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our Martin le maximum de la peine, non sans avoir
cité
une pensée de Pascal en l’attribuant à Pasteur. On peut n’être pas di
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n résumé des idées défendues par les deux groupes
cités
(et qui sont absolument indépendants l’un de l’autre). Cet exposé tra
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e génération. I. Résidence de l’Esprit dans la
cité
actuelle En publiant ce très curieux morceau lyrique, notre honora
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la question des relations qu’entretiennent notre
cité
et la nation des clercs. C’est mettre en discussion l’un des rapports
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e lui ai proposé, que ce palais reçût le nom de «
Cité
René-Descartes ». L’Exposition va se dérouler sous le patronage du gr
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nt précisément celui que l’on enfermera dans la «
cité
René Descartes », ses droits ne sauraient consister que dans l’affirm
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tuel. VII. Situation des intellectuels dans la
cité
(suite) b) Les réalités qui se payent. Donc, on nous dresse à ne s
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s des clercs de tous ordres qui devaient régir la
cité
et qui se vendent ou se désintéressent ; que ce problème n’est plus j
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ent les clercs ? quel doit être leur rôle dans la
cité
? à qui s’adressent leurs écrits ? d) quelle est la source de leur au
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ît préoccuper M. Duhamel, si j’en crois l’article
cité
: « Comme tous les Français, je répugne à dépenser beaucoup d’argent
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echnicien et on le pousse dans les conseils de la
cité
sur la foi du seul nom qu’on lui donne, et en vertu du préjugé pratic
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la vérité a été reconnue sur la figure » (Pascal,
cité
par Ramuz). 44. Comme Ramuz l’a fait dans Six Cahiers. 45. Est-il n
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. 50. L’allemand dit Ernüchterung. 51. Rimbaud,
cité
par Ramuz dans Six Cahiers. t. Rougemont Denis de, « Vues sur C. F.
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1925 ? Ce n’était pas la peine de lire Feuerbach,
cité
à la page suivante. Voilà qui est antimarxiste d’une manière plus val
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la place qu’il conviendrait de lui donner dans la
cité
, se trouve être posée à l’époque. Dans l’un et l’autre cas, et pour l
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ne prendre que l’un des auteurs les plus souvent
cités
par Lamm. Je voudrais dégager ici trois points qui peuvent intéresser
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ntraire les fondements mêmes de notre vie dans la
cité
, de notre existence comme « Suisses ». Ils affectent nos tabous les p
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rd le sens des buts et du rôle de l’armée dans la
cité
. Il ne s’agit ici que de nuances dans l’atmosphère de notre pays, mai
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elles, qui sont petites, qui sont médiocres. J’ai
cité
le cas de la presse, se réduisant elle-même au rôle de presse locale.
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plus conforme à la hiérarchie des valeurs dans la
cité
. 81. Ce fut le cas en 1814-1815, lorsque les députés de la Confédéra
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ts fondamentaux de l’espèce et les intérêts de la
cité
. Celui qui contrevenait à ce triple engagement ne se rendait pas « in