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deur. Telle est notre médiocrité. La seule mesure
extérieure
qui subsiste est à nos yeux la plus dégradante qui soit. Il faut donc
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mène de mimétisme par son assimilation à un objet
extérieur
» (p. 283). Autrement dit, le sujet se désiste de sa responsabilité a
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e, que la pensée n’est guère qu’un luxe — « signe
extérieur
» de la richesse, ou d’une condition sociale privilégiée — le pas est
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s que ces bonshommes ne sont point décrits « de l’
extérieur
» — comme le voudrait certaine formule naturaliste — mais qu’ils sont
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aduisent. ⁂ Une forme, une image vivante : est-ce
extérieur
ou intérieur ? L’artiste répondra : ni l’un ni l’autre. Car il se tie
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ès lors que cette création vient s’« insérer de l’
extérieur
» ; en dépit de la Force des Choses ; en vertu d’un esprit étranger…
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rez bien forcés de commencer par rétablir l’ordre
extérieur
. Et vous ferez du collectivisme. C’est la seule « base commune » puis
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nt une révolution qui soit nôtre, sans brutalités
extérieures
, sans destructions aveugles, sans propagande de masse abêtissante. Au
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t faux que nous soyons obligés de commencer par l’
extérieur
, si nous voulons rétablir une mesure commune à la pensée et à l’actio
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e commune à la pensée et à l’action. Car un ordre
extérieur
n’est solide et fécond que s’il résulte d’un ordre intérieur. Et cet
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libérales, elles constituent cependant une menace
extérieure
matériellement considérable. Elles impriment aux masses qui les suive
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ité. Notre mesure commune ne sera pas collective,
extérieure
à notre personne : cela n’a pas de sens pour nous. Elle ne sera pas n
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ntiment ou d’un pressentiment et d’un hasard tout
extérieur
, à cause d’un certain jeu que je poursuis, sans trop le savoir, avec
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oute politique est normative, mais seulement de l’
extérieur
. Une politique saine ne saurait donc partir de la personne, mais au c
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— qui pour n’être point asservis aux disciplines
extérieures
d’un parti, ne considèrent pas l’acte d’écrire comme un divertissemen
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e des obstacles sociaux, développé sans violences
extérieures
, n’avait que plus gravement miné l’éthique matrimoniale de la jeuness
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rimer dans un langage symbolique (ésotérique et d’
extérieur
rassurant) les éléments plastiques, militaires et sacrés, qui lui fon
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cisent les exigences individuelles94, ces données
extérieures
perdent en importance, et les impondérables deviennent décisifs. Le s
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anche, — inconsciemment. Ce sont là des secousses
extérieures
. Qui sait si une loi de l’esprit ne les rend pas d’autant plus fortes