1
eur président, et la mimique d’un jeune aviateur,
dont
la mâchoire furieuse remâche une incompréhensible colère de fauve en
2
e d’une de ces célébrités respectables et séniles
dont
le nom sert encore de recommandation (pour ceux qui croient aux « rel
3
e l’adversaire à une paix avantageuse, à une paix
dont
ils s’imaginent pouvoir tirer bénéfice pour la foi, — bien plus, que
4
et ce n’est pas à lui de rompre avec l’injustice
dont
il s’est fait le soutien, et qui, depuis, assure son succès relatif.
5
yen Âge à l’Amérique moderne, la grande Imposture
dont
nous avons à dénoncer l’origine permanente et les manifestations actu
6
opriétés, je ne sais quelles régions spirituelles
dont
tout leur être — et cette maladie même ! — prouvent l’inexistence ou
7
t immédiate, indubitable ; mais l’ordre chrétien,
dont
certains parlent, où est-il aujourd’hui ? Faudrait-il attendre qu’on
8
ises les plus « avancées » des professions de foi
dont
personne ne songe à contester l’opportunité. (Cette tolérance peut d’
9
larait récemment dans l’importante revue Die Tat,
dont
il exprime en général la pensée directrice, que la seule doctrine vér
10
n’en reste pas moins non conformiste par la façon
dont
il pose les problèmes. Beaucoup plus « existentielle » que systématiq
11
ouristes, il se distingue nettement des marxistes
dont
il rejette le matérialisme méthodique et le goût pour la violence dic
12
dentel d’un conflit absurde entre deux opérations
dont
nous avons perdu le contrôle, pour les avoir follement décrétées auto
13
sé par cette disjonction du travail et du loisir,
dont
il faut maintenant déceler la lâcheté originelle. Car c’est bien d’un
14
tauration en Russie d’une civilisation américaine
dont
on s’efforce, à coups de plans, de satisfaire les exigences artificie
15
de peine à définir et nommer clairement les maux
dont
nous souffrons, et le bien qui nous les révèle. En vérité, nous conna
16
it des succès ; elle s’applique à parler du livre
dont
on parle plutôt que de celui dont il faudrait parler, et qu’on ignore
17
parler du livre dont on parle plutôt que de celui
dont
il faudrait parler, et qu’on ignore. Elle ne juge plus : elle traduit
18
teurs. À sa façon, non moins que les littérateurs
dont
j’ai parlé, elle tend à dévaloriser, à disqualifier humainement les c
19
sée par des puissances qu’elle avait négligées ou
dont
elle s’était faite complice. Nous avons vu déjà que le roman bourgeoi
20
mme un ordre ; pour l’incroyant, c’est la mission
dont
il se sent responsable envers lui-même. g. Rougemont Denis de, « Pr
21
, mais surtout ne vous occupez pas de cela en moi
dont
je ne veux pas m’occuper ! » À 10 kilomètres de mon logis, l’autre jo
22
tel, mais nous avons plutôt donné deux équations
dont
le concret constitue l’inconnue, et décrit la manière dont l’entendem
23
oncret constitue l’inconnue, et décrit la manière
dont
l’entendement le prévoit. Peut-on vraiment faire plus ? L’événement s
24
qu’actif, objet en tant qu’agi, sont des concepts
dont
le seul contenu paraît au seul instant de leur présence mutuelle. Il
25
ujet, n’a rien en lui qui le pousse à chercher ce
dont
il manque, et n’a pas d’existence. Il ne devient objet que lorsque j’
26
: ils ne savent pas de quoi ils parlent, l’homme
dont
ils parlent n’est pas un homme, mais une chose faible et petite dont
27
est pas un homme, mais une chose faible et petite
dont
ils ignorent la nature. Ceux qui calculent avec les hommes ne calcule
28
est simplement de nommer homme cette dégradation,
dont
nul ne songe d’ailleurs à contester le fait, démontré par l’existence
