1
ez eux ». Mais lorsqu’il croque un Allemand, l’on
doit
reconnaître qu’il se surpasse et qu’il surpasse, mais il y a mis 16 a
2
ue central et seul efficacement critique que nous
devons
envisager les perspectives de la vie publique et privée, dans l’état
3
ar son acte la preuve d’une obéissance à Dieu qui
devrait
être celle de tout croyant ; ou s’il a seulement manifesté sa vocatio
4
si l’on peut dire — des mêmes principes. Sangnier
devait
relever l’anomalie : Briand met la guerre hors-la-loi, aux applaudiss
5
Église est en tout temps de dire au monde : Tu ne
dois
pas ! Mais c’est à la foi seule de me dire : Tu dois ! En son nom je
6
s pas ! Mais c’est à la foi seule de me dire : Tu
dois
! En son nom je ne puis engager que moi-même, hic et nunc. La politiq
7
de choix que personnel. Ainsi le rôle de l’Église
doit
-il rester de porter sur le monde un jugement permanent et destructeur
8
fonde de toute l’histoire —, le protestantisme se
doit
d’être révolutionnaire dans la mesure même où il reste fidèle à lui-m
9
ine véritablement révolutionnaire est celle qu’on
doit
tirer de la foi protestante. Il faudrait nommer encore des groupes co
10
r l’ordre social ». Certains même parlent déjà du
devoir
qu’aurait l’Église de « christianiser les mouvements radicaux » c’est
11
le s’est arrêtée au moment où il semblait qu’elle
dût
s’occuper de la durée du travail, de la question des salaires, etc. C
12
’est, afin d’éclairer par contraste un avenir qui
devra
son éclat moins à lui-même qu’à nos ombres, et moins à sa jeunesse in
13
e une loi meilleure, un esprit pur, une revanche,
dût
-on n’y parvenir jamais. On lit cette littérature pour « échapper aux
14
nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)h On ne
devrait
jamais lire les hebdomadaires. Ce sont des entreprises de démoralisat
15
, nous partons dans le vaste monde. À ceux-là, je
dois
la nourriture de ma maison, comme à des dieux. « Aidez-moi ! », dit
16
ha ! Ça me rappelle une bien bonne histoire, vous
devriez
lire ça, Clochemerle que ça s’appelle, je ne sais plus le nom du type
17
ont l’air d’être, ou mieux pour ce qu’ils croient
devoir
se donner l’air d’être ou de n’être pas. Comme si le fin du fin, c’ét
18
qu’elle est toute dans sa communication, laquelle
doit
être certifiée par quelque signe matériel. L’idée d’une personne isol
19
st à la sauvegarde de ces réalités prochaines que
doivent
s’ordonner les relations plus générales. Cette thèse simple constitue
20
e et politique. Est-ce à dire que le bien de tous
doive
être mis au service du bien de chacun ? Prenons garde de retomber ici
21
re son contraire. La formule du rapport social ne
doit
pas contenir une revendication de droit, mais une position de fait. L
22
fait voir le monde et chasse nos fantômes, notre
devoir
n’est pas de revenir vers les ténèbres pour les persuader qu’elles on
23
ersuader qu’elles ont tort d’être obscures, notre
devoir
est d’éclairer. À la lumière de la personne, on voit paraître la véri
24
t qu’au niveau des objets, et que tout ce qui est
doit
pouvoir être vu, être touché, consister sous la main17 ; il a compris
25
érialiste est bâtarde de ses excès. Ceci pourtant
doit
être dit en sa faveur : il a compris le fait — sinon l’acte — de la l
26
rsonnel ceux — qui agit sa vocation. 17. Ceci ne
doit
pas être entendu dans le sens restrictif de l’esse est percipi des id
27
fin. Le fâcheux essai d’action communiste, auquel
devait
logiquement les conduire cette attitude, fit voir bientôt l’inanité d
28
homme est empêtré par le scrupule de ce qu’il se
doit
