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« individu » n’est certes pas le moindre. Dans l’
espoir
incertain de nous munir contre eux, notre raison cherche à trouver le
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s violentes, où se poursuit ce vieux débat, aucun
espoir
de solution réelle n’est plus permis18. Mais c’est ce plan que nous a
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ds si je n’en fais pas un second. Et pourtant mon
espoir
est gagé sur une promesse aussi certaine que ma mort et que la mort d
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e de son acte ? Alors qu’elle ne repose que sur l’
espoir
du faible : que la vie se fasse « toute seule », que l’homme ne soit
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esprit » qui avait fabriqué ces « lois », dans l’
espoir
naïf qu’elles joueraient automatiquement en sa faveur. Et le peuple q
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cer à ses conquêtes matérielles. Alors il met son
espoir
et sa foi dans ce miracle qui résoudrait seul le conflit du calcul et
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timarxiste d’une manière plus valable : « C’est l’
espoir
ou le désespoir qui déterminera pour le rêveur éveillé — pour le poèt
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— l’action de son imagination. Qu’il formule cet
espoir
ou ce désespoir et ses rapports avec le monde changeront immédiatemen
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cher. Il est probable que cette intention, ou cet
espoir
, d’ailleurs le plus souvent déçus, expliquent seuls la facilité avec
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ni hommes ni femmes »), je borne ma vision et mon
espoir
à une perfection relative, à l’équilibre dans l’imperfection que repr
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rs hic et nunc, dans l’acte de l’Éternel où notre
espoir
se fonde. ⁂ Deux thèmes de réflexion, amorcés çà et là dans ces pages
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t quitté notre continent, mais, à leur suite, les
espoirs
et les rêves des plus actifs d’entre nous ont émigré. La bourgeoisie,