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t au-delà de cet amour, la mort, appelée comme la
délivrance
du moi coupable et asservi. Tristan n’est pas fidèle à une promesse,
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ans son désir le plus puissant, à lui demander la
délivrance
. Et l’Éros ne pouvait le conduire qu’à la mort. Mais l’homme qui croi
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espérer autre chose, il sait qu’il est une autre
délivrance
. Et voici que l’Éros à son tour se voit relevé de sa fonction mortell
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nce représentent notre châtiment et non pas notre
délivrance
. Ce n’est pas la mort, la désincarnation, qui est le salut, mais l’ac