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ini par la Sorbonne, entre autres. 7. Traité du
désespoir
, trad. Gateau (Gallimard), p. 178. C’est nous qui soulignons. 8. Ib
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meilleurs d’entre eux — ont certainement connu le
désespoir
de vivre, et c’est cela qu’ils ont voulu traduire. Mais c’est cela au
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mme ne peut avouer que s’il connaît un au-delà du
désespoir
. Faute de le pressentir, ils ont méconnu leur angoisse ; faute du cou
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onne seule la foi — ils se sont mis à déclamer un
désespoir
décoratif, un désespoir postiche et stylisé, à l’abri duquel on pouva
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se sont mis à déclamer un désespoir décoratif, un
désespoir
postiche et stylisé, à l’abri duquel on pouvait faire encore de la li
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un jeu que de les classer dans les catégories du
désespoir
analysées par Kierkegaard, si nous étions assez détachés d’eux pour n
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d’eux pour ne plus sentir le tragique que ce faux
désespoir
maquillait. Il y a dans tout ce qu’ils écrivent, une espèce de bluff
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til ; que l’individu n’est rien que la liberté du
désespoir
et qu’il meurt de son isolement, ou du refus de se dépasser ; qu’il n
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’un seul exemple : que de tourments et de secrets
désespoirs
chez les adolescents troublés par le désir, s’apaisent tout d’un coup
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une manière plus valable : « C’est l’espoir ou le
désespoir
qui déterminera pour le rêveur éveillé — pour le poète — l’action de
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e son imagination. Qu’il formule cet espoir ou ce
désespoir
et ses rapports avec le monde changeront immédiatement. » Ou encore :
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our mortel. Déjà l’on voyait affleurer le fond de
désespoir
et d’anarchie intime que suppose toute morale du « bonheur » strictem
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te dans sa négation. C’est la profonde misère, le
désespoir
d’Éros, sa servitude inexprimable : — en l’exprimant, Agapè l’en déli
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. B. Croce, Etica e Politica. 102. Leo Ferrero,
Désespoirs
. Le problème de la passion est admirablement défini par ce petit livr