29
la personne est par excellence le terme premier,
dont
dépend toute réalité collective. À l’utopie sociologique qui prophéti
30
ps et l’âme sont deux aspects de l’homme concret,
dont
la nature réelle n’apparaît que dans l’acte. L’aspect corporel de l’h
31
isé d’ailleurs en une espèce de bavardage lyrique
dont
Breton sera, je crois, le tout premier à reconnaître qu’il sue le plu
32
qu’ils écrivent, une espèce de bluff inconscient,
dont
le dernier livre d’André Breton fournit de trop nombreux exemples. On
33
n la prenne au sérieux, fût-ce après ce Schelling
dont
, par ailleurs, Breton dit tant de mal (Introduction aux contes d’Arni
34
atière tant soit peu résistante par elle-même, et
dont
il ne saurait avoir raison en quelques tours de phrases élégants et p
35
eux-mêmes, et l’un par l’autre, de ces deux êtres
dont
la vocation paraît inséparable de l’amour qui les domine. Une analyse
36
gueurs : il faut concéder à Rouveyre ces qualités
dont
il fait tant de cas. Une lucidité virile forme la leçon de ces pages,
37
ages exactement. Il me semble que ce conformisme,
dont
on sait les raisons commerciales, couvre pas mal d’infidélités profon
38
. Roger Breuil nous révèle une espèce de Français
dont
il est, sauf erreur, le premier à parler : une élite, une espèce d’ar
39
a réalité campagnarde. Il met en évidence un fait
dont
il faut souligner dans cette revue toute l’importance : c’est la circ
40
de le reconnaître. Un tel livre n’est pas de ceux
dont
la carrière s’épuise en une saison, si j’en crois l’amitié, les visag
41
les plus tragiques de l’heure avec une puissance
dont
on cherche en vain l’équivalent dans notre littérature d’après-guerre
42
ue précieuse et somnifère, et une partie critique
dont
l’intérêt dépasse tout ce que les surréalistes nous ont donné jusqu’i
43
y a là une puissance de réflexion et de synthèse,
dont
les ouvrages de Breton illustraient glorieusement l’absence. Mais il
44
là aussi une certaine erreur exemplaire de pensée
dont
il vaudra la peine de chercher l’origine, qui est peut-être celle, pe
45
l’on est en droit de formuler quant à la logique
dont
elles ont l’air de vouloir procéder ». M’autorisant de cette remarque
46
des associations verbales d’un type particulier,
dont
la page 39 donne un bon exemple, trop long à citer, la phrase ayant 1
47
ale, et stérilisante pour l’action, chez un homme
dont
la pensée paraît souvent plus audacieuse et subversive. Tzara critiqu
48
ser en splendeur les manifestations du même ordre
dont
s’est illuminé le passé. Mais nous entendons lui donner son caractère
49
les travailleurs désintéressés de l’esprit, ceux
dont
les recherches n’ont pas pour objet immédiat les applications pratiqu
50
allant de soi, mais qu’à la faveur d’un désordre
dont
on découvre alors la profondeur, il devient à son tour un problème, i
51
us un lieu commun, comme la richesse par exemple,
dont
on sait bien qu’elle est partout chez elle et partout reconnue à des
52
lébrer les droits de l’esprit. En effet, l’esprit
dont
ils parlent étant précisément celui que l’on enfermera dans la « cité
53
ts et graves coryphées parlementaires ou bicornés
dont
on vient d’estimer la prose. Ils observent une minute de silence. Pui
54
tables et prochaines ; vu la panique nationaliste
dont
la culture du dernier siècle est responsable ; vu l’intérêt que prése
55
est inculquée au peuple par les clercs bourgeois,
dont
l’enseignement converge ici avec celui du marxisme vulgaire. 27. Don
56
onverge ici avec celui du marxisme vulgaire. 27.
