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l’exercice de la liberté personnelle entraîne des
engagements
humains ; rapidement il se concrétise en relations de responsabilité.
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de son apparition, j’entends à la présence et à l’
engagement
: la personne n’est jamais seule, elle est essentiellement en communi
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c’est la volonté, consciente ou non, d’esquiver l’
engagement
pratique. Ce qu’on célèbre sous le nom d’esprit, c’est l’attitude pré
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sans force créatrice. Plus l’esprit se refuse à l’
engagement
, plus il lui paraît évident que l’engagement est impossible. Et plus
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à l’engagement, plus il lui paraît évident que l’
engagement
est impossible. Et plus il se persuade que sa nature est essentiellem
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ent que l’exercice de leurs libertés implique des
engagements
concrets. ar. Rougemont Denis de, « Brève introduction à quelques
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ts de la cité. Celui qui contrevenait à ce triple
engagement
ne se rendait pas « intéressant », mais pitoyable ou méprisable. La s
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et sociales, elle le repousse avec horreur. Car l’
engagement
religieux est pris « pour le temps et l’éternité », c’est-à-dire qu’i
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savoir qui exige sa réalisation. » Ce n’est pas l’
engagement
qui est problématique, mais les conséquences qu’il entraîne. (De même
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les deux cas, il s’agit de s’évader hors de tout
engagement
concret, considéré comme une odieuse limitation. ⁂ Pour moi, renonçan
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ce que les psychologues peuvent y lire. ⁂ « Notre
engagement
n’était pas pris pour ce monde », écrivait Novalis songeant à sa fian
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s la fidélité dans le mariage est au contraire un
engagement
absolument pris pour ce monde. Partant d’une déraison « mystique » (s
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nt toute une vie, et il n’exige pas moins que cet
engagement
pour révéler sa vérité. Et c’est pourquoi l’homme qui croit au mariag