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donc pas de nous un appel aux églises en tant que
corps
constitués et officiels1. Non, en présence du scandale de la chrétien
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exige tout : c’est la conversion. 1. L’Église «
corps
du Christ », en théologie ; et en réalité : corps officiellement cons
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corps du Christ », en théologie ; et en réalité :
corps
officiellement constitué dans la Troisième République… 2. Et non pas
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a plus que du désordre et des souffrances pour le
corps
qui les subit. L’acte ordonnateur, ou révolution La tâche resta
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qui n’engage en puissance notre être tout entier,
corps
et âme sans distinction. Apprenons à penser comme des hommes responsa
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écable qui marque la limite de décomposition d’un
corps
quelconque. Autrement dit, l’individu n’est conçu qu’à partir de l’en
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individu n’est conçu qu’à partir de l’ensemble du
corps
social, comme un élément numérique, indifférencié, objectif. On l’obt
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pie sociologique qui prophétise la dissolution du
corps
social en individus libres au terme d’une évolution scientifique et o
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mpris que l’homme n’est pas un ange, qu’il est un
corps
jeté au milieu d’autres corps, et que c’est un orgueil assez court qu
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ange, qu’il est un corps jeté au milieu d’autres
corps
, et que c’est un orgueil assez court que de prétendre l’ignorer ; il
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sonne, ou plutôt son lieu naturel, en séparant le
corps
et l’âme : c’est qu’il les a mal distingués. Du point de vue de la pe
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al distingués. Du point de vue de la personne, le
corps
et l’âme sont deux aspects de l’homme concret, dont la nature réelle
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s ce débat qu’apparaît la conscience.) Mais ni le
corps
de l’homme ne peut être conçu comme réel sans l’insistance particuliè
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rs de la consistance qui la révèle et l’effectue.
Corps
et âme sont un seul et même être ; ils naissent ensemble et meurent e
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eur que de nommer « esprit » l’aspect original du
corps
humain ; c’est une étrange erreur que de rêver l’âme immortelle19 ; e
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cette erreur qu’on croit pouvoir séparer l’âme du
corps
— quitte à ne plus savoir comment les réunir — ce que ne font ni la v
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nsait sur les eaux primitives, et les lois de mon
corps
sont celles de la poussière ? — Rien, l’esprit n’est plus rien, et co
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mbre. J’appelle esprit cette surprise pure de mon
corps
qui se voit conduit où rien en lui n’était nécessité d’aller. J’appel
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être entendu quelque parole, on n’a rien vu qu’un
corps
en mouvement. C’est parce que Dieu s’est révélé dans un corps d’homme
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vement. C’est parce que Dieu s’est révélé dans un
corps
d’homme que l’esprit, parmi nous, n’est rien — hors la démonstration
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fixe sans le dépasser. 19. L’aspect animique du
corps
disparaît, en fait, avant l’aspect proprement matériel. 20. La certi
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ésurrection de la chair », non pas de l’âme ni du
corps
. i. Rougemont Denis de, « Définition de la personne », Esprit, Pari
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maritimes des Charentes et de ces âmes et de ces
corps
tout frémissants de nostalgies naïves et de jeunes ruses. On sent que
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« réaliser » un vieux rêve positiviste et donner
corps
à l’utopie d’un sanctuaire de la Pensée laïque ? Il faudra le constru
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it « clair et distinct » fût séparé absolument du
corps
. Ce que Descartes a proposé, ce que l’Église, pour son malheur, a pri
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rée sans effet. Séparer soigneusement l’esprit du
corps
, et glorifier cet esprit distingué, c’est aussi laisser ce corps à lu
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fier cet esprit distingué, c’est aussi laisser ce
corps
à lui-même, le mépriser, l’abandonner à sa lourdeur. Décréter que l’e
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encore une fois supposer un esprit dégagé de son
corps
, jamais un tel esprit n’est né dégagé de tous liens, irresponsable. E
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ger, et de juger effectivement, dans le monde des
corps
et des sanctions de fait, non pas seulement de « dire le vrai » dans