Dont
l’un au moins paraît préoccuper M. Duhamel, si j’en crois l’article c
57
culture : il part d’une conception spiritualiste
dont
il escompte le triomphe temporel automatique (par le moyen de l’ensei
58
ns qu’il y mette les mains. Par malheur, le droit
dont
il se targue ne comportant aucune espèce de vérité pratiquement contr
59
ses ! Comment ne point penser à ce Livre de Job —
dont
Ramuz nous a retraduit quelques passages — où toute une théologie s’e
60
on, c’est retrouver la langue à cet état naissant
dont
la chimie nous dit qu’il est l’état de virulence extrême des corps. L
61
u’une cour d’assises occupée à juger des meurtres
dont
le vol est le mobile. Je dis qu’il ferait un meilleur travail éducati
62
istence, les détournant de ce fameux « pratique »
dont
ils s’occupent si mal, et de plus en plus mal à mesure que le « prati
63
se d’une manière exemplaire l’accord des éléments
dont
se nourrit l’art de Ramuz. Voici Caille, le colporteur biblique, qui
64
e naturelle, dans sa fascinante monotonie. Un art
dont
la mesure ne doit pas être cherchée dans le pittoresque, ni dans l’in
65
if », admirablement pris, d’un portrait de Ramuz,
dont
il est bien facile de tirer une épreuve positive : « Sa poésie commen
66
lédiction, d’avant la grande première bifurcation
dont
chacun des embranchements a comporté ensuite une bifurcation nouvelle
67
ar l’effort créateur… Autant de formules d’un art
dont
la genèse se confond avec celle de la personne. Dans un essai où je c
68
elle, c’est une santé énorme, une joie au travail
dont
rien ici ne peut donner l’idée ; mais c’est aussi et d’une manière fo
69
r la culture comme « une forme commune de la vie,
dont
l’activité économique et politique ne constitue qu’une partie tout co
70
struction russe n’est plus la doctrine orthodoxe,
dont
les marxistes d’Occident se sont faits les conservateurs. C’est un pl
71
ournoisement introduit dans une société marxiste,
dont
il trahit les présuppositions fondamentales. Ainsi l’idée d’un Homme
72
bsiste encore, officiellement appuyée sur le Plan
dont
les succès aveuglent la grande masse. Mais elle est réfutée dans son
73
’un principe qu’il tirait logiquement de Marx, et
dont
il entendait faire la mesure commune de la pensée et de l’action : «
74
se trouva soumis à des fins purement matérielles,
dont
on espérait qu’il naîtrait spontanément une culture populaire. C’étai
75
e tous les temps. Nous avons fait des expériences
dont
ils ne soupçonnent pas la gravité, et moins encore la vanité. Ils les
76
t aussi se garder d’une certaine facilité sénile,
dont
la jeunesse française n’est pas toujours indemne, facilité qui consis
77
tout cela au nom d’une conception de l’esprit pur
dont
la faiblesse philosophique égale l’hypocrisie pratique. Enfin il sera
78
s humaines colossales et jamais encore exploitées
dont
dispose l’URSS ; la pression des nouvelles générations, dont les chef
79
e l’URSS ; la pression des nouvelles générations,
dont
les chefs qui les ont formées avouent déjà qu’elles leur paraissent «
80
ns l’enseignement, et dix morales contradictoires
dont
aucune ne sait plus, ou n’ose plus avouer à quelle fin elle conduit s
81
nous avons à créer un nouveau type de révolution,
dont
l’exemple vous sera certainement plus utile que les critiques de nos
82
e ce dessein, il fallait des symboles visibles et
dont
le sens fût reconnu de tous, prince et sujets, clercs, soldats et mar
83
Elles ont gardé un certain nombre de possibilités
dont
les nations plus jeunes se sont volontairement privées. Elles s’honor
84
. Elles ne savent trop que faire de cette liberté
dont
elles se vantent. Elles s’en vantent d’ailleurs de moins en moins. En
85
ésite à s’engager dans une révolution spirituelle
dont
elle redoute l’impuissance pratique à l’heure où il faudra donner du
86
de nous reconnaître. Ils ont fondé des religions
dont
le but est la force commune. Ils ont su se créer des symboles grandio
87
i commence un monde étrange, ici règne une nation
dont
nous ne sommes pas, et qui nous est hostile, non point par volonté mé
88
jeunes hommes d’aujourd’hui. 60. Dans le volume
dont
ces pages sont extraites figure avant ce paragraphe un chapitre sur l
89
un chapitre sur la culture nationale-socialiste,
dont
on montre le parallélisme paradoxal avec la culture soviétique. 61.
