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matiquement, et comme un produit accessoire de la
dictature
économique des prolétaires. Au début, on avait représenté les masses
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: c’est que le Plan est l’instrument forgé par la
dictature
communiste pour unifier la pensée et l’action du peuple et de ses con
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l’homme qui résiste, en créant, à toute espèce de
dictature
. De cette insuffisance de l’idéal — et non pas des moyens mis en œuvr
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mander là-bas ce qui nous manque. II. Leçon de
dictature
De tout ce qui précède, il serait ridicule et vain de tirer une «
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laré. Le libéralisme n’a le droit de critiquer la
dictature
que lorsqu’il assure une liberté réelle et plus féconde que la contra
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ujours indemne, facilité qui consiste à assimiler
dictature
et crime, discipline sociale et brutalité, volonté de servir et trahi
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si celui qui nous intéresse ici directement : les
dictatures
totalitaires ont échoué jusqu’ici dans leur tentative de créer par la
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s et historiques étaient telles qu’il fallait une
dictature
pour y mettre un minimum d’ordre et permettre à la vie de continuer.
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question que de renaissance et de construction. «
Dictature
», « tyrannie », « conformisme brutal », tout cela qui épouvante les
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t faite. Au terme du libéralisme, à l’origine des
dictatures
, une seule et même situation matérielle : la misère. L’un des système
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ensées, de nos actions et même de nos utopies. La
dictature
de cette crise sur nos esprits et sur nos corps signifie sans erreur
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criticailleries libérales à l’adresse des grandes
dictatures
ne sont dangereuses que pour ceux qui s’y livrent. Ils n’arrêteront p