1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
1 , la sanctifient, et en son nom rendent grâces au ciel , alors éclate le scandale, car alors, de par la défection, mais aussi
2 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
2 it n’a pas son siège dans la cervelle. Ni dans le ciel . L’esprit n’a pas de siège. Il est passage, prise, saisissement. L’es
3 ses « viennent », le monde « vient » (à nous), le ciel , le lac et les montagnes « viennent » : et on les voit venir ainsi à
4 e rose du lever du jour et ils sont roses dans le ciel rose, avec des gouttes de rosée qui leur pendent à chaque poil et des
5 oins « lyrique » et le plus matériel, parler d’un ciel au bleu de lessive, plutôt que de l’azur du firmament, c’est, à vrai
6 heure de terreur et de prière… Puis, « la page du ciel a été tournée », ils se relèvent : « Il paraît bien qu’on n’est pas m
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
7 temps limité de l’Histoire, sous les figures d’un ciel unique. C’est là seulement qu’elle se révèle à nous, comme un jugemen
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
8 iers tout simplets, suivant une piste par jeu. Le ciel est d’un bleu sec et pur, tranché au sommet du vallon par un cyprès g
9 s encore translucides au-dessus du bassin bleu de ciel où nagent d’énormes bottes de radis rouges. Tout a son éclat neuf, sa