1 d’amphithéâtres pour les conférences et pour les congrès , il sera, pendant la durée de l’Exposition, le centre de ces « journé

2 de cette année ; à ce moment j’ignorais tout du «  congrès pour la défense de la culture », qui se préparait. Le rôle du public

3 évolution s’est trouvée confirmée par les récents congrès d’écrivains soviétiques ou favorables aux Soviets. De toutes les conf

4 ou touchantes qui passionnèrent les débats de ces congrès , il se dégage une seule conclusion claire, à vrai dire de première im

5 ns »56. Les écrivains délégués par les Soviets au congrès de Paris pour la défense de la culture, en 1935, citèrent tous comme

6 rialistes. 57. Voir les discours de Malraux au «  congrès pour la défense de la culture » de juin 1935. 58. Tels qu’en assuren

7 nouvelles demandes de « causeries » : l’une à un congrès d’instituteurs, l’autre à un cercle d’études sociales. Les instituteu

8 rlé devant les auditoires les plus hétéroclites : congrès d’étudiants, cours ruraux, « journées sociales », amateurs de littéra

9 ue les députés de la Confédération demandèrent au congrès de Vienne la reconnaissance de leur neutralité : on craignait que de

10 cision des évêques anglicans dite de Lambeth. Les congrès œcuméniques de Stockholm et d’Oxford (toutes les églises non romaines

11 ique négative. Mon expérience des groupes et des congrès personnalistes m’amène à formuler les thèses suivantes : 1. C’est le

12 é parfois dans le feu de la discussion, lors d’un congrès — de constituer enfin un vrai parti, un parti vrai, dont la doctrine

13 jeune garde. Les partis, dans les commissions du Congrès et du Sénat, se sont bornés à des échanges d’arguments souvent brutau