1 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
1 uvais selon vos idées, c’est ce régime qui nous a délivrés de la misère61. Et cela suffit à le justifier pour le moment. La misè
2 1936, Esprit, articles (1932–1962). Erskine Caldwell, Le Petit Arpent du Bon Dieu (novembre 1936)
2 du réalisme, que c’est enfin la « vraie » nature délivrée de la contrainte « artificielle » des convenances ou du sentiment… Hu
3 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
3 nder à la Nature la révélation d’une vie saine et délivrée de toute contrainte mauvaise, c’est trahir cette « attente ardente »,
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
4 u’ils ont des frères. » Et voici qu’Éluard paraît délivré de l’esthétisme aristocratique des débuts du surréalisme. Mais que pe
5 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
5 it une fatalité dont ses victimes ne pouvaient se délivrer qu’en échappant au monde fini. Mais la passion dite « fatale » — c’es
6 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
6 itude inexprimable : — en l’exprimant, Agapè l’en délivre . Agapè sait que la vie terrestre et temporelle ne mérite pas d’être a
7 l’Agapè voit soudain le cercle s’ouvrir : il est délivré par la foi de sa religion naturelle. Il peut maintenant espérer autre
8 on tour se voit relevé de sa fonction mortelle et délivré de son destin. Dès qu’il cesse d’être un dieu, il cesse d’être un dém
9 cette nouvelle : ce n’est pas l’homme qui doit se délivrer lui-même, c’est Dieu qui l’a aimé le premier, et qui s’est approché d