s’y livrent. Ils n’arrêteront pas la tempête à l’aide de leurs fi
115
nce historique par des créations aussi fortes que
celles
qui nous défient là-bas, nous serons colonisés, comme la Grèce par Ro
116
and nombre, et nous voulons la force personnelle,
celle
que donne la vérité. Notre mesure commune ne sera pas collective, ext
117
« ses ruses sont aussi ses plus chères pensées »,
celles
dont l’aveu lui coûterait ses moyens matériels de vivre, mais dont l’
118
fois du côté animal. C’est un idéal quand même :
celui
de la luxure. Et c’est encore une évasion, encore un exotisme à l’us
119
bien l’insuffisance ou le mensonge d’une langue —
celle
du reporter par exemple — inapte à traduire le concret, le particulie
120
loin de compte. Oui, dictature, évidemment ; mais
celle
d’un homme, non plus celle des prolétaires unis, des Soviets. » — Int
121
ure, évidemment ; mais celle d’un homme, non plus
celle
des prolétaires unis, des Soviets. » — Internationalisme ? « L’import
122
r le mépris, ou tout au moins l’indifférence, que
ceux
qui sont et qui se sentent du “bon côté”, marquent à l’égard des “inf
123
et dans une situation qu’on ne peut comparer qu’à
celle
du chrétien anticlérical. Seulement, la dissociation de la foi et des
124
roudhon, grand écrivain français pourtant ; et de
celle
de Georges Sorel ? Et même de celle de Nietzsche, sans qui Gide et ta
125
rtant ; et de celle de Georges Sorel ? Et même de
celle
de Nietzsche, sans qui Gide et tant d’autres nous demeurent inexplica
126
re, dans ce cas, ordonnée à une loi qui n’est pas
celle
de l’objet mais du sujet. Son chapitre sur Balzac a de la grandeur, e
127
e à la vue tout un quartier d’histoire populaire,
celui
de Juillet 1789 et de Juillet 1830. » De tels passages — et ils foiso
128
it, de Clausewitz. Il passionnera d’ailleurs tous
ceux
qui cherchent à connaître l’état réel des forces dans le monde présen
129
é qu’aucun bourgeois ne se serait permise. Avis à
ceux
de Saint-Denis ! Noske, Mussolini, Doriot, Staline ont plus d’un trai
130
te, et en France, beaucoup plus vive et juste que
celle
des masses ou des politiciens. (Je ne dis pas qu’elle est plus effica
131
hain » ; et : « Toute création est communication.
Celui
qui connaît, celui qui crée, celui qui aime ne font qu’un ». (Les deu
132
te création est communication. Celui qui connaît,
celui
qui crée, celui qui aime ne font qu’un ». (Les deux sont justes.) ⁂ S
133
communication. Celui qui connaît, celui qui crée,
celui
qui aime ne font qu’un ». (Les deux sont justes.) ⁂ Sur la contradict
134
iée par Karl Jaspers. Je signale ce grand livre à
ceux
qui lisent l’allemand, en attendant une traduction, aussi nécessaire
135
l dans la vie réelle. Telle est notre situation —
celle
du monde bourgeois-capitaliste, mais aussi celle des dictatures, d’un
136
celle du monde bourgeois-capitaliste, mais aussi
celle
des dictatures, d’une manière encore plus frappante. Certes, nos inst
137
il s’admire dans sa révolte ou son malheur. Mais
celui
qu’on peut voir, celui qui vous pose des questions, celui qui vous at
138
volte ou son malheur. Mais celui qu’on peut voir,
celui
qui vous pose des questions, celui qui vous attend à la sortie, et ne
139
’on peut voir, celui qui vous pose des questions,
celui
qui vous attend à la sortie, et ne sait trop comment vous aborder, ce
140
la sortie, et ne sait trop comment vous aborder,
celui
qui vous entraîne dans sa chambre ou au café, celui-là peut vous révé
141
hoses près, sur les affiches du « centre » et sur
celles
de la gauche. (Car la droite n’ose pas dire son nom dans ce canton.)