! Et qu’il est attentif à sa propre démarche ! « Il me paraît absolum
29
és qui possédaient tout. Ces jeunes Allemands qui
doivent
supporter de nos jours toutes les misères du monde au fond de leur ex
30
des faits » (p. 282)22. Erreurs infimes, que l’on
devrait
peut-être attribuer au typo ? Mais elles vont toutes dans le même sen
31
« sous une forme supérieure ». Selon Tzara, ceci
doit
nous mener à une société collectiviste, marxiste. Je ne comprends pas
32
L’Esprit n’a pas son palais. L’Exposition de 1937
doit
lui en donner un » Par Hippolyte Ducos Député, ancien ministre, pr
33
es ondes. Ce sera aussi la fête de l’esprit. Elle
doit
dépasser en splendeur les manifestations du même ordre dont s’est ill
34
’intelligence… C’est dire que l’esprit créateur y
doit
être à l’honneur. Voilà pourquoi la Commission de coopération intelle
35
elligences, à attacher les foules ? […] Ce Palais
doit
être construit en dur. Il doit survivre à l’Exposition. Pourvu, à côt
36
es ? […] Ce Palais doit être construit en dur. Il
doit
survivre à l’Exposition. Pourvu, à côté des pavillons où se présenter
37
. Où est l’esprit ? Quel est son champ d’action ?
Doit
-il avoir un lieu particulier ? De la réponse à ces questions dépendro
38
ant vaisseau d’idéalisme, comment douter qu’il ne
dût
consacrer « le triomphe des puissances d’audace ordonnée et de mesure
39
aration de la pensée et de l’action que le Palais
doit
célébrer, et que l’on estime conforme à la religion de l’esprit. Mais
40
urtant molestés par l’époque avec une vigueur qui
devrait
, semble-t-il, les réveiller. Toute notre formation scolaire et univer
41
ercs un peu méprisables qui croient que la pensée
doit
entrer en action, c’est-à-dire embrasser les « choses humaines » — ou
42
bien une sorte d’implacable agencement, celui du
doit
et de l’avoir, contrôlé tôt ou tard par la constatation du rendement
43
ettre les doctrines des clercs de tous ordres qui
devaient
régir la cité et qui se vendent ou se désintéressent ; que ce problèm
44
utres bases ? c) à quoi servent les clercs ? quel
doit
être leur rôle dans la cité ? à qui s’adressent leurs écrits ? d) que
45
é — si elle existe en fait ou en droit — et quels
doivent
être ses moyens ? Les discussions seront introduites chaque matin par
46
c où peut s’insérer notre action, et comment elle
doit
s’orienter. Je ne nie pas que les interventions passionnées et simpli
47
vision d’une réalité, c’est montrer à quelle fin
doit
tendre cette réalité, — notre culture par exemple. C’est croire à cet
48
nt dit ses raisons, il a fait tout ce qu’un clerc
doit
faire, selon nos grands docteurs et leurs petits disciples. Mais enco
49
ken. Wo ? An der Oberfläche. (Ce qui est profond
doit
être caché. Où donc ? À la surface.) Hofmannsthal. 1. Ramuz mytho
50
La vérité est une pensée matérialisée, la vérité
doit
exister non seulement en nous, mais devant nous. Non seulement elle d
51
ent en nous, mais devant nous. Non seulement elle
doit
avoir un commencement et une fin, mais des contours, et non seulement
52
t des contours, mais un relief et un volume. Elle
doit
non seulement être vue, mais touchée, et puis embrassée, puis finalem
53
giner et de penser dans l’ordre de l’incarnation,
devait
le conduire à créer un milieu où tout « être » se traduisît immédiate
54
sa fascinante monotonie. Un art dont la mesure ne
doit
pas être cherchée dans le pittoresque, ni dans l’ingéniosité, ni dans
55
ation de la vie, qui requiert surtout la pensée —
doivent
s’ordonner à une mesure commune en vue de réaliser cette fin commune
56
ses conducteurs en vue d’une fin à laquelle tout
