1
sme ne tire bénéfice, avant nous, d’une faim trop
facile
à tromper. Il est bon, il est nécessaire que la littérature enseigne
2
érés ? Tous vos livres disent non à la vie. C’est
facile
d’être négatif. Et je n’avais pas besoin qu’on m’y aide. Pourquoi n’a
3
pondre à la demande du public. Il faut des livres
faciles
, des livres gais, etc. C’est, disent-ils, ce qu’on demande. — Hé ! ou
4
e n’est point pour me ménager une partie par trop
facile
. C’est que la grossièreté même de l’écart, et le fait qu’on l’ait nég
5
nt pris, d’un portrait de Ramuz, dont il est bien
facile
de tirer une épreuve positive : « Sa poésie commence avec le commence
6
même s’il est résolument laïque. Rien n’est plus
facile
à concevoir, dans notre état social, qu’un patriote qui, entre deux d
7
ions mènent encore une vie à bien des égards plus
facile
et plus libre que les nouvelles. Elles ont gardé un certain nombre de
8
llectives. Et l’on se rassure en attendant par de
faciles
railleries à l’adresse des États libéraux. 2. Situation qui nous es
9
ciples avec le personnalisme paraît beaucoup plus
facile
à réaliser qu’avec toute autre doctrine politique66. Mais pour Batail
10
à la fois de nous obséder par l’idée d’un bonheur
facile
, et du même coup de nous rendre inaptes à le posséder. Car tout ce qu
11
s illusions que lui proposent divers objets, trop
faciles
à saisir. Au lieu de mener à la mort, elle se dénoue en infidélité. Q
12
s affectent de la tolérer : pour des raisons trop
faciles
à concevoir, on craint d’attaquer le lecteur dans ses croyances les p
13
vous de n’en point abuser. C’est d’ailleurs très
facile
, me semble-t-il. Soyez honnêtes dans les négociations, comme le fut v