142
ade, défaite, un alibi pour la mauvaise humeur de
ceux
qui n’ont plus de « prochains » ? 69. À Montmartre, il y a deux ou
143
comme ailleurs, plus qu’ailleurs peut-être, pour
celui
qui voit, le malheur défait et refait sans cesse un monde banal, vulg
144
eront immédiatement. » Ou encore : « Le poète est
celui
qui inspire bien plus que celui qui est inspiré. » Mais peu après l’o
145
: « Le poète est celui qui inspire bien plus que
celui
qui est inspiré. » Mais peu après l’on dénonce les « ignobles appétit
146
igion, de patrie ». Les idées de qui ? Si ce sont
celles
que les bourgeois et les staliniens se font de ces réalités, nous com
147
omme suit les éléments : « L’ancienne génération,
celle
dont les membres avaient environ la trentaine en 1900 fut une générat
148
que la génération des anciens est essentiellement
celle
de Barrès, de Maurras, de Sorel, de Péguy, de Claudel, de Rolland, de
149
bra est notre maître à tous. Et s’il est vrai que
celui
qui refuse d’endosser les conséquences de sa vérité prouve par là qu’
150
rité prouve par là qu’il en a plus de respect que
celui
qui s’efforce de la réaliser, — c’est que la vérité dont il s’agit re
151
commun, nous trouverions d’abord quelques refus (
ceux
que nous formulions dès les débuts de cette revue : ni communisme, ni
152
que à distinguer cette « génération » nouvelle de
celle
qui s’illustra par le surréalisme. Littérature présente au monde dans
153
hrétienne. Entreprise en tous points comparable à
celle
d’un Pic de la Mirandole, pour ne prendre que l’un des auteurs les pl
154
infiniment probable que ces visions, de même que
celles
qu’on note chez la plupart des mystiques, doivent être considérées co
155
; et cette interprétation rejoint très exactement
celle
que Swedenborg en donnait lui-même. De même, la cosmologie swedenbor
156
ou d’anéantissement du moi, qui est sans conteste
celui
de tous les mystiques, orientaux ou occidentaux, païens ou chrétiens,
157
s apercevez que ce sont vos réponses elles-mêmes,
celles
que déjà vous étiez prêt à lui donner, qui se trouvent mises en quest
158
près l’idéal que Keyserling juge à notre mesure,
celui
du tenancier de grand palace. (Ramuz, plus dur, parle de portier d’hô
159
alogue qui menace la neutralité, dès l’instant où
ceux
qui en jouissent oublient pourquoi ils ont reçu ce droit. Je ne dirai
160
de la papauté, gardiens du siège de la SDN et de
celui
de la Croix-Rouge, gardiens de ce qui est européen et commun à toutes
161
ur un plan à la fois plus élevé et plus vaste que
celui
de « l’unification » à la mode jacobine ou classique. C’est l’unité o
162
es. 75. Par exemple : les droits des communes et
ceux
du canton ; les droits des cantons et ceux de la Confédération ; les
163
nes et ceux du canton ; les droits des cantons et
ceux
de la Confédération ; les droits de la Suisse et ceux de l’Europe ; i
164
de la Confédération ; les droits de la Suisse et
ceux
de l’Europe ; images et conséquences à la fois de l’équilibre fondame
165
re fondamental entre les droits de la personne et
ceux
de la communauté. 76. On disait en Allemagne, pendant la guerre : «
166
u’à nos jours, se révèle exactement assimilable à
celle
d’un mythe. Tristan est un roman « courtois ». La courtoisie est née
167
age Deux morales s’affrontaient au Moyen Âge :
celle
de la société christianisée, et celle de la « courtoisie » hérétique.
168
Moyen Âge : celle de la société christianisée, et
celle
de la « courtoisie » hérétique. L’une impliquait le mariage, dont ell
169
damentaux de l’espèce et les intérêts de la cité.
Celui
qui contrevenait à ce triple engagement ne se rendait pas « intéressa
170
est signe d’élection, tandis que pour saint Paul,
celui
qui reste vierge « fait mieux » que celui qui se marie, même chrétien
171
t Paul, celui qui reste vierge « fait mieux » que
celui
qui se marie, même chrétiennement. L’hérésie manichéenne qui est à l’
172
expliquer autrement qu’à partir du xiie siècle,
celui
qui commet l’adultère devienne soudain un personnage intéressant ? Le
173
que la vie ne saurait être à plein vécue que par
ceux
qui « ont passé par là ». Or la passion et le mariage sont par essenc
174
esse morale, qu’elle nous met au-dessus des lois.