doit
s’ordonner. L’assimilation de la culture (et donc de sa mesure) au Pl
57
r, avec une bonne humeur et une bonne volonté qui
devraient
empêcher que l’on en rie… Poursuivons donc avec sérieux notre examen
58
alité intrinsèque, cette puissance animatrice qui
doit
être, en tous les domaines, le caractère d’une mesure vivante ? L’idé
59
ve. Le succès même des premiers plans de cinq ans
devait
manifester l’insuffisance d’un principe de communion aussi pauvre. Ca
60
imprévisible, en vue duquel la culture communiste
devrait
dorénavant s’organiser (le paradoxe est d’ailleurs soutenable) se sub
61
on pas des moyens mis en œuvre pour l’atteindre —
devait
résulter une scission, et le désir d’une mesure plus vivante. La scis
62
sites utiles. Vis-à-vis de la jeune Russie, notre
devoir
n’est pas de railler des naïvetés plus sympathiques que nos astuces,
63
pas de dire non à tout, ni oui à tout ; c’est un
devoir
de critique lucide, et j’ajouterai de critique méfiante, dans la mesu
64
cette crise était la plus aiguë, la réponse, qui
devait
être totale, n’a été que « totalitaire ». Là où depuis cent ans ou pl
65
e dans l’histoire à critiquer ce que d’autres ont
dû
faire ; et alors, d’ici vingt ou cent ans, nous serons réduits à l’ét
66
le. Nos fins sont d’autres fins, et la mesure qui
doit
les incarner ne sera inventée que par nous. Non seulement nos meilleu
67
n seul, et non le gigantisme national. La société
doit
être un corps, non pas une construction mécanisée. Et la santé et la
68
monuments sacrés à l’Est. Pour le présent, notre
devoir
européen est d’exercer la vocation de vérité qui est la nôtre avec un
69
ée érotique, pour acquérir une valeur de culture,
doit
être stylisée. Elle doit représenter la réalité complexe et pénible s
70
r une valeur de culture, doit être stylisée. Elle
doit
représenter la réalité complexe et pénible sous une forme simplifiée
71
plutôt la tactique… Si le Français, né malin, ne
doit
pas mourir gogo, la brochure de Vaillant-Couturier fera plus de mal a
72
de l’ironie ». Il me paraît que c’est bien à quoi
devait
aboutir le véritable et intégral nietzschéisme dans le plan politico-
73
par une glorification de la volonté humaine, qui
doit
vouloir son destin éternel et nécessaire… Enfin, dernier événement ni
74
oudain je me suis souvenu de la conférence que je
dois
donner à Marseille dans 15 jours. Je ne voulais pas la préparer avant
75
ans l’anarchie la plus sanglante. La politique ne
doit
jamais partir de la réalité irrationnelle de l’homme : d’ailleurs ell
76
en le plus précieux !) Au contraire, la politique
doit
aller à l’encontre de la réalité individuelle, et c’est pour elle la
77
nant à plusieurs reprises que la politique idéale
devrait
partir de la personne. Elle doit tenir compte de la personne, et fina
78
itique idéale devrait partir de la personne. Elle
doit
tenir compte de la personne, et finalement favoriser son développemen
79
ns de formuler. Premier fait : l’équilibre social
doit
être quelque chose de mouvant. Tout équilibre stable et sclérosé prod
80
uilibre social, pour rester sain, mouvant, tendu,
doit
être orienté constamment par un léger excès de la composante « person
81
léger excès de la composante « personnelle ». Il
doit
en permanence se déplacer au profit des personnes. (Au profit des irr
82
rofit de la politique et des doctrines d’État qui
doivent
justement la combattre, le désordre s’installe et grandit. Dans notre
83
ême manière aux lois et aux pouvoirs qu’il aurait
dû
combattre. (Volonté et pouvoir des masses, fatalités économiques, évo
84
