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aux petits soucis quotidiens, aux préoccupations
constantes
qu’entraîne toujours la vie moderne, … lui ouvrir toutes grandes les
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bles » sont celles qui exigent de l’homme la plus
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proximité : l’œuvre, le mariage, la famille, le métier et l’éducation
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e revue toute l’importance : c’est la circulation
constante
qui s’opère aujourd’hui entre les anciennes catégories sociales, d’ai
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onstate un certain nombre d’erreurs minimes, mais
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, de « lapsus révélateurs » : il lui arrive d’accorder le verbe non av
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nismes fondamentaux de la vie une issue explosive
constante
mais limitée aux formes les plus riches. » Cette société sans tête un
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quelquefois — assez pour en garder une inquiétude
constante
— ce qu’il y a d’inhumain dans la plupart de nos habiletés littéraire
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r les moyens propres de l’art ; une considération
constante
des tenants et aboutissants de l’œuvre d’art (sources métaphysiques,
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t dans les cantons romands — est en contradiction
constante
avec notre neutralité, et ce qui est pire, avec la mission même qui j
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se nationale » ne pouvait pas s’organiser sans un
constant
recours à la passion des premiers révolutionnaires : or c’était cette
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ion, elle se distingue de la passion par un refus
constant
de subir ses rêves, par un besoin constant d’agir pour l’être aimé, p
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refus constant de subir ses rêves, par un besoin
constant
d’agir pour l’être aimé, par une constante prise sur le réel, qu’elle
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besoin constant d’agir pour l’être aimé, par une
constante
prise sur le réel, qu’elle cherche à dominer, non pas à fuir. Je dis