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éée par le décret de séparation de l’esprit et du
corps
, de la raison pure et de la morale pratique, décret prononcé par Desc
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t pratiquement de la séparation de l’esprit et du
corps
, la thèse suivante : l’esprit représente dans l’homme la fonction spe
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i voulait « posséder la vérité dans une âme et un
corps
». Aujourd’hui, c’est un Rilke, un Claudel, un Ramuz qui détiennent l
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ous dit qu’il est l’état de virulence extrême des
corps
. Les journalistes ont décontenancé le langage des hommes de ce temps,
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mais aussi garantir son unité concrète, esprit et
corps
. Les niveaux respectifs auxquels se placent un Goethe et un Ramuz dét
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partis et leurs luttes épuisantes et stériles. Le
corps
social était malade, il fallait l’opérer d’urgence, à chaud et nous y
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la classe ou de la race. Vous vous êtes refait un
corps
. Mais les problèmes spirituels n’ont pas été résolus pour autant. Vou
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ctature de cette crise sur nos esprits et sur nos
corps
signifie sans erreur possible que toute commune mesure est morte parm
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n le gigantisme national. La société doit être un
corps
, non pas une construction mécanisée. Et la santé et la force d’un cor
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struction mécanisée. Et la santé et la force d’un
corps
supposent l’harmonie de fonctions diversifiées, saines et fortes. C’e
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its : les réactions d’un esprit et d’une âme — le
corps
, ici, a peu de part, nous sommes en France — au fait social de notre
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ntion : le colonel Maercker, fondateur des fameux
corps
francs qui réduisirent les révoltes ouvrières et séparatistes, — et N
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, en attendant l’adoption, la rédemption de notre
corps
. Car c’est en espérance que nous sommes sauvés » (Romains 8. 22-24).
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s en s’opposant réellement, c’est-à-dire de près,
corps
à corps. Croit-on que Ramuz eût écrit ce Chant de notre Rhône, si « r
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pposant réellement, c’est-à-dire de près, corps à
corps
. Croit-on que Ramuz eût écrit ce Chant de notre Rhône, si « roman »,
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les âmes dans les Ténèbres. La sexualité, loi des
corps
, est une entrave à l’envol spirituel vers le monde incréé de la Lumiè
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uppose donc la chasteté, ou la non-possession des
corps
. D’Amor mou castitaz : d’Amour vient la chasteté, chante Guilhem Mont
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t unissait tout à la fois deux âmes fidèles, deux
corps
aptes à procréer, et deux personnes juridiques. Il se trouvait donc s
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union, le génie de la passion dépose entre leurs
corps
une épée nue. Descendons quelques siècles et toute l’échelle qui va d
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èrent à l’hitlérisme, le déchaînement sadique des
corps
francs dans les pays baltes, les crimes dits « politiques » exécutés
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on mari… La femme n’a pas autorité sur son propre
corps
, mais c’est le mari ; et pareillement, le mari n’a pas autorité sur s
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illement, le mari n’a pas autorité sur son propre
corps
, mais c’est la femme. Ne vous privez pas l’un de l’autre, si ce n’est
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cise : La femme n’a pas autorité sur son propre
corps
, mais c’est le mari ; et pareillement le mari n’a pas autorité sur so
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eillement le mari n’a pas autorité sur son propre
corps
, mais c’est la femme. (I. Cor. 7.) La femme étant l’égale de l’homme
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e cherche plus à voir dans une femme seulement ce
corps
intéressant ou désirable, seulement ce geste involontaire ou cette ex
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tigue générale, et sexuellement localisée, que le
corps
se voit porté à ces brusques écarts, comparables aux calembours qui o
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ents » idiots. Par contre, dans un état normal du
corps
et de l’esprit, le risque de coup de foudre est à peu près éliminé. I
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» — si vous voulez… (Mais pourquoi ne pas dire du
corps
?) Un amour dont l’exaltation cependant, était considérée par les anc
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es (politiques aussi bien qu’économiques) dans un
corps
, non dans un carcan. Ce qui est la politique par excellence, n’en dép