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se à cette loi des hommes qui veut qu’on tue. Une
décision
se formule, peut-être pour la première fois, dans la solitude d’une c
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le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa
décision
n’est pas le lieu des décisions et des calculs humains ; il est à l’i
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Or, le lieu de sa décision n’est pas le lieu des
décisions
et des calculs humains ; il est à l’intérieur de la religion. Les égl
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ntement. Et c’est ainsi que le concret naît d’une
décision
de l’homme provocateur de la présence. 3. La présence de l’homme e
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il paraisse, aussitôt les objets s’ordonnent à sa
décision
, et deviennent saisissables pour l’entendement. 5. L’acte est la p
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soumis aux sanctions de la loi, ce qui exige une
décision
prise par une personne responsable. 34. « Nous éprouvons une sorte d
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s, il me semble que toute la trame de mes petites
décisions
quotidiennes est faite de croyances spontanées et absolues en des « r
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ue les Césars jettent les dés avant leurs grandes
décisions
, mais n’est-ce pas une étrangeté plus aiguë que nous révèle cette foi
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. 91. L’Encyclique Casti connubii a répondu à la
décision
des évêques anglicans dite de Lambeth. Les congrès œcuméniques de Sto
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participer, fût-ce même par une révolte contre la
décision
dont elle est née. Et pour tout dire, j’ignore encore si cela peut av
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— a fortiori pas une erreur « morale » — mais une
décision
fondamentale de l’homme, qui veut être lui-même son dieu93. La passio
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re ses actions, et reconnaître à leurs effets les
décisions
qu’il a risquées. C’est donc un parti pris tout personnel que je vais
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résultat, même excellent. 3. Le mariage comme
décision
Si l’on songe à ce que signifie le choix d’une femme pour toute la
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jeune homme de « réfléchir » avant de prendre une
décision
: elle l’entretient ainsi dans l’illusion que le choix d’une femme dé
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ène à une sagesse, à un savoir ; et non pas à une
décision
. Or ce savoir ne pouvant être qu’imparfait, et provisoire, devrait se
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seule garantie concevable est dans la force de la
décision
en vertu de laquelle on s’engage pour toute la vie, « advienne que po
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ie, « advienne que pourra ». Mais justement cette
décision
comme telle paraît secondaire ou superflue dans la mesure où l’on se
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nces. Elle est dans l’événement irrationnel d’une
décision
prise en dépit de tout, et qui fonde une nouvelle existence, initiant
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sse, très peu de solitaire angoisse.) ⁂ Seule une
décision
de cet ordre, irrationnelle mais non sentimentale, sobre mais sans au
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e joue pas dans l’au-delà temporel, mais dans les
décisions
toujours actuelles qui fondent notre fidélité. Quoi qu’il arrive, heu
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as suffisantes en soi. Elles commandent certaines
décisions
. Elles introduisent à une problématique nouvelle, et qui n’est pas to
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a pour moi d’autre sens que d’illustrer certaines
décisions
actuelles. Cette méthode n’a rien d’objectif au sens qu’a pris le mot
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fet, l’objectivité érudite ne rencontre jamais de
décision
ou d’acte parmi les renseignements qu’elle authentifie. En tant qu’ér
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que je veux renoncer. Sur ce point seul porte ma
décision
. Tout le reste, dans la perspective de mon ouvrage, ne pouvait être q
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ntends mes conclusions religieuses et morales, ma
décision
, non telle ou telle hypothèse « historique » que je suis tout prêt à