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ion. Ou plutôt, car les choses sont toujours plus
complexes
que nos sommations, tout le mal moderne est symbolisé par cette disjo
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t aucune problématique. Or, nous nous connaissons
complexes
et impurs, pleins de problèmes, peuplés de fantômes et séparés par eu
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ciennes catégories sociales, d’ailleurs bien plus
complexes
qu’on ne le croit couramment. Au fond, son vrai sujet, c’est l’étude
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l. Monde dominé, dit-il, par l’angoisse de vivre (
complexe
de castration). La cause de cette angoisse est dans les refoulements
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ccepte le diagnostic de Tzara, si j’admets que le
complexe
de castration est la dominante de l’époque, je constate que ce comple
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est la dominante de l’époque, je constate que ce
complexe
se manifeste justement par l’adoption des hypothèses du matérialisme
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cepts, plus d’idées générales. Tout est images et
complexes
d’images. Tout est mythes 45. ⁂ Ainsi la mythologie, chez Ramuz, délo
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ein, trop scrupuleux, trop grave, nourriture trop
complexe
pour être épuisée d’un seul trait : non qu’il faille reprocher à Henr
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t être stylisée. Elle doit représenter la réalité
complexe
et pénible sous une forme simplifiée et illusoire. Tout ce qui consti
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en péril la culture. » Naturellement, c’est plus
complexe
que cela. Mais c’est aussi plus clair que la préface et l’épilogue ne
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peur de vivre. On les ramènerait aisément à ce «
complexe
de castration » qui se noue au moment précis où l’agressivité normale
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ntraînait d’autre part des conséquences bien plus
complexes
que chez nous, et d’apparences fort hétéroclites. Le cynisme morbide
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uiner la personne. Mais ce sont là des phénomènes
complexes
et collectifs, qui échappent en partie aux vues individuelles. Le « s
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Europe Seuls, les Européens — je connais leurs
complexes
— trouveront trop dures pour l’Amérique les quelques pages qui précèd