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lence le terme premier, dont dépend toute réalité
collective
. À l’utopie sociologique qui prophétise la dissolution du corps socia
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obscures, les crimes gratuits, les enthousiasmes
collectifs
, l’hystérie organisée, bref tout ce que Keyserling appelle l’irruptio
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ils refusent de se faire les complices des folies
collectives
, des égoïsmes criminels, des « intérêts » injustes des puissants, qu’
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. ⁂ Les journalistes en France parlent d’hystérie
collective
, d’irrationalisme germanique, etc., et représentent Hitler comme un t
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goisse que l’on apprend à fuir dans les mystiques
collectives
. Et l’on se rassure en attendant par de faciles railleries à l’adress
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donne la vérité. Notre mesure commune ne sera pas
collective
, extérieure à notre personne : cela n’a pas de sens pour nous. Elle n
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saire. Car notre force est personnelle et non pas
collective
. Elle réside dans les petits groupes, non dans l’État totalitaire. El
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ncher pour rétablir la situation, ou quel réflexe
collectif
. ⁂ Deux exemples de grande envergure nous indiquent un type de répons
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’est-à-dire d’une décharge passionnelle au niveau
collectif
et national, paraît aujourd’hui plus probable. Enfin, l’on peut encor
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onne. Mais ce sont là des phénomènes complexes et
collectifs
, qui échappent en partie aux vues individuelles. Le « signe » de la c
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e R. de Pury : « Éros et Agapè », dans le recueil
collectif
intitulé Problèmes de la sexualité (collection « Présences »). « Un c