1 tout de même à choisir ses complices. Sans entrer donc dans le vif du débat — à savoir si Martin, « objecteur de conscience 

2 iaire de la préfecture de police. Qu’on n’attende donc pas de nous un appel aux églises en tant que corps constitués et offi

3 me encore au moment où elle le trahit. Telle sera donc la forme et tel sera le premier lieu de la rupture nécessaire : la dé

4 ve du communisme et du capitalisme. ⁂ Ils partent donc de la nécessité. Ils n’arriveront jamais à la liberté, au loisir plei

5 impatiente : il faut tout expliquer. J’indiquerai donc encore : 1° que si l’erreur initiale fut bien spirituelle, notre tâch

6 on du désordre où nous sommes nés, d’où viendrait donc l’ordre vivant ? On ne crée pas la vie en insultant la mort. Il faudr

7 at fasciste13. Que pourrait-elle lui opposer ? Où donc est la mesure de l’homme irréductible, au nom de quoi elle dirait non

8 t à nos yeux la plus dégradante qui soit. Il faut donc renoncer à chercher dans les choses, dans les partis, dans l’État ou

9 onté déterminée, son attitude créatrice. Je dirai donc ce que notre désir invoque. Je vois un grand dessin véhément et humbl

10 cet homme, et n’ai pas lu le livre. Je lui laisse donc la responsabilité du compte rendu qu’il m’en a fait. h. Rougemont D

11 tion générale avait dessein de nous placer. Ainsi donc , encore que ce drame puisse être qualifié de jeu, et légèrement pris

12 de province si vous pensez que j’exagère. Faut-il donc mettre une barre sous la rubrique surréalisme, et verser tout cela au

13 ire, qu’on ne peut pas dire autrement. Que dit-il donc , cet homme qui le prend de si haut ? Son livre s’ouvre par un discour

14 rouve refoulé par le langage rationnel. Il s’agit donc de faire sauter tous ces « barrages », de confondre à nouveau rêve et

15 ration qui en reste l’enjeu et le but ; il serait donc vain et dangereux qu’au lieu de combattre la société actuelle, tout e

16 t partout reconnue à des signes certains — et qui donc aurait même l’idée d’un pavillon de la Richesse ? ou du Succès ? — br

17 e rôle de l’esprit qu’on dit créateur ? Serait-ce donc qu’on ne sait plus le voir dans ses effets ? Mais alors, comment fera

18 crit et la parole. Un sanctuaire de l’esprit sera donc un sanctuaire du livre et de la parole. » Il y aurait donc une biblio

19 anctuaire du livre et de la parole. » Il y aurait donc une bibliothèque et un palais de la parole. M. Duhamel affirmait au s

20 La bibliothèque-sanctuaire-ruche active offrirait donc aux visiteurs lassés l’œuvre complet de M. Duhamel et les articles de

21 on en alléguant un argument de clerc. Il y aurait donc une différence profonde entre le refus de Pilate, chargé d’un pouvoir

22 t si la vérité n’existe pas, comment serions-nous donc fondés à juger, à risquer en son nom les réalités immédiates ?38 Les

23 la cité (suite) b) Les réalités qui se payent. Donc , on nous dresse à ne servir à rien. Entendez : à ne rien servir. Le r

24 re ? C’est tout juste s’il sait écrire. Il écrira donc un ouvrage dans les règles de l’art qu’il a sucé. Si l’ouvrage est « 

25 de repêchage du projet de nos commissaires. Voici donc mon contre-projet, sous forme de résolution. Article unique : La Com

26 uit à poser de vraies questions sérieuses. Il est donc irréalisable sous un patronage officiel. Exposer les dernières invent

27 rfläche.  (Ce qui est profond doit être caché. Où donc  ? À la surface.) Hofmannsthal. 1. Ramuz mythologue Toute métho

28 muz l’a fait plus qu’aucun de nos maîtres. De lui donc , plus que d’aucun autre, nous attendons qu’il aille jusqu’au terme. L

29 on ou même de contrainte : c’est le Plan55. Ainsi donc , la mesure effective à quoi s’ordonne toute la construction russe n’e

30 doit s’ordonner. L’assimilation de la culture (et donc de sa mesure) au Plan est même si radicale, si naïve, que les Soviets

31 i devraient empêcher que l’on en rie… Poursuivons donc avec sérieux notre examen de la valeur du Plan considéré comme mesure

32 n déterminera notre jugement sur cette mesure. Si donc nous voulons restaurer une civilisation défaite, il faudra commencer

33 es et du lieu et du temps où on les mesure. Seuls donc les groupes de forces ou d’hommes, exactement situés dans le temps ou

34 er que l’on n’invente rien de ce tourment. Est-ce donc un témoignage pur et simple — ni si pur ni si simple d’ailleurs, — la