e, touche à son terme dans le cœur d’un homme. Je
dois
à ces rencontres d’avoir pressenti quelquefois — assez pour en garder
85
n succès sur le marché. Combien de nos romanciers
devraient
être classés dans la catégorie des femmes à barbe et des veaux à deux
86
eur que nous avons trahi, c’est avec lui que nous
devons
retrouver un contact qui nous renverra, plus sûrement que toutes les
87
ale. Si c’est cela, l’antifascisme, les fascistes
doivent
être de drôles de gens. 6 mai La mort et les cérémonies dans le Gard
88
vous explique. Une visite de deuil, chez nous, ça
doit
se faire dans la cuisine. Aussi, je lui ai dit, à Fernann, il aurait
89
isine. Aussi, je lui ai dit, à Fernann, il aurait
dû
venir chez vous pour dire qu’il ne voulait pas qu’on lave. Je le lui
90
d d’un bâtiment considérable, à trois étages, qui
devait
servir de communs, de magnanerie, de cellier et de grange. Au sud, un
91
ement. Thème, repris de Lautréamont : « La poésie
doit
être faite par tous. Non par un. » On a mis le poète sur un sommet. M
92
pense que la pureté dont parlent les surréalistes
devrait
impliquer la rigueur. Et une exigence d’« évidence ». ao. Rougemon
93
’autre de ces trahisons, et affirme que la pensée
doit
entrer dans l’action, non pas « à son service », mais au service de l
94
qui a commencé, de l’œuf ou de la poule ; et qui
doit
commencer, de la littérature ou de l’ordre social. Notre effort ne sa
95
pas que cette limitation normale — et normative —
doive
se traduire par un appauvrissement de notre curiosité intellectuelle.
96
celles qu’on note chez la plupart des mystiques,
doivent
être considérées comme des pseudo-hallucinations, qui, à la différenc
97
artie la plus intéressante de l’œuvre du Suédois,
devait
apparaître purement fantaisiste et périmée à un savant de l’avant-gue
98
toujours fausse dans le fait. Mais on peut et on
doit
concevoir une tout autre forme d’existence qui serait « en fonction d
99
n considère volontiers que la neutralité nous est
due
, comme l’air et les beautés de la nature. Privilège inconditionnel, n
100
contre idéale, me paraît être la grande leçon qui
doit
se dégager de notre effort. La mission essentielle de la Suisse est u
101
eltanschauung où les droits du particulier et les
devoirs
envers le général se fécondent mutuellement75. Cette conception du mo
102
être définie à l’échelle de l’Europe : la Suisse
doit
être la gardienne de ce principe central, fédératif ; et elle ne peut
103
, n’est en fait qu’une dégradation de l’idéal qui
devrait
nous unir. La première devise des Suisses, ce fut « Un pour tous, tou
104
ardienne du principe commun que la Suisse peut et
doit
maintenant revendiquer face à l’Europe son droit à la neutralité. Ell
105
forcément cela. C’est au contraire (ou plutôt ce
doit
être) un combat perpétuel, exaltant, le battement du cœur de l’Europe
106
leurs les écoles militaires. Et c’est bien ce que
devrait
être une armée consciente de son rôle particulier de garde neutre. Ma
107
ntre-fin. Que l’armée soit proche du peuple, cela
doit
avoir pour effet idéal de « civiliser » la milice ; que cela ait pour
108
e raison d’être est en fin de compte spirituelle,
devrait
comporter normalement à côté du budget militaire80, un important budg
109
77. La Genève des beaux jours de la SDN semblait
devoir
renouveler son rayonnement. Asile ou lieu d’élection d’Européens comm
110
asservissants. L’apparition de la passion d’Amour
devait
donc transformer radicalement le jugement porté sur l’adultère. Certe
111
mment incompatible avec le mariage dans la chair,
devait
