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on très visible et ses moyens d’action ou même de
contrainte
: c’est le Plan55. Ainsi donc, la mesure effective à quoi s’ordonne t
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assure une liberté réelle et plus féconde que la
contrainte
. Les surréalistes sont fondés à parler du « vent de crétinisation qui
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ue c’est enfin la « vraie » nature délivrée de la
contrainte
« artificielle » des convenances ou du sentiment… Huizinga, dans son
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a révélation d’une vie saine et délivrée de toute
contrainte
mauvaise, c’est trahir cette « attente ardente », cette question ango
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is groupes de valeurs qui lui fournissaient ses «
contraintes
» — et c’est précisément dans le jeu de ces contraintes que le mythe
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intes » — et c’est précisément dans le jeu de ces
contraintes
que le mythe de Tristan puisait ses moyens d’expression. Or voici que
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puisait ses moyens d’expression. Or voici que ces
contraintes
ou se relâchent, ou disparaissent : 1. — Contraintes sacrées. Le ma
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aintes ou se relâchent, ou disparaissent : 1. —
Contraintes
sacrées. Le mariage, chez les peuples païens, s’est toujours entouré
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ux » d’aller se faire bénir par un prêtre. 2. —
Contraintes
sociales. Les questions de rang, de sang, d’intérêts familiaux, et mê
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de ce qu’on appelle le bonheur des époux. 3. —
Contraintes
religieuses. Dans la mesure où la conscience moderne comme telle sait
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telle sait encore distinguer le christianisme des
contraintes
sacrées et sociales, elle le repousse avec horreur. Car l’engagement
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mariage, cessant d’être garanti par un système de
contraintes
sociales, ne peut plus se fonder, désormais, que sur des déterminatio
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ons entre les sexes, dans une société libérée des
contraintes
de classe et d’argent. D’autres enfin s’efforcent de fonder une scien
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a panique sexuelle provoquée par la décadence des
contraintes
matrimoniales et du mythe de l’amour mortel. Déjà l’on voyait affleur
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e poésie. Que faut-il pour écrire un sonnet ? Des
contraintes
rhétoriques et de la liberté, disons de l’imagination. De même, pour
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our moins convaincante d’une gauche qui défend la
contrainte
et d’une droite qui revendique les libertés : le but, l’essence de la