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en réalité la raison même, déclare sa permanente
crise
et ses limites humiliantes. L’éternel est dans le présent, et non poi
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e part, les intellectuels jetés au chômage par la
crise
— plutôt que par leur volonté d’indépendance — dès qu’ils sont en ass
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urée par le krach de Wall Street (1930) et nommée
crise
; vu la commercialisation croissante de l’esprit, conditionnée par la
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n croissante de l’esprit, conditionnée par ladite
crise
; vu l’existence de la presse et la puissance de la publicité ; vu le
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de création, d’esprit actif, mieux il se vend. La
crise
force les éditeurs à se faire les interprètes du public auprès de l’a
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hisent avec la jeune révolution. Angoissés par la
crise
occidentale et l’isolement où ils se voient ; séduits par certains ré
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s et inutilisables, ni chômeurs de profession, ni
crises
de gouvernement, ni vieillards cramponnés aux commandes, mais une jeu
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ons et même de nos utopies. La dictature de cette
crise
sur nos esprits et sur nos corps signifie sans erreur possible que to
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deux réponses différentes à l’appel jailli de la
crise
, vers une communauté nouvelle. Là où cette crise était la plus aiguë,
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crise, vers une communauté nouvelle. Là où cette
crise
était la plus aiguë, la réponse, qui devait être totale, n’a été que
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puis cent ans ou plus la nation existait déjà, la
crise
est bien moins virulente, et la réponse a plus de peine à se dégager.
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n’opposons pas des droits que justement toute la
crise
dénonce et rend caducs, mais une force nouvelle qui résolve la crise
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nd caducs, mais une force nouvelle qui résolve la
crise
dans le sens de notre destin. 5. Le dilemme. Je parle ici de force
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5. Le dilemme. Je parle ici de forces totales, de
crise
totale, et de destins communs : forces, crise et destins qui sont tou
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de crise totale, et de destins communs : forces,
crise
et destins qui sont tout à la fois politiques et culturels. L’Europe
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personnelles (son quant-à-soi), vaincues par une
crise
dont ce n’est pas ici le lieu de mentionner les causes profondes, ces
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des révolutions qu’il a fait naître. Or c’est une
crise
fort analogue qui menace la neutralité, dès l’instant où ceux qui en
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op d’allusions à d’autres parties du livre. 1.
Crise
moderne du mariage Deux morales s’affrontaient au Moyen Âge : cell
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tirante. ⁂ Je n’entends pas un instant ramener la
crise
actuelle du mariage au conflit de l’orthodoxie et d’une hérésie médié
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e immense littérature paraît chaque mois sur la «
crise
du mariage ». Mais je doute fort qu’il en résulte aucune espèce de so
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à le rendre insoluble. Ils sont les signes de la
crise
, mais aussi de notre impuissance à la réduire dans les cadres actuels
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se donner pour première tâche de surmonter cette
crise
des mœurs. On commença par opposer à l’idéal antisocial de « bonheur
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est notre vie et notre mort. Et c’est pourquoi la
crise
moderne du mariage est le signe le moins trompeur d’une décadence occ
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partie aux vues individuelles. Le « signe » de la
crise
du mariage nous parle et nous avertit mieux : aucun autre n’est plus
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bilan d’une décadence : mythe dégradé, mariage en
crise
, formes et conventions décriées, extension du délire passionnel aux d
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. Par exemple, il se peut que l’Europe, après une
crise
totalitaire (et supposé qu’elle n’y succombe point), retrouve le sens
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t homme-là le seul progrès concevable est dans la
crise
de sa sécurité, c’est-à-dire dans le drame passionnel. Mais au-delà d
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lement que j’en ai fait la cause principale de la
crise
du mariage moderne ! Et c’est si « beau », si « éloquent », si « inté
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ropos de ce produit utile et hygiénique. S’il y a
crise
dans la fabrication et dans la répartition de l’article, nous étudion
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respectifs sont incompatibles. Cela conduit à des
crises
mortelles. Alors les chefs de partis baissent le nez, font appel à l’
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pris au dépourvu change subitement de direction —
crise
ministérielle, c’est-à-dire vidange des responsabilités — et repart d
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e concluais en effet par ces lignes : « Devant la
crise
économique et la fièvre nationaliste du tiers-monde, l’heure n’est pa