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plus juste. Car ce qui manifeste la foi, c’est le
choix
et non pas le système : il n’est de choix que personnel. Ainsi le rôl
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’est le choix et non pas le système : il n’est de
choix
que personnel. Ainsi le rôle de l’Église doit-il rester de porter sur
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blèmes individuels déterminent de plus en plus le
choix
réciproque des conjoints. D’où le nombre croissant de divorces. En mê
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echniques, et bientôt politiques, en sorte que le
choix
d’un type de femme échappe de plus en plus au mystère personnel, et s
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dans ce tort majeur, irrévocable, que signifie le
choix
de la mort. Et comment échapper au démon que l’on fixe ? Pour attaque
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alors en parler n’est qu’une farce — mais dans le
choix
qui détermine une existence. 2. Critique du mariage Si je ne vo
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me décision Si l’on songe à ce que signifie le
choix
d’une femme pour toute la vie, l’on en vient à cette conclusion : cho
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: elle l’entretient ainsi dans l’illusion que le
choix
d’une femme dépend d’un certain nombre de raisons qu’il serait possib
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st alors du côté du bon sens, qui recommandait un
choix
mûri et raisonné, selon des critères impersonnels. Mais enfin ce n’es
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r le caractère de pari que revêt objectivement un
choix
de cet ordre, on donne à croire que tout se ramène à une sagesse, à u
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et au réel, d’enseigner aux jeunes gens que leur
choix
relève toujours d’une sorte d’arbitraire, dont ils s’engagent à assum
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espèce pour se rapprocher de la personne, plus le
choix
devient singulier. À cette personnalisation de l’être aimé correspond