1 tolèrent.) 4° Il n’y a qu’un rapport de trahison entre les idéaux pour lesquels nous nous ferions tuer, et les buts de ceux

2 emprisonne. 5° Il n’y a qu’un rapport de trahison entre la religion chrétienne et la religion de l’Écho de Paris. « Nous avon

3 e aveugle… » 6° Il n’y a qu’un rapport de lâcheté entre les formes de la justice actuelle et les fins que lui assigne l’« ord

4 Comment rompre ? (mars 1933)d Le faux rapport entre le christianisme et le christianisme de la chrétienté réside en ceci,

5 la décadence. Il y a des siècles de lutte sourde entre ces deux vouloirs, et tant que dure la lutte le christianisme vainc :

6 ollusion s’est faite. Or elle n’a pas pu se faire entre le christianisme et l’injustice de ce monde, l’un n’existant que pour

7 u nom de l’Évangile2. Elle ne peut se produire qu’ entre le christianisme véritable et cette « chrétienté » qui s’en réclame e

8 me n’étant rien d’autre qu’un événement, un drame entre Dieu et l’homme. 6. Parce qu’on ne peut pas le défendre, cela n’a au

9  ! Il a été admirablement défini par la Sorbonne, entre autres. 7. Traité du désespoir, trad. Gateau (Gallimard), p. 178. C

10 la Fin du bourgeois, au sommaire duquel figurent entre autres les noms de Eugen Rosenstock, G. D. H. Cole (Angleterre) Carlo

11 simplement l’état accidentel d’un conflit absurde entre deux opérations dont nous avons perdu le contrôle, pour les avoir fol

12 ce, une plainte juste, une voix d’homme. L’auteur entre dans les confidences d’une femme non mariée (on ne voudrait pas dire

13 te, par cette conscience insinuée comme un retard entre l’individu et sa pressante vocation. L’âme immortelle n’est rien que

14 sues sur quelques résultats récents d’une science entre toutes suspecte, la psychologie de laboratoire. Il s’agit, dans l’idé

15 ntôt généreuse, tantôt corrosive, toujours tendue entre deux pôles de l’être, entre l’énergie exploratrice et le repliement a

16 sive, toujours tendue entre deux pôles de l’être, entre l’énergie exploratrice et le repliement amer. Enfin, un courage série

17 la circulation constante qui s’opère aujourd’hui entre les anciennes catégories sociales, d’ailleurs bien plus complexes qu’

18 s liens du métier, ou certains accidents heureux, entre des jeunes bourgeois, des jeunes paysans et ouvriers plus ou moins « 

19 bolivienne. (On sait que ce fut le sort de Röhm, entre autres.) Mêlés à des révolutions, disloqués, emprisonnés, blessés, ma

20 d’un monde fait de lois. Cette image s’interpose entre la pensée « pure » et le réel confus et dangereux qui échappe à ses p

21 e clerc. Il y aurait donc une différence profonde entre le refus de Pilate, chargé d’un pouvoir séculier, et le refus de l’in

22 pensée, abdiquant tous ses privilèges pêle-mêle, entre les mains du bureau d’un parti, d’un dictateur ou d’un soviet. Cela n

23 u dehors, qui est contact, et littéralement drame entre la vision et l’objet, entre la position de l’homme et la proposition

24 t littéralement drame entre la vision et l’objet, entre la position de l’homme et la proposition du monde. C’est la région de

25 en présence de « l’absurdité » du Tout-Puissant). Entre deux mots possibles, choisir le moins savant, le moins « lyrique » et

26 acte. Instauration de la personne dans la tension entre l’objet et la volonté formatrice. Rédemption par l’effort créateur… A

27 voir, dans notre état social, qu’un patriote qui, entre deux discours nationalistes, s’occupe à faire passer ses capitaux à l

28 ne telle conduite. C’est alors que le psychologue entre en action. 47. De tout bel canto peut-on dire. C’est le ton de la mu

29 s-crêpe. C’est très bien que d’établir un rapport entre la qualité des semelles et la culture générale. C’est très bien de po

30 réé une communauté d’intérêts immédiats et vitaux entre les producteurs et les consommateurs de la culture. Tant qu’il ne s’a

