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êtement choisis. Mais simplement sa conclusion le
classe
, quoi qu’il en pense, dans cette phalange de rhéteurs qui va de Jaurè
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s les cas où il s’agit en vérité de conscience de
classe
, de conscience bourgeoise. Mais qu’elle se mêle un jour de s’affirmer
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coïncider avec les intérêts, les habitudes de la
classe
, et la voilà jugée, raillée, emprisonnée — accusée d’attenter à la «
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eut voir dans les Églises que des institutions de
classe
. Cette position simpliste de problèmes vieux comme le monde chrétien
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gique du langage ici nous guide sûrement.) Qu’une
classe
possédante en vienne par fatigue à décréter vides les loisirs que ses
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u même coup elle décrète « forcé » le travail des
classes
chargées d’assurer ce loisir. C’est créer un monde impensable, le nôt
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s. Première espèce : les romanciers de la vie des
classes
possédantes. Le bourgeois aime leurs œuvres, parce qu’il s’y retrouve
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lissement des bourgeois. Mais cette critique « de
classe
» reste encore négative. Elle se condamne aussi à rendre compte des s
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ires. Et la publicité traduit les exigences d’une
classe
bourgeoise très capricieuse dans ses goûts, parce qu’elle est incerta
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non plus dans les intérêts d’un pouvoir ou d’une
classe
, voilà bien l’aboutissement de toute l’évolution démocratique, si l’o
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ette raison d’abord que Breuil n’aborde pas une «
classe
» définie par les sociologues. Son roman tendrait à prouver au contra
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tendrait à prouver au contraire l’inexistence des
classes
dans la réalité campagnarde. Il met en évidence un fait dont il faut
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l faudrait bien plutôt s’en prendre au régime des
classes
sociales, qui codifia cette distinction, au point d’assimiler l’homme
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omme une production automatique du triomphe de la
classe
ouvrière. La phrase de de Man que nous citions plus haut donne la for
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’autre chose que de l’individu : de l’État, de la
classe
ou de la race. Vous vous êtes refait un corps. Mais les problèmes spi
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ythe de communauté : nation unie, ou société sans
classe
… Si l’on veut comprendre ce temps, et l’ère nouvelle, incalculablemen
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que sur les réponses qu’ils ont tenté de donner —
classe
ou nation — reste superficiel et arbitraire tant qu’il ne tient pas c
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, lui aussi, son métro. » — Égalité, société sans
classes
? « Comment n’être pas choqué par le mépris, ou tout au moins l’indif
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et j’allais dire : des pauvres. Il n’y a plus de
classes
en URSS, c’est entendu. Mais il y a des pauvres. Il y en a trop, beau
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nte-quinze et cent-mille. Et c’est un écrivain de
classe
! L’essai de Gedat intitulé Un chrétien découvre les problèmes du mon
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s vices de l’aristocratie européenne qu’une telle
classe
est la vraie responsable du cafouillage de 1914. Le héros principal —
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s que le jeu apparent et confus des partis ou des
classes
. Si Kierkegaard a été découvert, dans ce pays, très peu de temps avan
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e et de sensibilité avec des hommes de toutes les
classes
et de tous les métiers. Certes, ce n’est jamais qu’avec des êtres sin
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mmunale et fédéraliste, mais au nom d’intérêts de
classe
qui ne sont ni démocratiques ni nationaux. La même critique peut d’ai
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étant chose fédérale, ne peut être l’armée d’une
classe
, de ses intérêts, de son ordre. Il n’y aurait aucun avantage à combat
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ste si c’était pour le remplacer par un esprit de
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bourgeois (d’une valeur militaire d’ailleurs bien moindre). Enfin cet
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rande politique des voisins. 82. Dans toutes les
classes
sociales, bien entendu ! at. Rougemont Denis de, « Neutralité oblig
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exes, dans une société libérée des contraintes de
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et d’argent. D’autres enfin s’efforcent de fonder une science des rap
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conceptions et aux coutumes européennes, que deux
classes
par ailleurs tout opposées : les intellectuels non embrigadés d’une p