1
tient tout de même à choisir ses complices. Sans
entrer
donc dans le vif du débat — à savoir si Martin, « objecteur de consci
2
» comme le sont aujourd’hui presque tous ceux qui
entrent
dans la vie. Mais en parlant d’étude, je fais tort au ton de ce livre
3
e sens du sacrifice de « ces jeunes gens qui sont
entrés
dans le malheur la tête haute ». Car ce sont « les jeunes gens qui ne
4
un peu méprisables qui croient que la pensée doit
entrer
en action, c’est-à-dire embrasser les « choses humaines » — oui, cell
5
ns alors de Goethe à Venise : « Je ne suis encore
entré
dans aucun bâtiment, excepté Saint-Marc. Il y a de quoi faire au-deho
6
sommes ici, et combien de fois ne sommes-nous pas
entrés
dans la grande cuisine qui était, pensions-nous, tout leur logis — no
7
à Madame Simard. — Je sais, mais vous n’êtes pas
entré
chez eux. — Entré chez eux ? — Il faut que je vous explique. Une visi
8
— Je sais, mais vous n’êtes pas entré chez eux. —
Entré
chez eux ? — Il faut que je vous explique. Une visite de deuil, chez
9
e de ces trahisons, et affirme que la pensée doit
entrer
dans l’action, non pas « à son service », mais au service de la vérit
10
vre, un destin qui acquiesce au désir ! Je vais y
entrer
, je vais y monter, je vais y être « transporté » ! La sempiternelle i