31 es pages précédentes. 1. La ressemblance formelle entre les moyens d’approche du problème culturel mis en œuvre par les deux

32 scandaleuse opposition, créée par notre société, entre les deux sens du mot « vivre » : gagner sa vie et mériter sa vie ; et

33  : gagner sa vie et mériter sa vie ; et peut-être entre les deux sens du mot « gagner » : gagner le monde ou gagner contre lu

34 par exemple le lecteur qui n’aurait pas remarqué, entre autres, que cette brochure-manifeste ne touche pas un traître-mot (sa

35 peut vous révéler la vraie raison d’une communion entre deux hommes : c’est toujours une raison unique, qui ne vaut qu’entre

36 c’est toujours une raison unique, qui ne vaut qu’ entre lui et moi, et qui ne prend son vrai sens que dans cette rencontre ef

37 ers, par le biais de leur singularité même, qu’on entre vraiment en contact. Ce public-là est relativement restreint. Mais d’

38 t agit en elle. » Il s’agit, au vrai, de la lutte entre le vieil homme et le nouvel homme, entre l’individu et la vocation qu

39 la lutte entre le vieil homme et le nouvel homme, entre l’individu et la vocation qu’il se reconnaît, je dirais volontiers :

40 cation qu’il se reconnaît, je dirais volontiers : entre la personnalité, naturelle ou factice (ou « personnage ») et la perso

41 t, que nous traitions un jour en toute franchise, entre croyants de confessions différentes et incroyants personnalistes. 7

42 voudraient le croire, une espèce de juste milieu entre les excès déplorables de l’individualisme bourgeois et du collectivis

43 u jeu, de la passion, des communications fécondes entre les êtres, une circulation des cultures, une respiration des âmes. Et

44 conséquences à la fois de l’équilibre fondamental entre les droits de la personne et ceux de la communauté. 76. On disait en

45 e humanité plus haute, où les barrières sociales, entre autres, s’évanouissent. Le Tzigane peut enlever la princesse, le méca

46 bable, qu’il se fixe enfin sur un type, compromis entre ce qu’il aime et ce que le film le persuade d’aimer. Il rencontre cet

47 ppose à leur union, le génie de la passion dépose entre leurs corps une épée nue. Descendons quelques siècles et toute l’éche

48 u temps profane : au lieu de l’épée du chevalier, entre le bourgeois et sa femme, voici le rêve sournois du mari qui ne peut

49 on « attrait » parce qu’il n’est plus d’obstacles entre elle et lui. Pitoyables victimes d’un mythe dont l’horizon mystique s

50 serait la forme la plus rationnelle des relations entre les sexes, dans une société libérée des contraintes de classe et d’ar

51 Mais les modernes savent-ils encore la différence entre un destin que l’on assume et une obsession que l’on subit ?) 5. Ér

52 ales pour qu’un discours vienne mettre ses délais entre la question qu’elles nous posent et la réponse de notre vie.) ⁂ Le se

53 s groupes ou par des « isolés ». 7. Ainsi l’écart entre action et doctrine s’accentue d’année en année. La doctrine tourne à

54 ant la lettre : « Le dialogue qui s’est poursuivi entre Rougemont et Davenson, après la note de ce dernier dans Esprit d’avri

55 « Un divorce entre le christianisme et le monde ? » (août-septembre 1946)bd be Je ne

56 e trahit son état. Quand on croit le fossé comblé entre elle et le monde, c’est qu’on se trompe à la fois sur la fonction de

57 aint Paul proposant un questionnaire sur le fossé entre le christianisme et le monde romain ; ni les staliniens s’inquiétant

58 i les staliniens s’inquiétant du « divorce actuel entre le marxisme et le monde moderne », lequel s’est cependant constitué «

59 nt Denis de, « [Réponse à une enquête] Un divorce entre le christianisme et le monde ? », Esprit, Paris, août–septembre 1946,

60 ndants ont posé la question préalable. Un divorce entre le christianisme et le monde ? Mais il est de toujours ! Non sans que

61 a fois libre et engagé, et vivant dans la tension entre l’autonomie et la solidarité, correspond le régime fédéraliste. bi.