35 ti communiste français, le 16 octobre 1936. C’est donc un manifeste, et un texte officiel. Il convient d’en parler avec séri

36 ou à qui le dire ? (février 1937)ag On le dira donc au public. Ce sont des souvenirs d’enfance, fort bien réinventés, et

37 nt de l’extérieur. Une politique saine ne saurait donc partir de la personne, mais au contraire de l’impersonnel, pour se di

38 evient partout de plus en plus totalitaire. C’est donc que l’homme se défend de moins en moins. Ses « superstitions » person

39 vec le beau-frère font toujours rage). Je me suis donc borné à exprimer mes « condoléances » à madame Simard, que j’ai trouv

40 iosité cyclique. Les dieux locaux me seraient-ils donc défavorables ? Je me vengerai d’eux en écrivant ici que leurs charmes

41 de servir un ordre qui n’est pas le sien ». C’est donc qu’elle veut instaurer un ordre plus grand et pur. « Toutes les tours

42 une et de l’autre, de l’une par l’autre. Ce n’est donc pas à une enquête que nous allons nous livrer cette année, mais à une

43 nnuyeux à lire, quel que soit l’intérêt du sujet, donc à son détriment, surtout lorsqu’il s’agit d’un phénomène spirituel et

44 oint » sans poids ni étendue, point mathématique, donc non matériel. Cette vue pouvait être condamnée en toute tranquillité

45 te » justement qui donne un sens à la fédération, donc à l’armée qui la défend. Je ne crois pas d’ailleurs que les armes mat

46 e nous opérons ce redressement urgent ! Qu’est-ce donc qu’une révolution, sinon justement un effort pour restaurer l’actuali

47 ion, les « utopies » personnalistes. Nous n’avons donc pas à renverser l’ordre politique existant — comme c’est le cas en Fr

48 le plus important : des possibilités d’imaginer, donc d’innover et de voir grand. ⁂ Je résumerai tout ce qui précède en une

49 ensées » dans la lyrique des troubadours, suppose donc la chasteté, ou la non-possession des corps. D’Amor mou castitaz : d’

50 éer, et deux personnes juridiques. Il se trouvait donc sanctifier les intérêts fondamentaux de l’espèce et les intérêts de l

51 ssants. L’apparition de la passion d’Amour devait donc transformer radicalement le jugement porté sur l’adultère. Certes, la

52 que ; la passion a toujours existé, elle existera donc toujours, et nous ne sommes pas des Don Quichotte… » Je le crois bien

53 ’énergie d’un « révolutionnaire professionnel » — donc puritain — contre cette anarchie sexuelle qu’il qualifie de « petite-

54 reusement indépendants des « goûts » individuels, donc des passions. À chacun sa « fiche de mariage ». Alors la science matr

55 l’effective abolition du besoin « spirituel », et donc artificiel, de la passion. Alors le cycle de l’amour courtois sera fe

56 onna la main pour la première fois en 1888. C’est donc lui qui l’avait cloîtrée ? — Pour un collège de sociologie : Nous y r

57 eurs effets les décisions qu’il a risquées. C’est donc un parti pris tout personnel que je vais tenter de définir maintenant

58 are ! » Il faut que l’autre cesse d’être l’autre, donc ne soit plus, pour qu’il cesse de me faire souffrir, et qu’il n’y ait

59 homme naturel ne pouvait pas l’imaginer. Il était donc condamné à croire Éros, c’est-à-dire à se confier dans son désir le p

60 La femme étant l’égale de l’homme, elle ne peut donc être le but idéal de l’homme98. En même temps, elle échappe à l’abais

61 dent, comme si tout l’Occident était chrétien. Si donc l’Europe succombe à son mauvais génie, ce sera pour avoir trop longte

62 sion. Elle suppose l’acceptation du différent, et donc de l’incomplet, la prise sur le concret dans ses limitations. Le chré

63 ) Rencontre amusante, instructive… Je me garderai donc de retoucher cette réponse. Mais pour conclure, je vous citerai en co

64 la proximité géographique de la Russie. Pourquoi donc aurions-nous organisé, par les soins de la marine de guerre, et comme

65 e pour tous et non seulement pour nous ! Ce n’est donc pas au nom de je ne sais quel nationalisme européen qu’il nous faut d

66 ue d’une fédération mondiale. Il n’y a de paix et donc d’avenir imaginable que dans l’effort pour instaurer un vrai gouverne

67 om, dites-vous, que je répondais à Sartre. Allons donc  ! Je vois bien qu’il vous est nécessaire d’un peu me calomnier d’abor

68 réussi de dépassement de l’ère nationaliste — et donc de l’ère colonialiste — par le moyen d’une grande fédération. Ceux qu

69 ns pas à me trouver tant d’astuce. Je me contente donc d’assurer Rougemont que son article m’a agacé et m’a mis en colère, d