1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
1 plus juste. Car ce qui manifeste la foi, c’est le choix et non pas le système : il n’est de choix que personnel. Ainsi le rôl
2 ’est le choix et non pas le système : il n’est de choix que personnel. Ainsi le rôle de l’Église doit-il rester de porter sur
2 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
3 blèmes individuels déterminent de plus en plus le choix réciproque des conjoints. D’où le nombre croissant de divorces. En mê
4 echniques, et bientôt politiques, en sorte que le choix d’un type de femme échappe de plus en plus au mystère personnel, et s
3 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
5 dans ce tort majeur, irrévocable, que signifie le choix de la mort. Et comment échapper au démon que l’on fixe ? Pour attaque
6 alors en parler n’est qu’une farce — mais dans le choix qui détermine une existence. 2. Critique du mariage Si je ne vo
7 me décision Si l’on songe à ce que signifie le choix d’une femme pour toute la vie, l’on en vient à cette conclusion : cho
8  : elle l’entretient ainsi dans l’illusion que le choix d’une femme dépend d’un certain nombre de raisons qu’il serait possib
9 st alors du côté du bon sens, qui recommandait un choix mûri et raisonné, selon des critères impersonnels. Mais enfin ce n’es
10 r le caractère de pari que revêt objectivement un choix de cet ordre, on donne à croire que tout se ramène à une sagesse, à u
11 et au réel, d’enseigner aux jeunes gens que leur choix relève toujours d’une sorte d’arbitraire, dont ils s’engagent à assum
12 espèce pour se rapprocher de la personne, plus le choix devient singulier. À cette personnalisation de l’être aimé correspond