90
uses sont aussi ses plus chères pensées », celles
dont
l’aveu lui coûterait ses moyens matériels de vivre, mais dont l’accep
91
lui coûterait ses moyens matériels de vivre, mais
dont
l’acceptation virile constitue sa seule raison d’être. Tout le débat
92
e un » — et de son emprise sur nos vies. Critique
dont
la portée directe et l’évidence insupportable naissent non point d’un
93
r s’efforce de sauver les restes d’un fédéralisme
dont
il faudrait pourtant refaire les bases…) Quant à la position d’Henri
94
nces, persévérer dans une volonté révolutionnaire
dont
le marxisme s’est détourné parce qu’il a fait erreur sur l’homme. La
95
Je constate simplement ceci : le peuple allemand,
dont
le régime me paraît spécialement dangereux pour la culture, achète de
96
que leur état jugé par eux « exceptionnel » — et
dont
la honte alors les opprimait — est justement l’état de l’homme vraime
97
e plus libre des superstitions que j’ai dites, et
dont
l’éducation se fait très lentement sous l’influence des résistances a
98
nnelles (son quant-à-soi), vaincues par une crise
dont
ce n’est pas ici le lieu de mentionner les causes profondes, cessent
99
et la réalité de cauchemar qu’elles affectent, —
dont
les affecte notre démission. Et c’est ainsi d’un refoulement, puis d’
100
a eu le temps de se familiariser avec l’orateur,
dont
il connaissait peut-être déjà la pensée et qu’il vient de voir de prè
101
ation à l’homme réel m’a conduit à une conclusion
dont
j’attends avec impatience la vérification in concreto à l’occasion de
102
ieux fonds de rites de protection très compliqués
dont
ils n’arriveraient pas à concevoir qu’on puisse même s’étonner. Et ne
103
xégèse des lieux communs). Je pense que la pureté
dont
parlent les surréalistes devrait impliquer la rigueur. Et une exigenc
104
pour la vérité, une « querelle des générations »
dont
il définissait comme suit les éléments : « L’ancienne génération, cel
105
uit les éléments : « L’ancienne génération, celle
dont
les membres avaient environ la trentaine en 1900 fut une génération h
106
i s’efforce de la réaliser, — c’est que la vérité
dont
il s’agit ressemble pas mal au néant. Soyons sérieux : la majorité de
107
uoi se réduit en fin de compte la « dialectique »
dont
tout le monde parle depuis cent ans. Ne perdons plus de temps à reche
108
st totalement inutile de parler du dernier roman,
dont
tout le monde parle, parce qu’il n’apporte rien. On ne peut pas recom
109
mme, les grands traités mystiques de Swedenborg —
dont
l’influence fut si profonde sur les meilleurs esprits de la période g
110
’elle prétend critiquer. Exemples : « Les visions
dont
il s’agit ici sont vraisemblablement des hallucinations hypnagogiques
111
— je simplifie — le cas des mystiques orientales,
dont
l’influence est loin d’être négligeable chez les jeunes écrivains fra
112
soit efficace, c’est l’exercice réel de la charge
dont
ce droit représente à la fois la condition et la contrepartie. Le dro
113
vent bien somnolente. Trop assurés dans un statut
dont
les commodités sont surtout matérielles, et les obligations surtout s
114
voquer pour justifier l’espèce d’exterritorialité
dont
jouit la Suisse sur le continent, nous le voyons, lui aussi, se trans
115
ion centrale, à la fois naturelle et spirituelle,
dont
l’individualisme et les collectivismes figurent les déviations morbid
116
ence témoin, l’annonciatrice d’une Europe fédérée
dont
elle prouve la réalité en assemblant dans un État nos trois plus gran
117
portionné au sens des raisons d’être de la Suisse
dont
témoignent ces mêmes milieux. Ce serait à croire parfois que pour êtr
118
e. Le budget de la défense nationale dans un pays
dont
la vraie raison d’être est en fin de compte spirituelle, devrait comp
119
rechercher les origines religieuses de ce roman,
dont
l’influence, du xiie siècle jusqu’à nos jours, se révèle exactement
120
le monde incréé de la Lumière. L’Amour mystique,
dont
le symbole était la « Dame des pensées » dans la lyrique des troubado
121
rtoisie » hérétique. L’une impliquait le mariage,
dont
elle fit même un sacrement ; l’autre exaltait un ensemble de valeurs
122
e et brûlante. Poésie toute profane d’apparences,
dont
la puissance de séduction s’accroît encore du fait que l’on ignore la
123
n au sein de laquelle nous vivons de deux morales
dont
l’une est héritée de l’orthodoxie religieuse, mais ne s’appuie plus s
124
se, mais ne s’appuie plus sur une foi vivante, et
dont
l’autre dérive d’une hérésie dont l’expression « essentiellement lyri
125
foi vivante, et dont l’autre dérive d’une hérésie
dont
l’expression « essentiellement lyrique » nous parvient totalement pro
126
spectacles, et par mille allusions quotidiennes,
dont
le sous-entendu est à peu près que la passion est l’épreuve suprême,
127
et profané en même temps que les formes sociales
dont
il tirait ses éléments plastiques. Si maintenant il tentait de se rec
128
euples païens, s’est toujours entouré d’un rituel
dont
nos institutions gardèrent longtemps les éléments : rites de l’achat,
129
le plus souvent. Le résultat de cette propagande
dont
le succès caractérise l’état moral de l’époque, est à la fois de nous
130
jugement se fonde sur une équivoque : car l’Amour
dont
il s’agissait n’était rien d’autre que la foi cathare, et l’accession
131
arler comme l’auteur du Tristan — cette nostalgie
dont
il ignore l’origine autant que la fin. Son illusion de liberté repose
132
s une autre existence peut-être J’ai déjà vue, et
dont
je me souviens… Image de la mère, sans nul doute, et la psychanalyse
133
cœur de l’homme en proie au mythe. C’est la femme
dont
on est séparé, et qu’on perd en la possédant. Alors commence une « pa
134
entre elle et lui. Pitoyables victimes d’un mythe
dont
l’horizon mystique s’est refermé depuis longtemps. Pour Tristan, Iseu
135
onstamment déçue. Le mythe décrivait une fatalité
dont
ses victimes ne pouvaient se délivrer qu’en échappant au monde fini.
