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, la sanctifient, et en son nom rendent grâces au
ciel
, alors éclate le scandale, car alors, de par la défection, mais aussi
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it n’a pas son siège dans la cervelle. Ni dans le
ciel
. L’esprit n’a pas de siège. Il est passage, prise, saisissement. L’es
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ses « viennent », le monde « vient » (à nous), le
ciel
, le lac et les montagnes « viennent » : et on les voit venir ainsi à
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e rose du lever du jour et ils sont roses dans le
ciel
rose, avec des gouttes de rosée qui leur pendent à chaque poil et des
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oins « lyrique » et le plus matériel, parler d’un
ciel
au bleu de lessive, plutôt que de l’azur du firmament, c’est, à vrai
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heure de terreur et de prière… Puis, « la page du
ciel
a été tournée », ils se relèvent : « Il paraît bien qu’on n’est pas m
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temps limité de l’Histoire, sous les figures d’un
ciel
unique. C’est là seulement qu’elle se révèle à nous, comme un jugemen
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iers tout simplets, suivant une piste par jeu. Le
ciel
est d’un bleu sec et pur, tranché au sommet du vallon par un cyprès g
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s encore translucides au-dessus du bassin bleu de
ciel
où nagent d’énormes bottes de radis rouges. Tout a son éclat neuf, sa