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e de cette avarice ou de cette férocité spéciales
décrites
par Léon Bloy. Joli monde, comme disent les échotiers. Remercions Can
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enflammer contre une espèce de bolchévisme qu’il
décrit
ainsi : « Dans cette philosophie et cette morale est délibérément sup
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retrouve ; et le peuple les aime, parce qu’elles
décrivent
ses désirs réalisés. Cet amour à peu près unanime figure la bonne con
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onde ancien et le condamne à passer avec lui : il
décrit
l’anarchie intime de l’homme moderne avec le parti pris de ne jamais
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e pire des partis pris. La littérature romanesque
décrit
depuis cent ans nos mœurs et nos malheurs avec une croissante applica
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quations dont le concret constitue l’inconnue, et
décrit
la manière dont l’entendement le prévoit. Peut-on vraiment faire plus
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s les psychologies échouent dans leur effort pour
décrire
l’acte et rendre compte de ses déterminations suffisantes. Ce qui rev
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ent descriptive est exacte dans la mesure où elle
décrit
notre dégradation. L’erreur est simplement de nommer homme cette dégr
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e de l’homme, mais son éducation. Il n’est pas de
décrire
, mais d’inventer. L’acte étant sujet pur, il ne sera jamais un objet
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. Mais ce mystère de la présence, si l’on peut en
décrire
les effets, demeure mystère en tant que pure initiation : c’est le my
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re de nos lumières, et le soleil que rien ne peut
décrire
, mais qui fait voir le monde et chasse nos fantômes, notre devoir n’e
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au moins une matière. Les pages de Soulillou qui
décrivent
les conditions de travail dans l’industrie de la nitrocellulose sont
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s doctrines, à une filiation de systèmes, qu’elle
décrit
sortant les uns des autres, par un jeu purement dialectique. Procès r
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qu’il s’agit de modifier et non pas seulement de
décrire
, on fera bien d’aller la chercher à cent lieues des « sanctuaires de
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l pour l’informer. Pour l’informer et non pour le
décrire
! Pour le gêner, pour l’accuser, pour l’inventer, et non pour constat
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emeurant justiciable de la critique de Proudhon.)
Décrire
le « domaine » d’un auteur authentique, c’est aussi décrire sa person
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« domaine » d’un auteur authentique, c’est aussi
décrire
sa personne, à la manière du physiognomoniste plutôt qu’à celle du ps
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on verrait alors que ces bonshommes ne sont point
décrits
« de l’extérieur » — comme le voudrait certaine formule naturaliste —
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t certaine formule naturaliste — mais qu’ils sont
décrits
dans leur forme, ce qui n’est pas du tout la même chose. La forme hum
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our toute la chose. C’est pourquoi il s’attarde à
décrire
le concret d’une façon concrète ; ainsi le maniement d’un outil. D’où
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n d’une langue plus riche et plus vivante, apte à
décrire
les passions, et la nature et la diversité des êtres. Il fallait déso
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cette complaisance ? C’est peut-être que le monde
décrit
par Briffaut est en réalité aussi conventionnel qu’on l’imagine. Mond
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out cela dit par les trois syllabes de ce mot qui
décrit
et embrasse les trois dimensions de la joie, est dit aussi par le val
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nuit, après l’orage. Vocabulaire insuffisant pour
décrire
la joie naturelle. Souvent éprouvé. Les grands soulèvements de l’inst
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ventions, etc. prévoyaient autre chose. » Et l’on
décrit
les croyances de son groupe en « parlant de la pluie et du beau temps
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e nous trouve pas (juillet 1937)ap aq M. Benda
décrivait
l’autre jour à l’Union pour la vérité, une « querelle des générations
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en (mais « profané » par la littérature) que l’on
décrit
dans le présent chapitre. On s’est efforcé de remédier par quelques n
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d’un poète ne vaut rien, ou vaut trop. J’entends
décrire
une illusion apprise par la majorité des hommes du xxe siècle : or p
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piternel d’une ardeur constamment déçue. Le mythe
décrivait
une fatalité dont ses victimes ne pouvaient se délivrer qu’en échappa
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ds pas ici attaquer la passion : je me borne à la
décrire
et à la « réciter » comme dit Montaigne, sachant fort bien que je ne
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adressée par Lénine à la camarade Zetkin, le chef
décrit
ce désastre des mœurs, et il proteste avec toute l’énergie d’un « rév
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sez profondes raisons de le consentir. J’ai voulu
décrire
la passion comme une entité historique, née dans un temps et dans des
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écouverte ne serait pas négligeable. Mais peut-on
décrire
la passion ? On ne décrit pas une forme d’existence sans y participer
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ligeable. Mais peut-on décrire la passion ? On ne
décrit
pas une forme d’existence sans y participer, fût-ce même par une révo
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cienne, bourgeoise ou édifiante. Tolstoï, lui, la
décrit
comme un « enfer ». Et je lui fais un plus large crédit ! Étant donné
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du mouvement de retour de la passion, tel que l’a
décrit
Kierkegaard. Au sommet de l’ascension spirituelle qu’il nous raconte
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remarquant que mon objet principal n’était pas de
décrire
les différents aspects de l’amour courtois, mais seulement cet aspect
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re en tire le plus de profit. Comme tous ceux qui
décrivent
une nation étrangère, j’ai péché par stylisation. Ajouter des nuances