1 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
1 t original se développera naturellement en un art communautaire , et que les moindres œuvres, traduisant même sans talent la vocation
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
2 uels est une contradiction in terminis. L’aspect communautaire de la personne, en vérité, ressort assez clairement de nos définition
3 1935, Esprit, articles (1932–1962). Roger Breuil, Les Uns les Autres (avril 1935)
3 rs de la nouvelle génération : cet appel à la vie communautaire , ce réalisme plein, ce sens du concret spirituel, cette amitié des ho
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
4 inconscient des peuples vers une réalité commune, communautaire . La puissance de cet appel ne saurait être comparée qu’au soulèvement
5 premières grandes apparitions de cette puissance communautaire ont été les révolutions communistes et nationalistes.   4. Les premiè
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
6 table, impossible. » La poésie est chose commune, communautaire . (Éluard dit d’ailleurs : égalitaire, — d’une manière incompréhensibl
6 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
7 et la culture suppose une tradition, une vocation communautaire . Mais je me représente volontiers une Suisse culturelle pluraliste, a
7 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
8 l’acte du mariage, de l’intégrer dans l’existence communautaire . À partir du xviiie siècle, le thème du « Coucher de la mariée » n’e
8 1939, Esprit, articles (1932–1962). D’une critique stérile (mai 1939)
9 ersonnaliste ; mais de créer sur place des foyers communautaires . 24. C’est un but essentiellement fédéraliste. 25. Il ne s’agit pas d