amener des confusions inextricables. Pour l’amateur non initié des po
112
la passion est l’épreuve suprême, que tout homme
doit
un jour la connaître, et que la vie ne saurait être à plein vécue que
113
s l’ont répété, et notre temps n’apporte rien qui
doive
nous faire changer d’avis. Tout bonheur que l’on veut sentir, que l’o
114
le effort de redéfinition de l’institution et des
devoirs
moraux qu’elle implique91. Les humanistes reprennent les arguments d’
115
dait se fonder sur une base raciste et militaire,
devait
se donner pour première tâche de surmonter cette crise des mœurs. On
116
électionnée incarnant l’idéal racial). Ces femmes
doivent
être blondes, de sang aryen, et mesurer au moins 1 m 73. Ainsi le « t
117
nie comme simple déficience sociale (ou sabotage)
devra
se réfugier dans le secret. Mais alors elle retrouvera pour s’exprime
118
t sur le passage où Jésus proclame que l’homme ne
doit
pas séparer ce que Dieu a uni ; soit enfin sur des entretiens de Jésu
119
, intégralement fédéraliste (et non régionaliste)
doit
être considéré comme l’un des premiers actes du réveil « pluraliste »
120
, mais l’homme pieux qui estimait que la religion
devait
être un amour heureux, un mariage avec sa vertu. Car l’amour du péche
121
ion chrétienne est la seule vérité, et tous nos «
devoirs
» humains (dont le bonheur) ne peuvent que nous en détourner. Kierkeg
122
t dire contre le mariage est vrai, par conséquent
doit
être dit, soit du point de vue des romantiques — si l’on croit à Iseu
123
voir ne pouvant être qu’imparfait, et provisoire,
devrait
se doubler d’une garantie. Et la seule garantie concevable est dans l
124
de fidélité un problème, alors que le problème ne
devrait
se poser qu’à partir de cette promesse, considérée comme absolue. La
125
plicité des expériences. Elle nie que l’être aimé
doive
réunir, pour être ou pour rester aimable, le plus grand nombre de qua
126
appris cette nouvelle : ce n’est pas l’homme qui
doit
se délivrer lui-même, c’est Dieu qui l’a aimé le premier, et qui s’es
127
ivinisation de la créature. Mais cette égalité ne
doit
pas être entendue au sens moderne et revendicateur. Elle procède du m
128
psychologiques, de son enjeu spirituel, me paraît
devoir
entraîner la révision d’un certain nombre de jugements courants, dans
129
ous importe bien moins que la connaissance de nos
devoirs
présents. Car « la figure de ce monde passe », mais l’obéissance est
130
cet homme mort au monde, tué par l’amour infini,
devra
marcher maintenant et vivre dans le monde comme s’il n’avait pas d’au
131
nature essentiellement hétérogène. Peut-être même
doit
-il être conçu comme un aspect particulier du mouvement de retour de l
132
(collection « Présences »). « Un chrétien peut et
doit
accepter Éros, en tant qu’Éros, et justement pas en tant qu’Éros subl
133
f, que je rapporte au catharisme. Je pourrais, je
devrais
vous dire que si je n’avais pas rêvé (et un peu plus…) sur l’aventure
134
uisqu’il a reçu ses pouvoirs au moment même où il
devait
en faire un usage maximum, de toute urgence. Ainsi le système françai
135
e, et qui ne sait pas où l’on cache les dossiers,
doit
juger plus sagement en 24 heures que le vieux routier n’avait su le f
136
éter, mais aussi en majorité protestantes, ce qui
doit
rassurer. Ils ont donné nos meilleurs immigrants, ceux qui ont fondé
137
ratiques pour le tiers-monde et pour l’Europe qui
doit
l’aider… Ce que nous devons offrir au monde et à nos fils, ce n’est p
138
de et pour l’Europe qui doit l’aider… Ce que nous
devons
offrir au monde et à nos fils, ce n’est pas notre mauvaise conscience