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surpris de trouver dans le quotidien politique de
combat
ou dans les revues berlinoises les plus « avancées » des professions
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tiation au réalisme enfin total, qui est celui du
combat
personnel ; initiation à la vision constituante de notre vie, celle q
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ituations extrêmes (tortures en prison, folie des
combats
à la mitrailleuse presque à bout portant, etc.), où l’homme avoue ses
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es, n’ont plus rien de la brutalité des années de
combat
, avant 1933. Il ne s’agit pas de haine : il s’agit d’amour. Il ne s’a
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e : on ne se mitraille plus dans nos rues, l’État
combat
la misère et le chômage, nous avons supprimé les partis et leurs lutt
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a. C’est au contraire (ou plutôt ce doit être) un
combat
perpétuel, exaltant, le battement du cœur de l’Europe. Vouloir créer
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oyant manichéen, était l’expression dramatique du
combat
de la foi et du monde, devient alors pour le lecteur non averti une «
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velle. On s’ingénie à renouveler l’obstacle et le
combat
. On imagine différente la femme que l’on tient dans ses bras, on la d
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Revue des revues (septembre 1938)aw
Combat
(juin). — Un souffle révolutionnaire, ce serait trop dire, mais un bo
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meilleure. Nous sommes sans fin ni cesse dans le
combat
de la nature et de la grâce. Sans fin ni cesse, malheureux puis heure