136
ent de toutes parts que choses à envier, qualités
dont
ils se sentent privés, et motifs de comparaisons qui toujours tournen
137
des beautés qu’il aperçoit à d’autres femmes, et
dont
la sienne se trouve privée (même si tous la jugent la plus belle). C’
138
ppe un certain nombre de fatalités psychologiques
dont
les effets ne sont plus contestables. Que l’on soit partisan de l’une
139
et dans des lieux déterminés, et sous des astres
dont
le cours est calculable. (Au xiie siècle). J’ai cru cerner le secret
140
r, fût-ce même par une révolte contre la décision
dont
elle est née. Et pour tout dire, j’ignore encore si cela peut avoir u
141
s compter que la Croisade, au total, fut un échec
dont
la passion sut profiter.) C’est qu’avant tout et après tout, à l’orig
142
la seule vérité, et tous nos « devoirs » humains (
dont
le bonheur) ne peuvent que nous en détourner. Kierkegaard condamna d’
143
e concevoir les vérités « cruelles » de l’esprit,
dont
parle Nietzsche. Mais si je sais que l’Apôtre a raison, et si je l’a
144
r choix relève toujours d’une sorte d’arbitraire,
dont
ils s’engagent à assumer les suites, heureuses ou non. Ce n’est pas l
145
elle et désirable — et munie d’une dot adéquate —
dont
je veux être le Tristan ». Car ce serait là mentir et l’on ne peut ri
146
sion !) ⁂ Les moralistes et certains sociologues (
dont
Engels) ont essayé de prouver que la monogamie est naturelle, et de p
147
à la faveur d’une œuvre, et aux mêmes conditions,
dont
la première est la fidélité à quelque chose qui n’était pas, mais que
148
t le contraire d’une ardeur exaltée ? La fidélité
dont
je parle est une folie, mais la plus sobre et quotidienne. Une folie
149
e existence autonome, étrangère, d’une vie totale
dont
il n’a désiré vraiment qu’un illusoire ou fugitif aspect, projeté peu
150
au monde visible. La passion ni la foi hérétique
dont
elle est née ne sauraient proposer comme but à notre vie la maîtrise
151
hnique en devenant mortelle, trahit les ambitions
dont
elle est née. Il se peut que l’Occident succombe à ce destin qu’il s’
152
r avec assez de précision ce déplacement d’accent
dont
tout dépend. Il est certain que l’Occidental christianisé se distingu
153
. De fait, on ne connaît jamais que les problèmes
dont
on pressent au moins la solution, le dépassement. Or le moyen de dépa
154
peut être situé par rapport à un drame personnel
dont
les données biographiques nous sont suffisamment connues. On sait que
155
ront tentés de répondre que l’espèce de paralysie
dont
souffre le mouvement personnaliste s’explique par un excès de critiqu
156
de constituer enfin un vrai parti, un parti vrai,
dont
la doctrine soit plus complète et sympathique que celle des « formati
157
du tout. Je ne crois pas aux « faits objectifs »
dont
l’historien prétend communément « partir »109. Je crois qu’il y a un
158
rité dans le péché, l’irrémédiable « consonance »
dont
un miracle seul peut nous sauver, en même temps qu’il sauvera ou rest
159
… (Mais pourquoi ne pas dire du corps ?) Un amour
dont
l’exaltation cependant, était considérée par les anciens comme une ma
160
arvenus de l’industrie et des sciences appliquées
dont
ils font montre même quand ils viennent chez nous. Cette moitié de mo
161
couvre et qu’il propage les antitoxines des virus
dont
il a infesté le monde entier. Il n’y a de fédération européenne imagi
162
historique dans le monde, et notamment des tâches
dont
elle est responsable — au sens actif du mot, cette fois — à l’égard d
163
1962), j’ai reçu une lettre de Denis de Rougemont
dont
on trouvera le texte ci-dessous. Toute polémique comporte une part de