1 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
1 ir ses complices. Sans entrer donc dans le vif du débat — à savoir si Martin, « objecteur de conscience », a donné par son ac
2 c’est fait ? » 7° Certes, l’on peut tirer de ces débats une conclusion précise : la question du service civil est ouverte. Un
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
3 tions, parfois violentes, où se poursuit ce vieux débat , aucun espoir de solution réelle n’est plus permis18. Mais c’est ce p
4 omme aussi de n’en pas choisir. (Et c’est dans ce débat qu’apparaît la conscience.) Mais ni le corps de l’homme ne peut être
3 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
5 nne, pourraient bien se résoudre, au cours de ces débats et sous la pression populaire, en une espèce de nuit du 4 août de la
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
6 , volontaires ou touchantes qui passionnèrent les débats de ces congrès, il se dégage une seule conclusion claire, à vrai dire
5 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
7 virile constitue sa seule raison d’être. Tout le débat de ce journal revient à cette scandaleuse opposition, créée par notre
8 ongent (Barrès, Péguy, Romain Rolland) ; enfin le débat plus profond d’un humaniste avec la foi chrétienne, telle qu’il songe
6 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
9 e m’est alors de reconnaître qu’à l’origine de ce débat il n’y a pas seulement en cause une certaine conception « dissonante