Celui
qui aime de passion accède à une humanité plus haute, où les barrière
175
sante, libération des liens terrestres. Mais pour
celui
que le mythe vient tourmenter sans lui révéler son secret, il n’est d
176
nit pas un stade d’anarchie sexuelle comparable à
celui
de la Russie jusqu’à Staline. Mais le processus de ruine des obstacle
177
dans une tension incalculablement plus forte que
celle
qui s’institua au xiie siècle. Mais l’éventualité de la guerre, c’es
178
la dialectique de la passion qui se distingue de
celle
du désir en ce qu’elle refuse la satisfaction. On n’aime pas Iseut, o
179
e raison. Car l’homme de la passion est justement
celui
qui choisit d’être dans son tort, aux yeux du monde — et dans ce tort
180
pirituelle qui tue mieux que la passion d’amour :
celle
au moins de l’orthodoxie contre l’hérésie primitive, mais encore plus
181
I. Cor. 7, 1-32). Et voici le coup de grâce : «
Celui
qui n’est pas marié s’inquiète des choses du Seigneur, des moyens de
182
du Seigneur, des moyens de plaire au Seigneur, et
celui
qui est marié s’inquiète des choses du monde, des moyens de plaire à
183
œuvre —, soit du point de vue spirituel pur, pour
ceux
qui croient. Il n’est possible alors d’affirmer le mariage qu’au-delà
184
z prévoir votre future évolution, et encore moins
celle
de l’épouse choisie, encore bien moins celle du couple formé. Les fac
185
oins celle de l’épouse choisie, encore bien moins
celle
du couple formé. Les facteurs mis en jeu sont trop hétéroclites. À su
186
inquiétant nom d’homme, au sens actuel. Car pour
ceux
du siècle présent, je pense que la fidélité se définit comme la moins
187
? Et le mari fidèle, ne serait-ce pas simplement
celui
qui a reconnu dans sa femme une Iseut ? Lorsque l’amant de la légende
188
’autre d’abord, et non pas à son moi d’abord, que
celui
qui aime voue sa fidélité. Et tandis que la fidélité de Tristan était
189
réellement réciproque exige et crée l’égalité de
ceux
qui s’aiment. Dieu manifeste son amour pour l’homme en exigeant que l
190
istan. Excuse et alibi qui ne peuvent tromper que
celui
qui veut être trompé, parce qu’il y trouve son intérêt ; figures de r
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le domaine de l’éthique d’abord, mais aussi dans
celui
de la culture et de sa philosophie. Au terme de cet essai, il suffira
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t orientés par une volonté exactement contraire à
celle
de passion. Ce qui peut induire en erreur, et ce qui a introduit de f
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raire manichéen. C’est ce qu’ignorent communément
ceux
qui assimilent le christianisme et l’Occident, comme si tout l’Occide
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ement malheureux. « Dieu crée tout ex nihilo » et
celui
que Dieu élit par son amour, « il commence par le réduire à néant ».
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pas lire le nom de Lawrence parmi les premiers de
ceux
qui se sont attaqués à la fausse passion) et la réponse de Rougemont.
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Non, je ne « prétends pas classer Lawrence parmi
ceux
qui ont méconnu » le problème que j’aborde. Mais le chapitre qui para
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ernée du pouvoir, la décomposition des « blocs »,
celle
des Ligues trop peu novatrices, la naissance d’une dictature qui s’af
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la doctrine soit plus complète et sympathique que
celle
des « formations traditionnelles », un parti où l’on puisse « militer
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r d’homme, et non pas au niveau de l’opinion. 10.
Ceux
qui doutent de son efficace sont victimes de l’optique des partis. 11
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ficace sont victimes de l’optique des partis. 11.
Ceux
qui demandent des directives au centre sont victimes de l’optique des
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victimes de l’optique des partis. 12. Et de même,
ceux
qui attendent pour agir que nous soyons « suffisamment nombreux ». 13
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mon livre qui furent publiés ici même sont, avec
ceux
ou plutôt celui que vous critiquez dans un rapport quelque peu équivo
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furent publiés ici même sont, avec ceux ou plutôt
celui
que vous critiquez dans un rapport quelque peu équivoque, qu’il m’imp
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uvons en appeler à l’objectivité la plus réelle :
celle
de certaines formes fixes de l’esprit au nom desquelles nous portons
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urs critiques m’ont adressé le reproche inverse :
celui
d’avoir donné de l’amour courtois une description si enthousiaste qu’
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ature telle qu’elle est, mais vers le moi rêvé de
celui
qui s’exalte. C’est une espèce de narcissisme. Le seul amour qui tend
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nisme. L’état d’Esprit qui fait enquête n’est pas
celui
d’une conquête. Attention. bd. Rougemont Denis de, « [Réponse à un
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ain-d’œuvre aux entreprises publiques et privées,
celle
des matières premières et d’une façon générale toute l’économie de gu
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rassurer. Ils ont donné nos meilleurs immigrants,
ceux
qui ont fondé nos vieilles familles. Quels sont les pays qui marchent
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rand nombre en tire le plus de profit. Comme tous
ceux
qui décrivent une nation étrangère, j’ai péché par stylisation. Ajout
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i dit qu’ils rêvent. J’ajouterai qu’ils détestent
celui
qui vient les réveiller. Ils le tiennent pour pervers et masochiste.
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es décents, à trouver drôles plutôt que ridicules
ceux
qui ont d’autres allures que nous. Apprenons d’eux la valeur créatric
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onialiste — par le moyen d’une grande fédération.
Ceux
qui perdront la face aux yeux de l’histoire, ce seront ceux qui auron
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erdront la face aux yeux de l’histoire, ce seront
ceux
qui auront dit que l’Europe était finie, quand il s’agissait de la fa