1 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
1 t au-delà de cet amour, la mort, appelée comme la délivrance du moi coupable et asservi. Tristan n’est pas fidèle à une promesse,
2 ans son désir le plus puissant, à lui demander la délivrance . Et l’Éros ne pouvait le conduire qu’à la mort. Mais l’homme qui croi
3 espérer autre chose, il sait qu’il est une autre délivrance . Et voici que l’Éros à son tour se voit relevé de sa fonction mortell
4 nce représentent notre châtiment et non pas notre délivrance . Ce n’est pas la mort, la désincarnation, qui est le salut, mais l’ac